S
sansmoraline
Guest
http://www.sansmoraline.franceserv.com/roman/index.html
Je vous propose une ballade dans le jardin gothique d'un esprit malade du parasitage de la société moderne.
Une mise en abîme d'un jeune adulte, pour qui les repères moraux ce sont estompés, voir n'ont jamais existé.
Le darwinisme sociale du monde marchand poussé à son extrême crée des monstres...
Genre littéraire TRES particulier !
:twisted:
Extraits :
"J’avais mes habitudes dans un bar du nom « Le Montaigne ». Dans lequel les serveurs buvaient tout autant que les clients, sinon plus. Tatoué et percé même sur la bite, il y avait Johnny, pas un cm2 de peau disponible pour un autre mort aux vaches; punk-no-futur-salarié, interdit de séjour en Allemagne pour une histoire de stup. Ainsi que Lulu au gros bide, crâne rasé et diable dans le dos; l’image du satyre… Les enceintes crachaient habituellement du Bauhaus, nine inch nails… aux paroles empreintes de lyrisme : « I wanna fuck you like an animal »… Le patron avait coutume d’hurler : « Alors on boit, ou on s’encule ! », toujours un œil sur les conso… Faut dire que les affaires lui avaient fait cramer un autre bar pas fleurissant… Et bien sûr, je buvais comme un pochetron impénitent, avec une endurance de compétition. J’étais jeune…"
Je vous propose une ballade dans le jardin gothique d'un esprit malade du parasitage de la société moderne.
Une mise en abîme d'un jeune adulte, pour qui les repères moraux ce sont estompés, voir n'ont jamais existé.
Le darwinisme sociale du monde marchand poussé à son extrême crée des monstres...
Genre littéraire TRES particulier !
:twisted:
Extraits :
"J’avais mes habitudes dans un bar du nom « Le Montaigne ». Dans lequel les serveurs buvaient tout autant que les clients, sinon plus. Tatoué et percé même sur la bite, il y avait Johnny, pas un cm2 de peau disponible pour un autre mort aux vaches; punk-no-futur-salarié, interdit de séjour en Allemagne pour une histoire de stup. Ainsi que Lulu au gros bide, crâne rasé et diable dans le dos; l’image du satyre… Les enceintes crachaient habituellement du Bauhaus, nine inch nails… aux paroles empreintes de lyrisme : « I wanna fuck you like an animal »… Le patron avait coutume d’hurler : « Alors on boit, ou on s’encule ! », toujours un œil sur les conso… Faut dire que les affaires lui avaient fait cramer un autre bar pas fleurissant… Et bien sûr, je buvais comme un pochetron impénitent, avec une endurance de compétition. J’étais jeune…"