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Non je vous demande pas de faire une liste de vos membres préféré·es du forum (enfin, ne vous en privez pas si le cœur vous en dit, encore que ça puisse faire des jalouxes).
Je me demandais plus généralement ce qui vous fait apprécier une personne. Quelles sont les qualités (ou même les défauts ?) que vous estimez assez chez quelqu'un·e pour vouloir en faire votre ami·e, ou davantage.
En effet en lisant cet article, j'ai réalisé que j'ai le plus grand respect pour ces personnes qui, selon les sagesses antiques, non seulement s'examinent et se critiquent, mais aussi cherchent continuellement à s'améliorer. D'abord la clairvoyance sur soi, bien sûr, mais si elle se disperse en vaines lamentations, ça ne sert à rien (j'ai du mépris pour l'auto-flagellation, que je vois comme une forme de narcissisme). Elle doit s'accompagner de la volonté d'être meilleur, du courage de s'affronter jour après jour, et de l'intelligence tactique nécessaire au triomphe.
J'aime chez une personne la gentillesse, la bienveillance, la générosité. Mais cela dans un esprit stable, qui connaît ses limites : offrir, aider, même quand cela ne rapporte rien, oui ; mais se dépouiller, se sacrifier, en dehors de circonstances exceptionnelles, ce n'est pas sain, et cela se finit rarement bien. Ces gens-là, j'essaye de m'en tenir loin.
La dépendance (aux autres) m'inquiète, je renifle le drama. La méchanceté souvent me dégoûte, bien qu'elle me réjouisse parfois. Je ne supporte ni les machos, ni les gens de droite. La violence me fait déguerpir.
J'aime les gens qui sont un peu plus que ce qu'ils ont l'air d'être. Chez lesquels on devine un trésor à conquérir.
Et je valorise l'intelligence, sans laquelle on s'ennuie tellement.
Je me demandais plus généralement ce qui vous fait apprécier une personne. Quelles sont les qualités (ou même les défauts ?) que vous estimez assez chez quelqu'un·e pour vouloir en faire votre ami·e, ou davantage.
En effet en lisant cet article, j'ai réalisé que j'ai le plus grand respect pour ces personnes qui, selon les sagesses antiques, non seulement s'examinent et se critiquent, mais aussi cherchent continuellement à s'améliorer. D'abord la clairvoyance sur soi, bien sûr, mais si elle se disperse en vaines lamentations, ça ne sert à rien (j'ai du mépris pour l'auto-flagellation, que je vois comme une forme de narcissisme). Elle doit s'accompagner de la volonté d'être meilleur, du courage de s'affronter jour après jour, et de l'intelligence tactique nécessaire au triomphe.
J'aime chez une personne la gentillesse, la bienveillance, la générosité. Mais cela dans un esprit stable, qui connaît ses limites : offrir, aider, même quand cela ne rapporte rien, oui ; mais se dépouiller, se sacrifier, en dehors de circonstances exceptionnelles, ce n'est pas sain, et cela se finit rarement bien. Ces gens-là, j'essaye de m'en tenir loin.
La dépendance (aux autres) m'inquiète, je renifle le drama. La méchanceté souvent me dégoûte, bien qu'elle me réjouisse parfois. Je ne supporte ni les machos, ni les gens de droite. La violence me fait déguerpir.
J'aime les gens qui sont un peu plus que ce qu'ils ont l'air d'être. Chez lesquels on devine un trésor à conquérir.
Et je valorise l'intelligence, sans laquelle on s'ennuie tellement.