Alors voila, la MD, moi je n'y connais vraiment pas grand chose.
J'ai déjà pris quelques taz, à mon avis pas mal coupés aux amphet quand même (mmh, fameuse nuit à se tordre de douleurs et de contractions involontaires..), et là récemment, quelques fois de la vraie bonne MD, grâce à quelques connaisseurs. 3 prises ce dernier mois en gros, une fois dans l'année aussi, mais pas seule. Oui parce qu'aussi, à chaque fois que j'en avais pris avant, c'était mélangé à pas mal de trucs. Alors après, pour différencier les effets, ou même se souvenir de la soirée, c'était pas forcément évident. Bref.
Voila donc la situation : la MD me fait partir genre mais très très loin. Au début ça va, ça monte, je suis ultra motivé, je parle mais en fin de compte pas tant que ça parce que j'adore être en paix avec moi même et ressentir pleinement les effets (le speed par contre.. un vrai moulin à paroles.). Ensuite je me sociabilise, engage les conversations, normal. A oui, petite précision : chaque prise était en festival ou concert, donc montée qui débute avant et ensuite effets sur la musique. Et donc là devant la musique... la claque, magnifique, de toute façon le son ça passe bien sous n'importe quelle drogue j'ai envie de dire.. Quelques visuels parfois, pas de notion du temps, extase...
Et puis, au bout d'un moment, je vrille. Et étrangement (je trouve), je pars à la manière du dxm ou de la codé, les yeux qui petit à petit commencent à s’emmêler les pinceaux, à tourner, et je me retrouve loin. Là par exemple à l'Hadra, j'étais dans un bus (en fait le rectangle des décos autour de moi), en train de me tenir à un poteau et d'écrire un sms à un ami. Puis soudainement, je me réveille, exactement encore comme avec la codéine ou le dxm, et je me souviens parfaitement de ce que j'écrivais, je suis dérouté de me retrouver ici, immobile, une main en l'air qui tient un poteau invisible et l'autre qui tient un portable invisible. A l'Hadra, j'me souviens d'avoir écris comme ça 3 sms dans le vide :roll:
J'n'ai pas tellement d'autres exemples à citer, parce que, également, les souvenirs de mes soirées sous md s'effacent très vite. Aucune sensation désagréable comme avec l'alcool, la frustration du trou noir, non là ça part petit à petit, même si je serais capable de reconstituer grosso modo, mais vraiment pas de détails très précis. Si on me raconte par contre, ça rejaillit souvent.
Voila.. pour la mémoire, je me dis que c'est certainement du à moi, je pense que la beuh n’arrange pas les choses et j'oublie très vite les prénoms, parfois même les visages, la md doit accentuer ça. Par contre pour le reste, je me demandais si c'était normal en fait de partir si loin.. je n'ai pas en plus pas réellement de trip utlra social, mais de gros délires personnels, et je perds le controle plus qu'avec un trip ou des champis. Mes questions : suis-je très sensible ? est-ce que ce sont les premières fois du débutant, et qu'après justement, cet aspect limite dissociatif disparait pour laisser place à un délire plus sociable ?
En fait ça me dérange pas, mais c'est que du coup, vu les effets et la perte de contrôle à certains moments, j'me dis que c'est ptetre plus u ntruc à expérimenter seul ou à très peu pour finir justement à triper et partir loin dans son coin..
J'ai déjà pris quelques taz, à mon avis pas mal coupés aux amphet quand même (mmh, fameuse nuit à se tordre de douleurs et de contractions involontaires..), et là récemment, quelques fois de la vraie bonne MD, grâce à quelques connaisseurs. 3 prises ce dernier mois en gros, une fois dans l'année aussi, mais pas seule. Oui parce qu'aussi, à chaque fois que j'en avais pris avant, c'était mélangé à pas mal de trucs. Alors après, pour différencier les effets, ou même se souvenir de la soirée, c'était pas forcément évident. Bref.
Voila donc la situation : la MD me fait partir genre mais très très loin. Au début ça va, ça monte, je suis ultra motivé, je parle mais en fin de compte pas tant que ça parce que j'adore être en paix avec moi même et ressentir pleinement les effets (le speed par contre.. un vrai moulin à paroles.). Ensuite je me sociabilise, engage les conversations, normal. A oui, petite précision : chaque prise était en festival ou concert, donc montée qui débute avant et ensuite effets sur la musique. Et donc là devant la musique... la claque, magnifique, de toute façon le son ça passe bien sous n'importe quelle drogue j'ai envie de dire.. Quelques visuels parfois, pas de notion du temps, extase...
Et puis, au bout d'un moment, je vrille. Et étrangement (je trouve), je pars à la manière du dxm ou de la codé, les yeux qui petit à petit commencent à s’emmêler les pinceaux, à tourner, et je me retrouve loin. Là par exemple à l'Hadra, j'étais dans un bus (en fait le rectangle des décos autour de moi), en train de me tenir à un poteau et d'écrire un sms à un ami. Puis soudainement, je me réveille, exactement encore comme avec la codéine ou le dxm, et je me souviens parfaitement de ce que j'écrivais, je suis dérouté de me retrouver ici, immobile, une main en l'air qui tient un poteau invisible et l'autre qui tient un portable invisible. A l'Hadra, j'me souviens d'avoir écris comme ça 3 sms dans le vide :roll:
J'n'ai pas tellement d'autres exemples à citer, parce que, également, les souvenirs de mes soirées sous md s'effacent très vite. Aucune sensation désagréable comme avec l'alcool, la frustration du trou noir, non là ça part petit à petit, même si je serais capable de reconstituer grosso modo, mais vraiment pas de détails très précis. Si on me raconte par contre, ça rejaillit souvent.
Voila.. pour la mémoire, je me dis que c'est certainement du à moi, je pense que la beuh n’arrange pas les choses et j'oublie très vite les prénoms, parfois même les visages, la md doit accentuer ça. Par contre pour le reste, je me demandais si c'était normal en fait de partir si loin.. je n'ai pas en plus pas réellement de trip utlra social, mais de gros délires personnels, et je perds le controle plus qu'avec un trip ou des champis. Mes questions : suis-je très sensible ? est-ce que ce sont les premières fois du débutant, et qu'après justement, cet aspect limite dissociatif disparait pour laisser place à un délire plus sociable ?
En fait ça me dérange pas, mais c'est que du coup, vu les effets et la perte de contrôle à certains moments, j'me dis que c'est ptetre plus u ntruc à expérimenter seul ou à très peu pour finir justement à triper et partir loin dans son coin..