chinaski
Glandeuse Pinéale
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- 30/9/11
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Bonjour,
Je sors tout juste de prendre une sacrée fessée, et j'aimerais bien comprendre ce qui m'est arrivé. A priori, je me suis tapé ce soir un gros syndrome sérotoninergique - tremblements musculaires sur tout le corps, hyperthermie violente et marquée, très grosse confusion, vertiges et pleurs à répétition (si, si). Ça a duré deux-trois heures, ma copine et moi on a failli apeller les urgences, mais finalement tout est plus ou moins revenu à la normale. Ce n'est pas encore la grande forme, mais j'ai l'impression de revivre.
Le truc, par contre, c'est que je n'ai pas consommé de drogues aujourd'hui ni hier. En fait, ma dernière conso a débuté vendredi dernier, avec une mini-pointe d'éthylphénidate puis des bonnes grosses traces de 3-MMC ; une fois qu'on a bougé pour aller danser, on est passé au 5-MAPB en paras, et tout s'est plutôt bien passé (mais avec une conso largement abusive). Je travaillais le samedi soir, et j'ai réattaqué dans l'après-midi à la 3-MMC (disons de 16 à 23 h). Et j'ai refait pareil le dimanche soir, toujours à la 3 MMC (sept-huit traces, entre 17 et 23 h).
A 23 heures le dimanche soir, j'ai lâché l'affaire (mes narines, c'était Beyrouth...), et je n'ai rien repris depuis. A noter que tous mes pochons viennent en ce moment du shop B..... B...., et que je trouve la 3-MMC qu'ils m'on envoyés récemment un peu chelou - elle déchire le nez, encore plus que d'habitude, mais pour le reste elle me défonce beaucoup moins (par contre, la 5-MAPB dépote). Après, c'est peut-être simplement parce que je suis dans une période de relativement gros abus.
Bref, rien lundi. Et rien non plus mardi. Mode récupération. D'autant plus que je me réveille complétement malade le mardi matin - fièvre, nez complétement pris, bref une grosse crève. Je suis fils de médecin, donc j'ai de quoi me soigner à l'appart, et après un coup de fil à mon père, je me mets sous Doliprane (trois dans la journée), j'avale vers midi deux comprimés de prédnisolone 20 mg (c'est le générique du solupred, un corticostéroïde de synthèse), puis dans l'après-midi une petite gorgée de Fluimucil (un expectorant) et deux boufées d'Innovair, un traitement de fond contre l'asthme.
Faut que j'avance dans le taf, donc l'après-midi s'écoule comme ça - la cortisone me permet de bosser. Vers 19 h, ça se gâte, je pense que ses effets disparaissent, et à 20 h 30 : boum ! Mais alors, boum de chez boum. J'ai cru crever.
Dernier truc, ma copine. Elle n'a rien repris après la soirée de vendredi, mais a traversé une phase de tremblements musculaires et de fièvre le samedi soir, mais en beaucoup moins hardcore que ce que je me suis tapé quelques jours plus tard. Elle aussi a avalé deux comprimés de prednisolone aujourd'hui midi (elle a une putain d'otite et c'est son médecin qui lui a prescrit), mais il ne lui est rien arrivé - elle a pu s'occupper de moi et m'a posé des linges humides sur le cou et le front, jusqu'à ce que la fièvre redescende.
Voilà. J'aimerais bien comprendre un peu ce qui m'est arrivé (hors le fait que j'ai fait de la merde, que je ne me suis pas assez méfié et que je consomme trop en ce moment), et je me dis aussi que ça peut servir à d'autres. A votre avis ? Une interaction médicaments / drogues (en sachant que la conso remonte à deux jours avant) ? Une mauvaise qualité de drogues ? Autre chose ?
Hop, à vous les studios
Je sors tout juste de prendre une sacrée fessée, et j'aimerais bien comprendre ce qui m'est arrivé. A priori, je me suis tapé ce soir un gros syndrome sérotoninergique - tremblements musculaires sur tout le corps, hyperthermie violente et marquée, très grosse confusion, vertiges et pleurs à répétition (si, si). Ça a duré deux-trois heures, ma copine et moi on a failli apeller les urgences, mais finalement tout est plus ou moins revenu à la normale. Ce n'est pas encore la grande forme, mais j'ai l'impression de revivre.
Le truc, par contre, c'est que je n'ai pas consommé de drogues aujourd'hui ni hier. En fait, ma dernière conso a débuté vendredi dernier, avec une mini-pointe d'éthylphénidate puis des bonnes grosses traces de 3-MMC ; une fois qu'on a bougé pour aller danser, on est passé au 5-MAPB en paras, et tout s'est plutôt bien passé (mais avec une conso largement abusive). Je travaillais le samedi soir, et j'ai réattaqué dans l'après-midi à la 3-MMC (disons de 16 à 23 h). Et j'ai refait pareil le dimanche soir, toujours à la 3 MMC (sept-huit traces, entre 17 et 23 h).
A 23 heures le dimanche soir, j'ai lâché l'affaire (mes narines, c'était Beyrouth...), et je n'ai rien repris depuis. A noter que tous mes pochons viennent en ce moment du shop B..... B...., et que je trouve la 3-MMC qu'ils m'on envoyés récemment un peu chelou - elle déchire le nez, encore plus que d'habitude, mais pour le reste elle me défonce beaucoup moins (par contre, la 5-MAPB dépote). Après, c'est peut-être simplement parce que je suis dans une période de relativement gros abus.
Bref, rien lundi. Et rien non plus mardi. Mode récupération. D'autant plus que je me réveille complétement malade le mardi matin - fièvre, nez complétement pris, bref une grosse crève. Je suis fils de médecin, donc j'ai de quoi me soigner à l'appart, et après un coup de fil à mon père, je me mets sous Doliprane (trois dans la journée), j'avale vers midi deux comprimés de prédnisolone 20 mg (c'est le générique du solupred, un corticostéroïde de synthèse), puis dans l'après-midi une petite gorgée de Fluimucil (un expectorant) et deux boufées d'Innovair, un traitement de fond contre l'asthme.
Faut que j'avance dans le taf, donc l'après-midi s'écoule comme ça - la cortisone me permet de bosser. Vers 19 h, ça se gâte, je pense que ses effets disparaissent, et à 20 h 30 : boum ! Mais alors, boum de chez boum. J'ai cru crever.
Dernier truc, ma copine. Elle n'a rien repris après la soirée de vendredi, mais a traversé une phase de tremblements musculaires et de fièvre le samedi soir, mais en beaucoup moins hardcore que ce que je me suis tapé quelques jours plus tard. Elle aussi a avalé deux comprimés de prednisolone aujourd'hui midi (elle a une putain d'otite et c'est son médecin qui lui a prescrit), mais il ne lui est rien arrivé - elle a pu s'occupper de moi et m'a posé des linges humides sur le cou et le front, jusqu'à ce que la fièvre redescende.
Voilà. J'aimerais bien comprendre un peu ce qui m'est arrivé (hors le fait que j'ai fait de la merde, que je ne me suis pas assez méfié et que je consomme trop en ce moment), et je me dis aussi que ça peut servir à d'autres. A votre avis ? Une interaction médicaments / drogues (en sachant que la conso remonte à deux jours avant) ? Une mauvaise qualité de drogues ? Autre chose ?
Hop, à vous les studios