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P16 - A LA RECHERCHE DE LA VERITE, LA CERTITUDE PARANOIAQUE

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Deleted-1

Guest
[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]A LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ - DE LA CERTITUDE PARANOÏAQUE JUSQU’À L'ORDALIE FATIDIQUE - Le double jeu de la vérité et de l'autocritique, ou le paradoxe de l’introspection lorsque l'on recherche la vérité alors que la peur pousse à se mentir à soi-même. [/font] [/font]



[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]La perspective philosophique ici présentée serait que le sens de la paranoïa s'apparente à une quête de la vérité, à savoir la recherche de soi, au travers de sa part d'ombre. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Tout paranoïaque suppose au fond de lui que, quelque soit le désordre des apparences, il y a quelque part un réel caché, une vérité masquée à atteindre et qui donnerait alors sens à tout ce qui a lieu dans son délire, dans sa vie (le pourquoi du comment de soi). La connaissance de soi et du monde en général passe nécessairement par sa structure paranoïaque, lorsque chaque individu cherche à donner du sens à sa vie, à son monde, en voulant connaitre les phénomènes inconscients et autres instincts cachés au fond de lui-même, ainsi que leurs agencements dans ses relations intimes et sociales. Tout individu, toute famille, toute communauté, et toute société est structuré autour de non-dits, de parts d'ombre refoulées, redoutées, qui se doivent de rester cachées. Mais par ailleurs, c'est la volonté propre à chacun que d'accéder à ses zones d'ombres personnelles et collectives, en découvrant sans le savoir ses structures paranoïaques en soi, en lien avec les masques que son ego produit afin de préserver les individus de la vérité. Cette recherche introspective émancipatrice et associée à ses maturations, fait passer du doute à la conviction, d'une incertitude inconsciente à une certitude consciente, du scepticisme obscurantiste à la lucidité éclairante, lorsqu'un individu arrive à dépasser ses propres peurs. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]En son for intérieur, chacun tend donc malgré lui à comprendre ses mécanismes psychiques et ses influences morales en faisant tomber quelques masques égotiques, en découvrant quelques vérités sur soi et le monde, une fois appréhendé ses actions et réactions propres corrélées avec ses relations sociales, tout en prenant en compte le fonctionnement de la société dans laquelle nous évoluons. L'individu est façonné par la société autant qu'il façonne la société, et notre quête de savoir nous porte toujours plus en avant dans nos vies, dans notre rapport à soi, à autrui et à notre environnement. Reste à savoir ce qu'il en est de la véracité de nos croyances, de nos certitudes, de ce savoir fragmenté que l'on pioche à droite à gauche dans des médias dont l'authenticité et la rigueur des informations proposées laisse parfois à désirer. Une autre facette de la problématique portera sur la croyance vis à vis de ce que l'on ressent, en lien avec la prise de connaissance au travers de ses sens (se reporter aux articles sur le monde des sensations et l'article suivant pour plus d'étayage).[/font] [/font]


[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]LA CERTITUDE PARANOÏAQUE - La vérité au bout de sa quête délirante[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Problématique de la certitude paranoïaque : être persuadé de savoir ce que les autres pensent, mais aussi que les autres connaissaient ses pensées[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Il peut être très difficile de convaincre un paranoïaque de la fausseté de ses certitudes, notamment lorsque sa capacité à comprendre et anticiper la pensée d'autrui l'amène à deviner avec plus ou moins de justesse les états cognitifs de ses pairs, tout en les rapportant à sa personne dans des jeux d'identifications projectives (voir égocentrisme). Un fort sentiment d'empathie mêlé à un puissant sentiment de croyance procure un pouvoir de persuasion à l'égard d'autrui et de soi, lorsque les convictions du paranoïaque entrainent les esprits crédules à adhérer à ses hypothèses, à ses certitudes qu'il tend à imposer. Un moyen pour faire revenir à la réalité un sujet paranoïaque délirant un peu trop, serait de lui exiger de raconter avec concision ses pensées, afin qu'il en vienne à une forme d'autocritique pour se rendre compte de part lui-même que ses certitudes reposent sur des croyances peu étayées pour ne pas dire fausses, et qu'il admette que ses pensées loufoques ne sont au départ que des idées dont les éventualités lui sont plaisantes. Alors il pourrait reconnaitre que c'est en ressassant ses idées séduisantes, qu'au fil du temps elles gagneraient en certitude dans son esprit, tout en se convaincant lui-même de ses fausses vérités.[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Analyse de la méthode autocritique de clarification de la vraisemblance de ses propres pensées[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Le paranoïaque est donc cet individu manquant d'autocritique à l'égard de quelques pensées isolées dans son esprit, pouvant servir de noyaux à des délires gravitant les uns à côté des autres, voire se regrouper en un délire systématisé. Plus à propos du manque d'autocritique, le paranoïaque n'essaye pas d'examiner la certitude qu'il accorde à ses pensées isolées, il n'y prête pas d'attention autre que le fait d'idéaliser toujours plus ses croyances, afin de mieux s'en convaincre. Ses idéations et idéalisations systématisées en délire semblent s'étayer sur des pensées isolées plus ou moins incohérentes, et qui s'entremêlent avec des certitudes reposant sur des idées vraies. Ainsi en confondant la réalité et ses délires, le paranoïaque a l’impression que tout ce qu’il pense est correct, et il lui est impossible de découvrir qu'il est dans l'erreur, en préférant et sélectionnant certaines idées allant dans son sens. Aussi il a du mal à reconnaitre que ses croyances et idéations devenues des certitudes idéales mais fausses, ne sont que des suppositions, de simples hypothèses auxquelles il adhère naïvement. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Une personne saine comparerait ce qu'elle éprouve et pense d'une situation réelle avec des contextes analogues, dans lesquelles l’une ou l’autre condition pourrait être différente ou aurait pu être supposée comme différente, et ce en vue de juger de la véracité de ses idées, de la qualité de sa compréhension des choses. Au contraire un paranoïaque ne remet pas en cause sa réalité. Ainsi ses affects submergent sa raison et l'entrainent dans des raisonnements portés par de forts sentiments de croyances, des certitudes se voulant universelles et irrévocables.[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Vis à vis des frontières du moi - Alterner entre vérité et mensonge selon ses investissements narcissiques[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Dans son esprit tour à tour lucide et confus, le paranoïaque alterne entre vérité et mensonge sur soi. Il lui arrive donc, lorsque ses propres explications sont peu convaincantes, qu'il reconnaisse et admette se laisser prendre à quelques délires et certitudes, auxquels il ne croit plus aveuglément, avant d'y croire à nouveau lorsque ses affects le poussent au délire. Se pourrait-il que ses certitudes dépendantes de ses autocritiques ou de ses naïvetés, puissent être expliquées comme due à la récession de quelques frontières du moi ? Est-ce que plus une pensée est investit en narcissisme, plus se créée de la certitude à propos de cette pensée, dans la psyché de l'individu ? La mise à l'épreuve d'une pensée serait plus compliquée qu'un simple investissement narcissique de celle-ci, puisque la notion de vérité ne se résume pas qu'à la croyance que l'on porte à ses pensées. Si la vérité se trouvait dans l'addition d'une connaissance vraie et d'une croyance en cette connaissance avérée, elle dépendrait en partie de la teneur de son sentiment de croyance, donc de l'intensité de l'investissement en narcissisme de sa pensée, mais surtout de la vraisemblance de sa pensée, qui s'étayerait sur des connaissances véridiques, ou pas. L'on peut autant croire à des foutaises qu'il est nécessaire de douter de ses croyances.[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]A propos de la normalité et de la créativité dans la structure paranoïaque[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Le caractère du paranoïaque et de l'inventeur sont concomitants dans leur manière de produire une réalité, en tant qu'ils produisent du sens suite à une autocritique de leur propre pensée. L'inventivité s'établit sur des questionnements multiples, elle s’étaye sur des remises en cause de ses pensées, sur des jugements autocritiques qui au cours d'une dialectique métaphysique (des dialogues intérieurs), amène l'esprit à créer de nouvelles visions des choses, de nouvelles façons de penser, de se penser. L'individu s'approprie dans une réflexion personnelle plus ou moins consciente ses combinaisons d'idées, dont la véracité dépendra de ses connaissances et de ses croyances. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Celui qui arrive à démontrer et prouver la justesse de sa pensée, ou du moins le caractère rationnel de sa propre combinaison personnelle d’idées, en vient à se créer des vérités avérées sur soi et sur son monde, sans passer pour un fou. Il faut donc établir et évaluer le degré de certitude ou de doute qu'a un sujet paranoïaque à propos de ses croyances en ses idées vraies ou fausses, afin de déterminer si sa santé mentale est saine ou dérangée, selon qu'il est à même de vérifier la validité de sa propre pensée. Cela passe par un travail introspectif d'apprentissage de ses propres mécanismes psychiques, de ses morales qui cachent ses propres peurs (voir liens entre hontes et culpabilités, vis à vis de ce qu'on ose s'avouer, ou ce que l'on se cache à soi-même). [/font] [/font]


[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]VIS A VIS DE LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ ET DE SON ÉGOCENTRISME - Chacun se cherche tout en se fuyant, selon ses besoins d'adaptation à son environnement.[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Vis à vis du caractère égocentré du paranoïaque, il est important de reconnaître l'aspect véridique de toutes ses communications psychotiques, de ses intuitions, lorsque l'individu en phase avec lui-même expérimente sa vérité ontologique, c'est à dire qu'il éprouve véritablement son être et son existence dans son intimité, ses possibilités, ses durées et son devenir. Au plus profond de lui tout individu sait qui il est véritablement, en ayant intuitivement la réponse à tous ses questionnements existentiels latents. Mais l'accès à ses réponses lui est compromit selon l'ordonnancement de ses structures psychiques, de ses mécanismes de défense spécifiques, ainsi que de ses propres censures morales se manifestant au travers de ses peurs, de ses hontes et culpabilités, de son nihilisme et de l'angoisse d'être soi, qui masquent sa haine de soi. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Chacun fuit ses angoisses de vie et de mort, que ça soit dans l'orgueil ou la vanité, dans le conformisme ou la marginalité[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Obligé de se mentir à lui-même pour ne pas mourir de ses vérités, de ses capacités inexploitées et autres incapacités qui le font stagner voire régresser, l'individu entretient donc des rapports paradoxaux et contradictoires avec lui-même, en étant prit en tenaille entre ses principes de plaisir et de réalité. D'un côté il cherche à satisfaire ses envies et désirs, quand d'autre part il doit composer avec le réel, au travers d'une quête de vérité essentielle à sa survie, à ses besoins de se reconnaitre, sinon il se perdrait dans son propre esprit, sa volonté de puissance et d'émancipation s'amenuiserait et son espérance de vie diminuerait.[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Les sentiments de certitude et de justesse sont liés au sentiment de vérité, à la croyance de détenir un savoir que l'on se serait approprié [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]La paranoïa s'établit sur la structure même du désir de connaissance, sur le désir de la science. L’égocentrisme présent chez tous les individus leur fait croire que la vérité dépend de leur compréhension des situations, des contextes analysés et construisant leurs réalités propres qu'ils croient universelles, alors que la vérité s'établit dans la relation entre sa pensée et celle d'autrui, dans la sincérité des émotions partagées au travers de ses communications plus ou moins honnêtes, c'est là toute l'importance de l'altérité et de l'empathie. Le problème du paranoïaque étant de s'attarder aux configurations et à ses propres intellectualisations des situations rencontrées plutôt qu'à la qualité de ses échanges, parce qu'en sentant que tout ce qu'il dit est certain, il a toujours le sentiment d'être dans le vrai en disant la vérité, alors que ce n'est pas toujours le cas.[/font] [/font]


[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]CERTITUDE PARANOÏAQUE ET THÉRAPEUTIQUE - La certitude du paranoïaque lui est nuisible en tant qu'il prend ses idées pour des réalités, confondant ce qu'il pense avec le réel. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Il n'y a pas de vérité, mais que des perspectives[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Un travail thérapeutique est possible pour aider les paranoïaques à différencier leurs idéations et idéalisations (leurs croyances et intellectualisation) de la réalité factuelle, afin de limiter leur propension à calquer sur le réel leur concepts et préjugés qui les rassurent et les arrangent. Ce travail thérapeutique consistant premièrement par prendre en compte les dires du paranoïaque, en le prenant au sérieux de manière à ce qu'il ne se braque pas en se mettant sur la défensive. Dans un second temps, après avoir considérer ses propos, il s'agit de le faire admettre que ce qu'il affirme comme des vérités inébranlables et universelles, ne sont que des possibilités parmi de nombreuses autres explications ou visions d'une même chose. Le paranoïaque doit comprendre de lui-même qu'il peut se montrer honnête dans ses propos qu'il prend pour des convictions, et être sincère dans ses relations, tout en pouvant être dans l'erreur et le jugement par ailleurs, selon les situations et contextes donnés et momentanés. Il n'y a pas de vérité unique, mais que des perspectives multiples selon l'angle de vue avec lequel on observe un même objet.[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Il est important de rassurer le paranoïaque avant de travailler à la remise en cause de ses certitudes[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Il est étonnant de remarquer que malgré l'intelligence du paranoïaque, ses affirmations peuvent être aussi fausses que stupides et inadéquates. Ce contraste se remarque d'autant plus que le paranoïaque se veut perspicace dans ses suggestions et analyses des évènements, mais se méprend dans les avis qu'il se fait et ses témoignages inappropriés à propos des choses ou d'autrui. Il se perd dans ses jugements et préjugés, dans des relations de causes à effets qu'il sélectionnent selon qu'elles rentrent dans son système de pensées et de croyances, selon qu'elles alimentent ses certitudes et lui assurent des arguments validant ses hypothèses qu'il impose comme certaines. Par exemple un complotiste se documentera de manière à justifier ses thèses paranoïaques, sans chercher d'avis contradictoires ou de points de vue différents. Il mettra toute vision comprenant d'autres faits qui construiraient une autre histoire, une réalité bien différente du complot qu'il s'imagine. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Enthousiasme et empathie[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]L'enthousiasme que porte le paranoïaque à admettre d'autres points de vue, et éventuellement la remise en cause de ses avis, est un bon signe révélant que le sujet possède encore un sentiment d'incertitude nécessaire pour douter de ses croyances, de ses jugements et préjugés. Mais selon le degré pathologique de son état paranoïaque, il peut avoir encore besoin de trouver des preuves à ses raisons que toujours ils espèrent impérieuses, totales et absolues. Néanmoins s'il lui arrive de continuer à user de sophismes pour combler ses lacunes et masquer ses connaissances manquantes à l'étayage de ses constructions mentales, encourageant est le fait de constater que chez certains le dialogue est encore possible avec une empathie certaine dans les échanges et relations. [/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Guérison et résilience[/font] [/font]

[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Effectivement, souvent le délire disparait lorsque le désir qui le portait est accompli, que le fantasme est assouvi, et que les croyances du délire apparaissent alors comme vaines et inutiles. L'angoisse n'a plus raison d'être, le sujet s'est libéré de ses peurs. Il y a compréhension de ses nécessités relationnelles à partir de tout sentiment empathique à son égard, lorsque idéalement la confiance est réciproque et que l'altérité est de mise dans ses relations sociales cordiales et respectueuses. L'enthousiasme pour gagner la vérité et le consentement d'une réciprocité empathique via un travail autocritique, mais aussi du respect de l'avis d'autrui, sont de possibles remèdes pour soigner les paranoïas bénignes, dans une possible recherche de bien-être, d'acceptation de soi (via la reconnaissance d'autrui), et la volonté de s'émanciper dans des relations épanouissantes, sincères et honnêtes. Et si la vérité de soi se trouvait en partie en autrui ? [/font] [/font]



[font=Calibri, Helvetica, sans-serif,] [font=Calibri, Helvetica, sans-serif,]Nietzsche : " Ce n'est pas l'incertitude qui rend fou, c'est la certitude. "[/font] [/font]
 
Nietzsche : " Ce n'est pas l'incertitude qui rend fou, c'est la certitude. "


Cette phrase de Boss du game intellectuel ^^
"trop vrai" comme on dit

J'ai survolé pas mal mais lu completement les premiers chapitres et "guérison et résilience", je relis tt al plus completement
 
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