W
Wright
Guest
Bonsoir!
J'ai 20 ans et je prépare le redoublement de ma Première Année Commune d'Etudes de la Santé (PACES) et j'étais jusque là principalement attirer par la vocation de psychiatre car ce métier me semblait être une porte ouverte vers ce sur quoi j'aimerai le plus travailler: les psychédéliques :twisted: Or, beaucoup d'inconvénients me viennent à l'esprit lorsque je pense à la médecine : des études longues, très aliénantes, souvent décalées par rapport à l'aboutissant qui est (dans ma perspective) l'étude de la conscience humaine. Lorsque je me documente sur la psychiatrie, je me rends compte que la médecine psychédélique n'est qu'une sous-branche peinant à être reconnue malgré ses potentielles vertus thérapeutiques (cf: "la médecine psychédélique" d'Olivier Chambon).
Du coup, je ne sais pas si cela est la meilleure idée. J'ai peur de sacrifier une partie de ma vie dans un travail qui ne corresponde pas à ce que j'aime. Je ne veux pas "abandonner" les livres, les dessins, les festoch (never), ma recherche personnelle au profit d'un enseignement "carré" et d'un métier susceptible de me laisser sur une impasse. Plusieurs questions me viennent alors :
Quelles alternatives à la médecine peut-il y avoir; les recherches en pharmacie ou en biochimie par exemple vont-elles plus dans le sens de l'étude possible des psychédéliques et de leurs effets ? La médecine psychédélique est-elle une discipline envisageable ? Est-il préférable d'étudier dans un autre pays que la France pour s'orienter vers ce domaine ? Faut-il plutôt voir les psychédéliques et les modifications de conscience comme une recherche personnelle plutôt que comme un job? Faut-il que je devienne journaliste et que je me rebaptise Hunter S. Thompson ? Blablabla ?
Bref, si quelqu'un avait un avis, ça me ferait vraiment plaisir d'être éclairé :mrgreen: Merci d'avance !
J'ai 20 ans et je prépare le redoublement de ma Première Année Commune d'Etudes de la Santé (PACES) et j'étais jusque là principalement attirer par la vocation de psychiatre car ce métier me semblait être une porte ouverte vers ce sur quoi j'aimerai le plus travailler: les psychédéliques :twisted: Or, beaucoup d'inconvénients me viennent à l'esprit lorsque je pense à la médecine : des études longues, très aliénantes, souvent décalées par rapport à l'aboutissant qui est (dans ma perspective) l'étude de la conscience humaine. Lorsque je me documente sur la psychiatrie, je me rends compte que la médecine psychédélique n'est qu'une sous-branche peinant à être reconnue malgré ses potentielles vertus thérapeutiques (cf: "la médecine psychédélique" d'Olivier Chambon).
Du coup, je ne sais pas si cela est la meilleure idée. J'ai peur de sacrifier une partie de ma vie dans un travail qui ne corresponde pas à ce que j'aime. Je ne veux pas "abandonner" les livres, les dessins, les festoch (never), ma recherche personnelle au profit d'un enseignement "carré" et d'un métier susceptible de me laisser sur une impasse. Plusieurs questions me viennent alors :
Quelles alternatives à la médecine peut-il y avoir; les recherches en pharmacie ou en biochimie par exemple vont-elles plus dans le sens de l'étude possible des psychédéliques et de leurs effets ? La médecine psychédélique est-elle une discipline envisageable ? Est-il préférable d'étudier dans un autre pays que la France pour s'orienter vers ce domaine ? Faut-il plutôt voir les psychédéliques et les modifications de conscience comme une recherche personnelle plutôt que comme un job? Faut-il que je devienne journaliste et que je me rebaptise Hunter S. Thompson ? Blablabla ?
Bref, si quelqu'un avait un avis, ça me ferait vraiment plaisir d'être éclairé :mrgreen: Merci d'avance !