CastlesMadeOfSand
Holofractale de l'hypervérité
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Comment faire l'amour toute la nuit ?
Extrait :
La méthode proposée ici prend acte de plusieurs facteurs, souvent méconnus de la plupart, y compris des spécialistes :
• Le point de non-retour est le point limite de l’excitation au-delà duquel il n’est plus possible de contrôler la phase
active spasmodique de l’éjaculation. Il sépare de quelques secondes la courte phase dite d’émission, au cours de
laquelle une zone limitée de l’urètre située sous la prostate, entre deux verrous musculaires, se remplit de
sperme, provoquant la distension du réceptacle, et l’expulsion proprement dite, quand l’excitation nerveuse
locale déclenche la contraction des muscles entourant verge et urètre. Ce sont ces quelques secondes, séparant
ces deux phénomènes, qu’il faut apprendre à la conscience à reconnaître pour contrôler son orgasme.
• Orgasme et éjaculation sont contemporains mais peuvent être dissociés, et l’un peut survenir sans l’autre.
L’orgasme est une manifestation, les neuropsychiatres diront un événement sensoriel cérébral. L’éjaculation,
elle, en est la partie purement génitale.
• C’est la partie expulsion de l’éjaculation qui conditionne en grande part la perte de l’érection qui lui succède.
Or, la verge est entourée d’un faisceau de muscles striés, ayant le même principe de fonctionnement que le biceps ou
les muscles de la cuisse, dont l’auteur a simplifié la nomenclature en l’appelant muscle pubo-coccygien. Il est en fait
composé de trois séries de muscles qui entourent la base de la verge, et portent les noms barbares d’ischio-caverneux,
bulbocaverneux et compresseur hémisphérique du bulbe.
Dans la réaction sexuelle habituelle, ils sont responsables, la verge étant en érection, du surcroît de rigidité que
l’excitation leur donne en les contractant; c’est également leur contraction qui est responsable des spasmes de
l’éjaculation. Ils travaillent en symbiose avec le reste de la musculature périnéale. Fait majeur, ils sont contrôlables et
contractables par la volonté.
C’est d’abord par la reconnaissance de leur existence et par leur contrôle qu’on accède à la méthode proposée pour
obtenir cette optimisation de l’acte sexuel appelée l’orgasme multiple.
Que cherche-t-on ici? En fait on prend acte du décalage habituel du moment de survenue de l’orgasme masculin, « en
avance», et de l’orgasme féminin, «en retard», par rapport à l’idéal d’une harmonie culminant à l’orgasme «
communautaire». La méthode nous propose d’abord et avant tout de transformer le premier orgasme masculin (souvent
le seul habituellement) en un orgasme « sec », sans éjaculation, de manière à ne pas «débander» et à pouvoir poursuivre
l’acte jusqu’à éjaculer au moment où Madame sera à l’acmé de son propre plaisir.
Extrait :
La méthode proposée ici prend acte de plusieurs facteurs, souvent méconnus de la plupart, y compris des spécialistes :
• Le point de non-retour est le point limite de l’excitation au-delà duquel il n’est plus possible de contrôler la phase
active spasmodique de l’éjaculation. Il sépare de quelques secondes la courte phase dite d’émission, au cours de
laquelle une zone limitée de l’urètre située sous la prostate, entre deux verrous musculaires, se remplit de
sperme, provoquant la distension du réceptacle, et l’expulsion proprement dite, quand l’excitation nerveuse
locale déclenche la contraction des muscles entourant verge et urètre. Ce sont ces quelques secondes, séparant
ces deux phénomènes, qu’il faut apprendre à la conscience à reconnaître pour contrôler son orgasme.
• Orgasme et éjaculation sont contemporains mais peuvent être dissociés, et l’un peut survenir sans l’autre.
L’orgasme est une manifestation, les neuropsychiatres diront un événement sensoriel cérébral. L’éjaculation,
elle, en est la partie purement génitale.
• C’est la partie expulsion de l’éjaculation qui conditionne en grande part la perte de l’érection qui lui succède.
Or, la verge est entourée d’un faisceau de muscles striés, ayant le même principe de fonctionnement que le biceps ou
les muscles de la cuisse, dont l’auteur a simplifié la nomenclature en l’appelant muscle pubo-coccygien. Il est en fait
composé de trois séries de muscles qui entourent la base de la verge, et portent les noms barbares d’ischio-caverneux,
bulbocaverneux et compresseur hémisphérique du bulbe.
Dans la réaction sexuelle habituelle, ils sont responsables, la verge étant en érection, du surcroît de rigidité que
l’excitation leur donne en les contractant; c’est également leur contraction qui est responsable des spasmes de
l’éjaculation. Ils travaillent en symbiose avec le reste de la musculature périnéale. Fait majeur, ils sont contrôlables et
contractables par la volonté.
C’est d’abord par la reconnaissance de leur existence et par leur contrôle qu’on accède à la méthode proposée pour
obtenir cette optimisation de l’acte sexuel appelée l’orgasme multiple.
Que cherche-t-on ici? En fait on prend acte du décalage habituel du moment de survenue de l’orgasme masculin, « en
avance», et de l’orgasme féminin, «en retard», par rapport à l’idéal d’une harmonie culminant à l’orgasme «
communautaire». La méthode nous propose d’abord et avant tout de transformer le premier orgasme masculin (souvent
le seul habituellement) en un orgasme « sec », sans éjaculation, de manière à ne pas «débander» et à pouvoir poursuivre
l’acte jusqu’à éjaculer au moment où Madame sera à l’acmé de son propre plaisir.