mohamed chirac
Alpiniste Kundalini
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Salut ! 1ère partie de mon histoire sur la beuh
Nous étions à Bastia en Corse, nous avions à cette époque 15ans. On cherchait de la beuh au quartier. Nous n'avions pas trouvé et étions déçus, une idée immergea de ma tête. J'avais élaboré un plan des plus débiles pour demander de la beuh à mon cousin. Mon meilleur ami Marvin, plus terre à terre, mis en exécution un plan plus simple car je plane un peu parfois.
Fantastique, nous avions la beuh ! Nous nous installâmes dans un petit camion et roulâmes notre premier pétard. L'ambiance était parfaite, avec mon meilleur pote, dans un village paumé et installés confortablement dans ce quatre roues. Nous fûmâmes ce pur. On arrêtait pas de tousser, mais je ne sentais rien durant tout ce moment. Nous nous levâmes et c'est la que ça commença. Nous avions le corps très lourd. On marcha un peu et arrivâmes sur la route. Le temps était ralenti ! Un pas semblait une éternité. Je sentai une sensation de Connexion avec mon environnement et je pensai "ouaaah, c'est ça la drogue".
Rapidement ça devient un bazar complet. On courait partout dans tout les sens. On a fait une centaine de fois le tour de la place en hurlant de rire sans arrêts.
J'essayai de faire le voyage astral en me bavant dessus. Mon ami se transforma en Kevin, homme de la situation, qui fait des soirées branchées. Un gros bordel. J'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo, image par image, et mon ami me répondait "mec ! MEC ! On est dans un rêve ! Je viens de me réveiller de mon rêve !" Je tiens à préciser qu'il se réveillait régulièrement de son rêve. Nous regardâmes un tas de poubelles et fûmes enchantés. Les formes ondulaient, les couleurs scintillaient. Le tout donnait un monstre informe, un dragon ou encore un dinosaure. Il y eut encore des barres de rire.
Mon ami Marvin avait peur des loups garou, mais nous nous aperçûmes qu'il s'agissait en fait de jeunes du village. Je leur racontai que j'étais un enfant errant échappé d'un hôpital psychiatrique et que je voulais allait chez eux. Ils ne voulurent pas et je fus vexé. Alors, quand il me regardaient partir je leur dévoilai les formes de mon pénis puis partis, bienheureux comme je suis.
Pour finir ce trip, je chiai par terre et j'éjaculai sur le pied d'une église. Puis nous rentrâmes et dormâmes.
Dans notre ville natale se déroula notre deuxième trip de beuh.
On cherchait le dealeur au quartier en demandant aux passants. L'un d'eux nous emmena au point vente.
Près de mon lycée dans un hangar sauvage désaffecté, nous nous installâmes. On fuma le pur de ganja. Il était fini et nous ne sentions rien. Mon ami commença à dire qu'il n'avait pas d'effet. Au début discrètement puis il monta le ton jusqu'à hurler son mantra en courant.
Moi aussi je pétai un câble, elle était bonne ! J'avais l'impression que ma tête produisait de l'énergie comme un centrale nucléaire, une chaleur emmanait de celle-ci. Je voyais mon karma qui défilait sous mes yeux. Mes souvenirs d'abord chauds et chaleureux, s'estompaient petit à petit comme des images et devenaient transparents.
Nous descendîmes dans un fleuve. Là commença une grande crise de rire qui ne s'arrêtait pas. La crise passée, j'accostai le plus normalement possible une famille et leur demandais de nous filmer pour un devoir scolaire. Je vous jure, j'avais fait tout les efforts pour que nous paraissions normal, mais deux secondes après nous oubliames leurs présences et Marvin baissa son pantalon et montra sa lune en se pavanant
Nous marchâmes en ville. Puis nous croisions Robert Papa.
Robert Papa est un peu fou, car il explique que toutes les femmes sont mortes d'amour pour lui.
Il conta son histoire, dans une ambiance vintage éclairé par un lumière rouge vif. Il fut calme quelque minute, puis commença à hurler sur mon pauvre ami qui se contortionnait de rire, et faisait des positions de visage plus qu'extravagentes.
La soirée finit agréablement et nous riimes jusqu'au coucher
De gros bisous ?, avec petite léchouille ?
Nous étions à Bastia en Corse, nous avions à cette époque 15ans. On cherchait de la beuh au quartier. Nous n'avions pas trouvé et étions déçus, une idée immergea de ma tête. J'avais élaboré un plan des plus débiles pour demander de la beuh à mon cousin. Mon meilleur ami Marvin, plus terre à terre, mis en exécution un plan plus simple car je plane un peu parfois.
Fantastique, nous avions la beuh ! Nous nous installâmes dans un petit camion et roulâmes notre premier pétard. L'ambiance était parfaite, avec mon meilleur pote, dans un village paumé et installés confortablement dans ce quatre roues. Nous fûmâmes ce pur. On arrêtait pas de tousser, mais je ne sentais rien durant tout ce moment. Nous nous levâmes et c'est la que ça commença. Nous avions le corps très lourd. On marcha un peu et arrivâmes sur la route. Le temps était ralenti ! Un pas semblait une éternité. Je sentai une sensation de Connexion avec mon environnement et je pensai "ouaaah, c'est ça la drogue".
Rapidement ça devient un bazar complet. On courait partout dans tout les sens. On a fait une centaine de fois le tour de la place en hurlant de rire sans arrêts.
J'essayai de faire le voyage astral en me bavant dessus. Mon ami se transforma en Kevin, homme de la situation, qui fait des soirées branchées. Un gros bordel. J'avais l'impression d'être dans un jeu vidéo, image par image, et mon ami me répondait "mec ! MEC ! On est dans un rêve ! Je viens de me réveiller de mon rêve !" Je tiens à préciser qu'il se réveillait régulièrement de son rêve. Nous regardâmes un tas de poubelles et fûmes enchantés. Les formes ondulaient, les couleurs scintillaient. Le tout donnait un monstre informe, un dragon ou encore un dinosaure. Il y eut encore des barres de rire.
Mon ami Marvin avait peur des loups garou, mais nous nous aperçûmes qu'il s'agissait en fait de jeunes du village. Je leur racontai que j'étais un enfant errant échappé d'un hôpital psychiatrique et que je voulais allait chez eux. Ils ne voulurent pas et je fus vexé. Alors, quand il me regardaient partir je leur dévoilai les formes de mon pénis puis partis, bienheureux comme je suis.
Pour finir ce trip, je chiai par terre et j'éjaculai sur le pied d'une église. Puis nous rentrâmes et dormâmes.
Dans notre ville natale se déroula notre deuxième trip de beuh.
On cherchait le dealeur au quartier en demandant aux passants. L'un d'eux nous emmena au point vente.
Près de mon lycée dans un hangar sauvage désaffecté, nous nous installâmes. On fuma le pur de ganja. Il était fini et nous ne sentions rien. Mon ami commença à dire qu'il n'avait pas d'effet. Au début discrètement puis il monta le ton jusqu'à hurler son mantra en courant.
Moi aussi je pétai un câble, elle était bonne ! J'avais l'impression que ma tête produisait de l'énergie comme un centrale nucléaire, une chaleur emmanait de celle-ci. Je voyais mon karma qui défilait sous mes yeux. Mes souvenirs d'abord chauds et chaleureux, s'estompaient petit à petit comme des images et devenaient transparents.
Nous descendîmes dans un fleuve. Là commença une grande crise de rire qui ne s'arrêtait pas. La crise passée, j'accostai le plus normalement possible une famille et leur demandais de nous filmer pour un devoir scolaire. Je vous jure, j'avais fait tout les efforts pour que nous paraissions normal, mais deux secondes après nous oubliames leurs présences et Marvin baissa son pantalon et montra sa lune en se pavanant
Nous marchâmes en ville. Puis nous croisions Robert Papa.
Robert Papa est un peu fou, car il explique que toutes les femmes sont mortes d'amour pour lui.
Il conta son histoire, dans une ambiance vintage éclairé par un lumière rouge vif. Il fut calme quelque minute, puis commença à hurler sur mon pauvre ami qui se contortionnait de rire, et faisait des positions de visage plus qu'extravagentes.
La soirée finit agréablement et nous riimes jusqu'au coucher
De gros bisous ?, avec petite léchouille ?