Toine6902
Matrice Périnatale
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Que dire de ma première prise de MDMA la vraie, la pure? C'était au mois de Mai 2011 et nous décidons avec des potes de sortir en boîte , la musique sera bien car c'est de la minimale et je kiffe ce style, Il est 21 heures on a déjà fumé (weed) pas mal et bu quelques bières ( ce soir là avant de partir je ne pensais pas prendre.) Une connaissance s'approche de nous et nous demande si on veut de la MD,il nous dit de nous méfier car il a gerbé la montée et il est plutôt expérimenté normalement, mon meilleur pote qui connait déjà le produit n'en veut pas, moi je décide de lui acheter deux paras de 150mg chacun. Après vers 21h30 je me renseigne sur le produit auprès de mon meilleur pote et lui propose un para, il refuse car il veut rester "net" ce soir là, il me dit par contre qu'il faut grave que je profite de ma "première" à la MD et qu'il trouve dommage qu'on ne puisse pas vivre ce moment ensemble.
A 22 heures le son est vraiment à mon goût, bien bouclé,bien rond, bien minimal quoi! je danse déjà bien ... C'est là que je décide de me prendre mon premier para, hop dans la bouche quelques gorgées d'eau par dessus, maintenant il n'y a plus qu'à attendre, je sais un peu à quoi m'attendre (déjà pris 2-3 taz) je continue de danser en allant prévenir mon pote que c'est fait, il me dit que je vais aimer. Il est 22h40 et je commence à me sentir un peu étrange, un peu mou, bizarre, j'ai l'impression que tout le monde m'observe dans la boîte et cela me met mal à l'aise. 22h50 le sentiment est passé, je commence d'avoir chaud et mon corps entame gentiment sa mutation en machine à danser. Mes bras ne pèsent plus rien, mes jambes semblent être animées par des ressorts, une énorme boule d'amour commence à grandir en moi. J'aime cette boîte, J'aime cette musique, J'aime ces personnes qui dansent tout autour de moi, J'aime mes potes, J'aime les lumières qui m'envoie des lumières dans la gueule. Je trouve à ce moment là que les lumières sont parfaitement coordonnées aux sons et c'est jouissif, je bouge mes mains et j'ai l'impression de capturer les lasers à travers mes doigts, c'est magnifique. J'en parle à mon pote qui éclate de rire quand il voit mes pupilles, il me demande où est passé le blanc. Il est 1heure et je décide de prendre le deuxième para, ce qui m'envoie la claque définitive, l'harmonisation la plus parfaite avec la salle. Je suis le son, Je suis l'ambiance, Je fais partie de ce groupe de danseurs réunis ici et maintenant, j'ai cette chance incroyable de ressentir l'amour ambiant et ce soir là il me paraît infini. Je suis tout devant et les lasers me clachent la tête, mais je m'en fous, c'est cool! A un moment donné, je suis en pleine montée du deuxième, je hurle comme un malade mais c'est couvert par le son, tout à coup il y'a un break dans la musique et moi je suis toujours en train de crier comme un malade :shock: , tout le monde me mate et comprend le kiff que je prend. la soirée se déroulera ainsi jusqu'à la fin, impossible d'être démotivé. QUELLE PUTAIN DE BONNE CLAQUE 8)
Nous rentrons à 5 heures dans nos foyers respectifs et la descente a été plutôt tranquille en fumant quelques joints, j'ai eu une baisse de motivation, je sentais que j'avais la tête ailleurs. Je pense qu'il est important de faire attention avec cette drogue, car elle permet de nous emmener très loin. Depuis le mois de Mai j'en ai repris, mais j'espace chaque prise de 3 mois
A 22 heures le son est vraiment à mon goût, bien bouclé,bien rond, bien minimal quoi! je danse déjà bien ... C'est là que je décide de me prendre mon premier para, hop dans la bouche quelques gorgées d'eau par dessus, maintenant il n'y a plus qu'à attendre, je sais un peu à quoi m'attendre (déjà pris 2-3 taz) je continue de danser en allant prévenir mon pote que c'est fait, il me dit que je vais aimer. Il est 22h40 et je commence à me sentir un peu étrange, un peu mou, bizarre, j'ai l'impression que tout le monde m'observe dans la boîte et cela me met mal à l'aise. 22h50 le sentiment est passé, je commence d'avoir chaud et mon corps entame gentiment sa mutation en machine à danser. Mes bras ne pèsent plus rien, mes jambes semblent être animées par des ressorts, une énorme boule d'amour commence à grandir en moi. J'aime cette boîte, J'aime cette musique, J'aime ces personnes qui dansent tout autour de moi, J'aime mes potes, J'aime les lumières qui m'envoie des lumières dans la gueule. Je trouve à ce moment là que les lumières sont parfaitement coordonnées aux sons et c'est jouissif, je bouge mes mains et j'ai l'impression de capturer les lasers à travers mes doigts, c'est magnifique. J'en parle à mon pote qui éclate de rire quand il voit mes pupilles, il me demande où est passé le blanc. Il est 1heure et je décide de prendre le deuxième para, ce qui m'envoie la claque définitive, l'harmonisation la plus parfaite avec la salle. Je suis le son, Je suis l'ambiance, Je fais partie de ce groupe de danseurs réunis ici et maintenant, j'ai cette chance incroyable de ressentir l'amour ambiant et ce soir là il me paraît infini. Je suis tout devant et les lasers me clachent la tête, mais je m'en fous, c'est cool! A un moment donné, je suis en pleine montée du deuxième, je hurle comme un malade mais c'est couvert par le son, tout à coup il y'a un break dans la musique et moi je suis toujours en train de crier comme un malade :shock: , tout le monde me mate et comprend le kiff que je prend. la soirée se déroulera ainsi jusqu'à la fin, impossible d'être démotivé. QUELLE PUTAIN DE BONNE CLAQUE 8)
Nous rentrons à 5 heures dans nos foyers respectifs et la descente a été plutôt tranquille en fumant quelques joints, j'ai eu une baisse de motivation, je sentais que j'avais la tête ailleurs. Je pense qu'il est important de faire attention avec cette drogue, car elle permet de nous emmener très loin. Depuis le mois de Mai j'en ai repris, mais j'espace chaque prise de 3 mois
