TheScarecrow
Glandeuse Pinéale
- Inscrit
- 8/8/12
- Messages
- 216
Ceci est le récit de ma première expérience à la MDMA. C'était en février dernier, plusieurs de mes amis en avaient déjà consommé par le passé et m'en avaient dit pas mal de bien.
Auparavant ma seule expérience de drogue se cantonnait au canabis, en quantité déjà non négligeable.
Je ne sais plus vraiment comment est venue l'idée d'une petite soirée MD mais celle ci était prévue depuis une semaine avec quelques de mes amis (déjà cités dans un TR précédent, j'utiliserai donc les memes noms), Alex, sa petite amie Christine, Hugo, mon meilleur ami Valérian et sa petite amie du moment.
Setting: Dans l'appartement d'Alex, que nous connaissions tous très bien pour y avoir squatté la majorité de notre temps.
Dose: Un para de 0,1 chacun.
Quelques amis passent à l'appartement, et vers 22h nous décidons de les remercier afin d'etre seuls. Le coloc d'Alex n'est pas là et nous sommes donc seuls. Nous prenons nos paras et commençons à parler, à écouter de la musique, bref, un début de soirée plus qu'habituel.
Vers 22h30 je ressens quelques petits effets stimulants mais rien de vraiment très fort. Valérian me demande si je suis d'accord pour jouer de la musique avec lui. Nous jouons dans un groupe ensemble, il est clavieriste et je suis guitariste. Là, la mauvaise surprise: Je n'ai pas de médiator. Un peu vexé, j'essaie de m'en fabriquer un avec une carte de bibliothèque, mais le colloc d'Alex arrive soudainement et me sauve la mise en m'en filant un.
Tant mieux, ça m'aurait vraiment fait chier.
Je commence à jouer. Je joue une, deux, trois notes, et la ... BOUM. L'explosion dans ma tete.
Je recule d'un pas sous le choc de cette nouvelle sensation, et là, Valérian se retourne vers moi.
"Ah. Ca commence."
Oui, en effet, ça commence, et je suis une boule d'énergie. Je joue quinze minutes, repose ma guitare pour me joindre à mes autres amis. Chez eux aussi, c'est bien monté ! Alex parle avec un débit hallucinant, mais malheureusement Hugo ne me semble pas très bien. Je reparlerai de son experience en fin de T.R.
Je parle, je parle. Je suis un moulin à paroles, et j'adore ça. J'écoute les autres comme je ne l'avais jamais fait et je prend conscience de toute la dimension sociale. Nous discutons philosophie, nous échangeons comme jamais.
Valérian se retourne régulièrement vers moi, regarde fixement mon visage et rit en me lançant
"Tiens, toi, toi, tu prends cher."
Oui, je prends cher, et je dois dire que c'était vraiment agréable. Mes machoires se serrent, les autres sont enrhumés et n'auront pas cet effet là.
Apparemment, j'ai un regard ... Etrange. Mes petits camarades n'ont que les pupilles dilatées mais moi, la MD me donne un regard à la fois fasciné par le monde et psychopathe.
Charles Manson au pays des chatons. Viens là que je te serre dans mes bras, très très très fort, jusqu'à que mon amour te sorte les yeux des orbites ! :shock:
Nous décidons de sortir. Nous marchons dans les rues, nous parlons encore, il fait froid mais c'est pas grave. Evidemment, nous pensons à nous hydrater régulièrement. :yawinkle:
Nous arrivons sur les bords de Loire d'Orléans. Quelques groupes y trainent. Valérian taxe une clope à des inconnus, je l'accompagne et commence à leur parler un peu. Je sens que ma présence les fait rire, mais je m'attarde un peu, j'adore jouer au con de soirée.
Valérian est en train de parler à de vieilles connaissances à lui. Je les rejoins, nous jouons à "qui suis je".
Je réfléchis à 100 à l'heure.
Nous décidons de rentrer à l'appart, et après encore une petite demie heure de discussion Alex nous vire: demain, il a cours.
Valérian, sa copine et moi partons finir notre descente (ou plutot la leur, j'ai appris ce soir là que je restais perché généralement un peu plus longtemps que les autres ... Voir beaucoup.) dans un bar.
Un mec joue du piano, vachement bien d'ailleurs, mais un peu trop techniquement, il manque de feeling pour vraiment m'emporter loin. Je savoure ma bière, et on décide de se séparer pour rentrer à la maison.
Le retour est très agréable, la descente est douce (du moins je le pensais; au vu de mes pupilles et de ma tete j'étais encore violemment perché.)
Je rentre chez moi, peine à trouver le sommeil et m'endors sur les coups de 6heures du matin. (8heures de perche sous MD, youhouhou.)
Aucun bodyload, aucun problème secondaire.
Bilan: Une bonne découverte d'une substance soft. Je commençais à m'ouvrir aux drogues.
"Pourquoi pas un petit, de temps en temps, ça peut etre drole ..."
Auparavant ma seule expérience de drogue se cantonnait au canabis, en quantité déjà non négligeable.
Je ne sais plus vraiment comment est venue l'idée d'une petite soirée MD mais celle ci était prévue depuis une semaine avec quelques de mes amis (déjà cités dans un TR précédent, j'utiliserai donc les memes noms), Alex, sa petite amie Christine, Hugo, mon meilleur ami Valérian et sa petite amie du moment.
Setting: Dans l'appartement d'Alex, que nous connaissions tous très bien pour y avoir squatté la majorité de notre temps.
Dose: Un para de 0,1 chacun.
Quelques amis passent à l'appartement, et vers 22h nous décidons de les remercier afin d'etre seuls. Le coloc d'Alex n'est pas là et nous sommes donc seuls. Nous prenons nos paras et commençons à parler, à écouter de la musique, bref, un début de soirée plus qu'habituel.
Vers 22h30 je ressens quelques petits effets stimulants mais rien de vraiment très fort. Valérian me demande si je suis d'accord pour jouer de la musique avec lui. Nous jouons dans un groupe ensemble, il est clavieriste et je suis guitariste. Là, la mauvaise surprise: Je n'ai pas de médiator. Un peu vexé, j'essaie de m'en fabriquer un avec une carte de bibliothèque, mais le colloc d'Alex arrive soudainement et me sauve la mise en m'en filant un.
Tant mieux, ça m'aurait vraiment fait chier.
Je commence à jouer. Je joue une, deux, trois notes, et la ... BOUM. L'explosion dans ma tete.
Je recule d'un pas sous le choc de cette nouvelle sensation, et là, Valérian se retourne vers moi.
"Ah. Ca commence."
Oui, en effet, ça commence, et je suis une boule d'énergie. Je joue quinze minutes, repose ma guitare pour me joindre à mes autres amis. Chez eux aussi, c'est bien monté ! Alex parle avec un débit hallucinant, mais malheureusement Hugo ne me semble pas très bien. Je reparlerai de son experience en fin de T.R.
Je parle, je parle. Je suis un moulin à paroles, et j'adore ça. J'écoute les autres comme je ne l'avais jamais fait et je prend conscience de toute la dimension sociale. Nous discutons philosophie, nous échangeons comme jamais.
Valérian se retourne régulièrement vers moi, regarde fixement mon visage et rit en me lançant
"Tiens, toi, toi, tu prends cher."
Oui, je prends cher, et je dois dire que c'était vraiment agréable. Mes machoires se serrent, les autres sont enrhumés et n'auront pas cet effet là.
Apparemment, j'ai un regard ... Etrange. Mes petits camarades n'ont que les pupilles dilatées mais moi, la MD me donne un regard à la fois fasciné par le monde et psychopathe.
Charles Manson au pays des chatons. Viens là que je te serre dans mes bras, très très très fort, jusqu'à que mon amour te sorte les yeux des orbites ! :shock:
Nous décidons de sortir. Nous marchons dans les rues, nous parlons encore, il fait froid mais c'est pas grave. Evidemment, nous pensons à nous hydrater régulièrement. :yawinkle:
Nous arrivons sur les bords de Loire d'Orléans. Quelques groupes y trainent. Valérian taxe une clope à des inconnus, je l'accompagne et commence à leur parler un peu. Je sens que ma présence les fait rire, mais je m'attarde un peu, j'adore jouer au con de soirée.
Valérian est en train de parler à de vieilles connaissances à lui. Je les rejoins, nous jouons à "qui suis je".
Je réfléchis à 100 à l'heure.
Nous décidons de rentrer à l'appart, et après encore une petite demie heure de discussion Alex nous vire: demain, il a cours.
Valérian, sa copine et moi partons finir notre descente (ou plutot la leur, j'ai appris ce soir là que je restais perché généralement un peu plus longtemps que les autres ... Voir beaucoup.) dans un bar.
Un mec joue du piano, vachement bien d'ailleurs, mais un peu trop techniquement, il manque de feeling pour vraiment m'emporter loin. Je savoure ma bière, et on décide de se séparer pour rentrer à la maison.
Le retour est très agréable, la descente est douce (du moins je le pensais; au vu de mes pupilles et de ma tete j'étais encore violemment perché.)
Je rentre chez moi, peine à trouver le sommeil et m'endors sur les coups de 6heures du matin. (8heures de perche sous MD, youhouhou.)
Aucun bodyload, aucun problème secondaire.
Bilan: Une bonne découverte d'une substance soft. Je commençais à m'ouvrir aux drogues.
"Pourquoi pas un petit, de temps en temps, ça peut etre drole ..."