SpookyGuy
Neurotransmetteur
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Salut tout le monde, voila mon premier TR et sur le Lsd en plus. Ce fut un trip qui dépassât toutes mes attentes, et qui fut même assez introspectifs.
J'ai pu essayer pas mal de drogues en quelques années d'intervalle. Mais la seule qui occupait une parti mportante de mon esprit, celle qui me fascinais et qui m'impressionnais, qui m'intriguais, m'émerveillais, que j'appréhandais, c'est le LSD. J'ai une relation très particulière avec cette drogue, je l'ai connu très tôt vers mes 8ans. C'est à cet age que mon oncle que mon oncle c'est suicidé, à cause de sa schizophrénie. Et l'élément perturbateur dans son adolescence qui à déclenché cette maladie, c'était le LSD. Depuis petit j'ai grandis avec l'image que le LSD était le grand méchant loup. C'est à mes 15ans, l'age ou j'ai découvert le Rock Progressif, et le Rock Psychédélique, une musique teinté de beauté planante et d'états de consciences modifiés, qui ont commencés à briser cette image négative que j'avais du buvard. Et c'est depuis un ans que je vais en teuf, que j'ai envisagé de prendre mon premier trip. J'ai alors décidé de prendre mon temps, de me renseigner correctement, de lire des trips reports, en discuter avec des gens en ayant pris et de laisser le temps à toutes mes craintes de se dissiper. Et depuis quelques mois je me sentais prêt pour le grand voyage.
C'est le 14 Avril 2014, que je pars en teuf avec deux potes (qui eux sont resté sobre), une peluche Yoshi qui m'aide à rester dans le réel quand je suis un peu trop perché,dix euros en poches et la ferme intention de connaitre par de la les perceptions. C'est quand je suis dans le convoi, que je trouve une connaissance qui a de la goutte. Je la prends et presse le pas pour arriver devant le mur le plus vite possible. 30Minutes plus tardj 'arrive à destination mais l'acide n'est toujours pas monté. C'est la première partie de soirée, le sound passe de la très bonne psytrance progressive. 1H devant le mur, toujours rien. Un poil deçu je continu de danser pour me contenter sachant que je n'avais ni à boire ni à fumer. Petite transition, les kicks se font plus rapides,et plus lourd. C'est l'heure de la tribe. Je continu de danser, n'attendant plus rien je ferme les yeux, puis les ré ouvrent, et devant moi le mur recule d'une dizaine de mêtre. Je sens mon esprit à l'écoute de chaques choses qui m'entourent, je regarde les gens autour de moi, j'ai l'impression de tous les connaitre, je regarde la forêt et chaques arbres, chaques feuilles à sont importance dans la nature. Le son m'emporte, mon corps bouge tout seul, les gens autour de moi parle et j'arrive à les entendre à tel point que j'ai prêté mon feu à 5 personnes qu'ils ne me le demandaient pas. Je me rends compte que mon esprit fonctionne à deux cents à l'heure, et que j'ai besoin de m'assoir par terre, pour bien gérer ma montée.Je croise un de mes potes et je lui dis que j'ai besoin de me poser parce que lsd faisait bien son effet. On fais 4 pas se retourne et me demande ce qu'on fais, et le plus naturellement du monde je lui dis de choisir. Finalement je me souviens que je voulais m'assoir et me pose avec des gens que je connais pas. En regardant tout autour de moi, chaques choses me paraissaient tellement loin et si proche en même temps, toutes les distances entre chaques choses changeaient constamment, mon esprit n'arrivait pas à rester concentrer sur une chose précise, il naviguait dans les méandres de ma conscience. Le Lsd me montrait chaques choses sous un angles de perceptions complétement nouveau. Toutes les sensations se mélangeaient, je pouvais voir la terre se mouvoir, mes jambes s'allonger, mes doigts se crisper en laissant une trainée de poudre magique. Tout ce que j'ai pu connaitre ne signifiait plus rien, rien n'est fixe et tout change constamment à tout les niveaux de sensations et de perceptions. La montée fût quand même impressionante mais leschoses finissent par ce calmer, et je commence à apprécier vraiment le trip.
Je commence à m'habituer à l'hyperconscience de mon esprit, au déformation d'espace temps, au lumière sucrées qui me font saliver, particulièrement le bleu. C'est un monde complétement nouveau, si féerique qui c'est ouvert à moi. Comme si je n'avais jamais vu les choses avec autant de vérité. Je me sens comme mis à nu, comme si j'avais une protection et que le Lsd l'eut brisé en une petite pichenette. Je me sens en communion avec tout ce qui m'entoure, si bien que quand j'ai fermés les yeux je me suis vu m'assembler avec la terre, le soleil,la galaxie pour ne faire plus qu'un. J'aperçois enfin la vraie notion de psychédélique, j'étais dans une une bulle sans temps ni espace fixe. Tout ce que je pensais établis dans mes fondements, que ce soit morale, sociale, ou bien physique, tout à été détruit en un seul instant, comme si tout avait été gommé et que mon psychisme redevenait une page vierge. Ma conscience était tellement limpide,d'une beauté transparente. Je n'ai jamais vu le monde aussi simplement que sous Lsd.
Le trip se stabilise et je me relève pour allé danser devant le mur, mais le contact physique des gens en teufs me dérangent donc je me l'éloigne et finis à danser entre trois arbres contre lesquels je me cognais constamment, je me retournais à chaques fois et à chaques fois je redécouvrais les arbres derrière moi, et la distances qui nous rapprochait. (il a fallut plus de dix minutes pour que je m'en rende compte). Etant un peu à l'écart, je danse sans pouvoir m'arrêter, comme si le son,la lumières me donnez de l'énergie. C'est une énergie si douce et si étincelante qui m'anime, jamais de ma vie j'ai ressentis la musique avec autant de fluidité. Et viens à moi un joint de beuh(je ne sais même pas de quelle façon) et la c'est l'extase. Je le tiens délicatement entre deux doigts et le porte délicatement à ma bouche, comme si c'était un acte sacré. Mon esprit s'évade de la même façon dont la fumée s'évade de ma bouche, en tourbillonnant,se mêlant à elle même, tout ça me fascine.
Après un set, je décide de faire un petit setting en bon et du forme. Je m'assois sur une buche, et observe tout ce qui m'entoure, parce que je suis en interdépendance avec les choses, et les idées fusent. Entre temps, une connaissance se pose a coté et me demande du tabac pour roulé un pétard. On discute, et il me dis qu'il a pris aussi de la goutte. On était tellement loin qu'on été deux pour ouvrir son sachet d'herbes, en tenant chaques extrémité chacun par deux doigts. On continu deparler, et trente minutes ce passe avant qu'on capte qu'on devait roulé un joint. Fou rire générale, il a fallu quinze minutes de plus pour qu'on y arrive. Il part et moi je retourne danser. Et un mec passe devant moi, je le vois avec sa clope et je pense qu'il a besoin de feu, donc je mime le geste, et il m'en tends un. Je comprends pas grand chose et je lui montre que j'en ai un. Donc je rallume ma clope, et comprends enfin que c'est un très bon pote qui passait me dire bonjour. Il pars chercher aussi un petit petri pour m'accompagner. Les choses ce font et je danse toujours sans pouvoir m'arrêter. J'ai beau savoir que je suis en teuf, je redécouvre l'environnement qui m'entoure à chaques minutes qui passent. Et la je commence à pensé à mon passé et à la schizophrénie (fortement ancrée dans mon esprit, lié à une mort violente qui plus est) et je ai eu l'impression qu'elle était la, le grand méchant loup, gueule ouverte pour m'avaler surgissant de nulle part. L'ambiance changeât d'un coup et devenait plus pesante j'était terrorisé. Je me suis saisi de mon Yoshi pour essayer de dérivé mon esprit sur quelque chose d'autres de plus mignon et je me suis concentré sur ma respiration., j'ai eu beaucoup de mal mais ça a fonctionné. Apeuré t tremblant, je me suis assis pour me calmer, et y repense avec plus de légéreté et j'ai affronté ma plus grande peur, en face. Mais c'était ma seule limite face a mon trip, je l'ai pris calmement et suis passé par dessus. Plus rien ne me rattache au souffrances de mon passé Et c'est la ou j'ai sentis toute la grandeur du lsd. Et la phrase "Notre plus grand ennemi, c'est nous même" a pris tout son sens. La nuit à continué tranquillement, j'ai dansé avec des potes eux aussi perchés, et nous étions tous en communion, nos énergies étaient en symbiose.
Je suis partis quand l'acide commenceait à descendre, et sur le retour es effets mentaux de la goutte disparaissait pour laisser place à des visus magnifiques. Des motifs kaléidoscopiques se mêlant à tout ce qui m'entourait, j'étais emerveillé comme un enfant dans un magasin de jouet. Lessivé,j'attendais le train par terre et me concentrait sur les lignes droites qui se déformaient, les arbres qui vibraient, et les petites remontées m'ont bien occupé pendant les quarante minutes d'attente. C'est dans le train ou je n'était quasiment plus sous l'effet, mais dès que je fermais es yeux pleins de motifs s'entrechoquaient, et m'hypnotisaient même sans force et complétement fatigué, ça m'empêchais de dormir mais tant pis c'était bien beau.
En conclusion, ce fût un trip que je redoutais, puis que j'appréhendais. Je l'ai bien préparé, à mon rythme, Grace aux membres de psychonaut que je remercie pour m'avoir aidé à annihiler mes craintes et avoir mis à dispositions tant d'informations de qualités. Et ce que j'en tire, c'est que c'était le plus grand trip de ma vie, tout ce que j'ai pu connaitre, croire,pensé à été balayé d'un coup de manche par le Lsd, c'est la tout ça force, sa beauté et sa dangerosité. Je suis allé au fond de moi même, j'ai pu voire une certaine clairvoyance dans ma conscience,j'ai compris que tout n'était pas si compliqué et que j'ai une chance incroyable d'être sur terre. J'ai même pu affronter une vieille peur bien ancrée.
J'ai pu essayer pas mal de drogues en quelques années d'intervalle. Mais la seule qui occupait une parti mportante de mon esprit, celle qui me fascinais et qui m'impressionnais, qui m'intriguais, m'émerveillais, que j'appréhandais, c'est le LSD. J'ai une relation très particulière avec cette drogue, je l'ai connu très tôt vers mes 8ans. C'est à cet age que mon oncle que mon oncle c'est suicidé, à cause de sa schizophrénie. Et l'élément perturbateur dans son adolescence qui à déclenché cette maladie, c'était le LSD. Depuis petit j'ai grandis avec l'image que le LSD était le grand méchant loup. C'est à mes 15ans, l'age ou j'ai découvert le Rock Progressif, et le Rock Psychédélique, une musique teinté de beauté planante et d'états de consciences modifiés, qui ont commencés à briser cette image négative que j'avais du buvard. Et c'est depuis un ans que je vais en teuf, que j'ai envisagé de prendre mon premier trip. J'ai alors décidé de prendre mon temps, de me renseigner correctement, de lire des trips reports, en discuter avec des gens en ayant pris et de laisser le temps à toutes mes craintes de se dissiper. Et depuis quelques mois je me sentais prêt pour le grand voyage.
C'est le 14 Avril 2014, que je pars en teuf avec deux potes (qui eux sont resté sobre), une peluche Yoshi qui m'aide à rester dans le réel quand je suis un peu trop perché,dix euros en poches et la ferme intention de connaitre par de la les perceptions. C'est quand je suis dans le convoi, que je trouve une connaissance qui a de la goutte. Je la prends et presse le pas pour arriver devant le mur le plus vite possible. 30Minutes plus tardj 'arrive à destination mais l'acide n'est toujours pas monté. C'est la première partie de soirée, le sound passe de la très bonne psytrance progressive. 1H devant le mur, toujours rien. Un poil deçu je continu de danser pour me contenter sachant que je n'avais ni à boire ni à fumer. Petite transition, les kicks se font plus rapides,et plus lourd. C'est l'heure de la tribe. Je continu de danser, n'attendant plus rien je ferme les yeux, puis les ré ouvrent, et devant moi le mur recule d'une dizaine de mêtre. Je sens mon esprit à l'écoute de chaques choses qui m'entourent, je regarde les gens autour de moi, j'ai l'impression de tous les connaitre, je regarde la forêt et chaques arbres, chaques feuilles à sont importance dans la nature. Le son m'emporte, mon corps bouge tout seul, les gens autour de moi parle et j'arrive à les entendre à tel point que j'ai prêté mon feu à 5 personnes qu'ils ne me le demandaient pas. Je me rends compte que mon esprit fonctionne à deux cents à l'heure, et que j'ai besoin de m'assoir par terre, pour bien gérer ma montée.Je croise un de mes potes et je lui dis que j'ai besoin de me poser parce que lsd faisait bien son effet. On fais 4 pas se retourne et me demande ce qu'on fais, et le plus naturellement du monde je lui dis de choisir. Finalement je me souviens que je voulais m'assoir et me pose avec des gens que je connais pas. En regardant tout autour de moi, chaques choses me paraissaient tellement loin et si proche en même temps, toutes les distances entre chaques choses changeaient constamment, mon esprit n'arrivait pas à rester concentrer sur une chose précise, il naviguait dans les méandres de ma conscience. Le Lsd me montrait chaques choses sous un angles de perceptions complétement nouveau. Toutes les sensations se mélangeaient, je pouvais voir la terre se mouvoir, mes jambes s'allonger, mes doigts se crisper en laissant une trainée de poudre magique. Tout ce que j'ai pu connaitre ne signifiait plus rien, rien n'est fixe et tout change constamment à tout les niveaux de sensations et de perceptions. La montée fût quand même impressionante mais leschoses finissent par ce calmer, et je commence à apprécier vraiment le trip.
Je commence à m'habituer à l'hyperconscience de mon esprit, au déformation d'espace temps, au lumière sucrées qui me font saliver, particulièrement le bleu. C'est un monde complétement nouveau, si féerique qui c'est ouvert à moi. Comme si je n'avais jamais vu les choses avec autant de vérité. Je me sens comme mis à nu, comme si j'avais une protection et que le Lsd l'eut brisé en une petite pichenette. Je me sens en communion avec tout ce qui m'entoure, si bien que quand j'ai fermés les yeux je me suis vu m'assembler avec la terre, le soleil,la galaxie pour ne faire plus qu'un. J'aperçois enfin la vraie notion de psychédélique, j'étais dans une une bulle sans temps ni espace fixe. Tout ce que je pensais établis dans mes fondements, que ce soit morale, sociale, ou bien physique, tout à été détruit en un seul instant, comme si tout avait été gommé et que mon psychisme redevenait une page vierge. Ma conscience était tellement limpide,d'une beauté transparente. Je n'ai jamais vu le monde aussi simplement que sous Lsd.
Le trip se stabilise et je me relève pour allé danser devant le mur, mais le contact physique des gens en teufs me dérangent donc je me l'éloigne et finis à danser entre trois arbres contre lesquels je me cognais constamment, je me retournais à chaques fois et à chaques fois je redécouvrais les arbres derrière moi, et la distances qui nous rapprochait. (il a fallut plus de dix minutes pour que je m'en rende compte). Etant un peu à l'écart, je danse sans pouvoir m'arrêter, comme si le son,la lumières me donnez de l'énergie. C'est une énergie si douce et si étincelante qui m'anime, jamais de ma vie j'ai ressentis la musique avec autant de fluidité. Et viens à moi un joint de beuh(je ne sais même pas de quelle façon) et la c'est l'extase. Je le tiens délicatement entre deux doigts et le porte délicatement à ma bouche, comme si c'était un acte sacré. Mon esprit s'évade de la même façon dont la fumée s'évade de ma bouche, en tourbillonnant,se mêlant à elle même, tout ça me fascine.
Après un set, je décide de faire un petit setting en bon et du forme. Je m'assois sur une buche, et observe tout ce qui m'entoure, parce que je suis en interdépendance avec les choses, et les idées fusent. Entre temps, une connaissance se pose a coté et me demande du tabac pour roulé un pétard. On discute, et il me dis qu'il a pris aussi de la goutte. On était tellement loin qu'on été deux pour ouvrir son sachet d'herbes, en tenant chaques extrémité chacun par deux doigts. On continu deparler, et trente minutes ce passe avant qu'on capte qu'on devait roulé un joint. Fou rire générale, il a fallu quinze minutes de plus pour qu'on y arrive. Il part et moi je retourne danser. Et un mec passe devant moi, je le vois avec sa clope et je pense qu'il a besoin de feu, donc je mime le geste, et il m'en tends un. Je comprends pas grand chose et je lui montre que j'en ai un. Donc je rallume ma clope, et comprends enfin que c'est un très bon pote qui passait me dire bonjour. Il pars chercher aussi un petit petri pour m'accompagner. Les choses ce font et je danse toujours sans pouvoir m'arrêter. J'ai beau savoir que je suis en teuf, je redécouvre l'environnement qui m'entoure à chaques minutes qui passent. Et la je commence à pensé à mon passé et à la schizophrénie (fortement ancrée dans mon esprit, lié à une mort violente qui plus est) et je ai eu l'impression qu'elle était la, le grand méchant loup, gueule ouverte pour m'avaler surgissant de nulle part. L'ambiance changeât d'un coup et devenait plus pesante j'était terrorisé. Je me suis saisi de mon Yoshi pour essayer de dérivé mon esprit sur quelque chose d'autres de plus mignon et je me suis concentré sur ma respiration., j'ai eu beaucoup de mal mais ça a fonctionné. Apeuré t tremblant, je me suis assis pour me calmer, et y repense avec plus de légéreté et j'ai affronté ma plus grande peur, en face. Mais c'était ma seule limite face a mon trip, je l'ai pris calmement et suis passé par dessus. Plus rien ne me rattache au souffrances de mon passé Et c'est la ou j'ai sentis toute la grandeur du lsd. Et la phrase "Notre plus grand ennemi, c'est nous même" a pris tout son sens. La nuit à continué tranquillement, j'ai dansé avec des potes eux aussi perchés, et nous étions tous en communion, nos énergies étaient en symbiose.
Je suis partis quand l'acide commenceait à descendre, et sur le retour es effets mentaux de la goutte disparaissait pour laisser place à des visus magnifiques. Des motifs kaléidoscopiques se mêlant à tout ce qui m'entourait, j'étais emerveillé comme un enfant dans un magasin de jouet. Lessivé,j'attendais le train par terre et me concentrait sur les lignes droites qui se déformaient, les arbres qui vibraient, et les petites remontées m'ont bien occupé pendant les quarante minutes d'attente. C'est dans le train ou je n'était quasiment plus sous l'effet, mais dès que je fermais es yeux pleins de motifs s'entrechoquaient, et m'hypnotisaient même sans force et complétement fatigué, ça m'empêchais de dormir mais tant pis c'était bien beau.
En conclusion, ce fût un trip que je redoutais, puis que j'appréhendais. Je l'ai bien préparé, à mon rythme, Grace aux membres de psychonaut que je remercie pour m'avoir aidé à annihiler mes craintes et avoir mis à dispositions tant d'informations de qualités. Et ce que j'en tire, c'est que c'était le plus grand trip de ma vie, tout ce que j'ai pu connaitre, croire,pensé à été balayé d'un coup de manche par le Lsd, c'est la tout ça force, sa beauté et sa dangerosité. Je suis allé au fond de moi même, j'ai pu voire une certaine clairvoyance dans ma conscience,j'ai compris que tout n'était pas si compliqué et que j'ai une chance incroyable d'être sur terre. J'ai même pu affronter une vieille peur bien ancrée.