L
Lysergide
Guest
Bonjour...
Je viens de m'inscrire sur ce forum que je parcours pourtant depuis pas mal de temps... Pourquoi je ne me suis pas inscrit avant ? Je ne ressentais pas le besoin de m'exprimer vis à vis des psychotropes, et je ne pensais pas pouvoir apporter une quelconque aide aux "psychonautes".
Pourquoi je m'inscris maintenant, alors ?
Parce que j'ai un message à vous faire passer...
Et bien, j'espère que vous prendrez le soin de lire ce que je vais vour écrire.
Je tiens d'abord à préciser que pendant longtemps, j'ai consommé des acides, notamment du lysergide.
Je cherchais dans mes voyages intérieur, une manière concrètes de m'évader.
J'entends souvent des voix me reprocher: "Mais lis un livre, écoute de la musique! Il y a tellement de façons de s'échapper!".
Bien sûr, tellement de façons...
Mais quand bien même sont-elles abstraites et subjectives...
Moi je cherchais le concret, le rêve, le vrai! Le bonheur, la magie! Et je dois avouer que je l'ai trouvée... Dans cette réalité disloquée, cette douceur à la fois violente et puissante... dans cette planète qui n'existe que dans nos illusions...
Pour être franc, je dois avouer que les premières fois que j'ai consommé du LSD, c'était uniquement pour le trip, pour connaître ses effets et m'éclater un bon coup!
Je ne fus pas déçu...
Mais petit à petit, les doses augmentant, les hallucinations devinrent de plus en plus introspectives, et je devenais capable de percevoir les éléments intérieurs qui me composaient, les sentir, les goûter même...
Ainsi, les trips devinrent vite des révélations pour moi.
Bien que recherchant souvent cet état de révélation et d'apaisement moral (bien que ce n'est pas tout le temps ça ^^), je ne me considérai pas comme dépendant.
Je faisais ça juste pour passer un bon moment et m'explorer un peu.
C'est très bon.
Bien sûr, des arguments tentant d'abattre ma vision positive des drogues j'en ai reçu des masses! Mais je les contournais, aveuglé, peut-être, par la douceur des rêves psychédéliques et mon entêtement dû au plaisir procuré par la dopamine.
Ainsi, j'ai continué pendant longtemps à consommer des hallucinogènes avec des doses croissantes.
Seulement, après un certain temps (un peu moins de 10 ans), quelque chose de bizarre a commencé à naître en moi. Parfois, je n'étais plus moi.
Parfois, je partais. Je m'égarais. Je me perdais, seul, fixant un point, pendant plusieurs heures.
Puis, les hallucinations (légères) arrivaient. Je croyais à un retour d'acide, au début.
Mais ces moments d'égarements (quelques fois accompagnés de légères hallucinations) devinrent de plus en plus fréquents.
Jusqu'au jour où j'ai réellement senti mon âme se détacher de mon corps, un peu comme un voyage au LSD, mais en pire. Beaucoup plus pire. Je peux vous assurer que des bad trips, j'en ai fait. Mais ce que j'ai ressenti à ce moment, n'avait rien d'un bad trip; c'était plus profond, plus grand, je le sentais.
Par ma plus grand chance, ma femme, se trouvant à côté, m'a tout de suite parlé et rassuré. J'ai réussi à m'accrocher.
Autant vous dire que j'ai arrêté les drogues (je prenais également, mais rarement, du mdma).
Après mon arrêt, plus rien. Les troubles n'aparaissaient plus.
Il y a environ trois mois, j'ai reconsommé de l'acide lysergique diéthylamide.
Mais dans le seul but d'explorer mes profondeurs et comprendre ce qui s'était passé en moi. Aussi modeste soit mon psychisme, vous devez bien savoir que le LSD corrompant tous sens, j'ai trouvé en mon for intérieur une marrée d'informations à interprêter comme bon me semblait !
Et soudain, la lumière.
La révélation, que les substances psychédéliques provoquent souvent.
Souvent heureuses, cette fois elle ne l'était pas.
Qu'est-ce que j'ai vu ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai entendu ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai senti ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai touché ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai compris ? Beaucoup de choses de ces riens, ce vide...
J'ai réalisé que ma vie, en fait, je ne l'ai pas vécue. Je n'a fait que rêver, plongé dans un état léthargique.
Ma première remarque fut: "Et alors ? C'est bien ce que tu recherches, le trip!".
Et bien non. Ce que je recherche, c'est le bonheur, c'est l'extase, c'est l'éclat'.
"Mais ? c'est bien ça que tu ressens quand tu te drogues! Tu cherchais pas un moyen concret de t'évader ?".
Et bien non... les drogues ne sont pas un moyen concret de s'évader.
Les drogues, ne font que me plonger dans un rêve pûrement fictif, superficiel et artificiel. C'est ça que je cherchais ? Un putain de rêve que je ne vis qu'à moitié ? Une bonheur éphémère qui me conduit à un retour à la réalité brutal et blessant ? Non, ce n'est pas ça que je cherchais...
"Mais qu'est-ce que tu racontes ? C'est justement parce que c'est fictif que c'est bien! C'est un rêve...".
Mon dieu... J'ai passé dans 10 ans de ma vie à me refugier dans nul autre qu'un rêve ? Tout ça parce que j'avais envie de m'éclater et/ou d'arrêter de penser et/ou m'évader de ce monde pour un instant ?
Mais putain, c'est lâche!
C'est don ça ? Je n'ai pas eu le courage d'affronter la vie et d'assumer ses difficultés ?
"Pfff... ok, peut-être pour le fait que tu voulais t'évader. Mais pour le plaisir et la trippade ? Où est la lâcheté ?"
Elle me paraît pourtant évidente... Qu'est-ce qui m'a fait prendre de la drogue pour réussir à m'éclater ? J'pouvais pas faire comme tout le monde, trouver d'autres façon d'avoir du bonheur ? Non, je voulais du fort, de l'intenste, de l'inoubliable!
Et c'est bien là ma lâcheté. Je n'ai pas osé entreprendre mon bonheur.
Parce que dans le fond, tout plaisir demande un effort, un entretien.
Et c'est par cette non-envie de me trouver moi-même un moyen de rire que j'ai pris de la drogue: c'est un aller-retour pour le monde de la joie et de l'extase obtenu sans trop de difficultés.
Je suis un lâche... un homme craintif qui a cherché le bonheur dans une substance déjà toute faite, que d'autres ont fait à ma place... J'ai cherché l'état passionnel, sans m'intéresser au chemin qu'il faut prendre pour arriver à ce dernier.
Bien évidemment, lobotomisés par votre jeune âge et les substances illicites (comme je l'étais auparavant), vous ne comprendrez rien à mon discours... Mais je ne vous en veux pas! Vous n'êtes pas vraiment fauti's, dans le fond...
Certaines personnes naissent lâches, faibles, d'autres naissent plus fortes, avec des couilles (ah, à propos, les drogues m'ont rendus à moitié stérile! bon à savoir).
Vous, comme moi, êtes nés en vermine. Vos excuses seront soit que vous avez eu une enfance, une vie difficile, que je ne peux pas comprendre (détrompez-vous), soit que vous n'êtes pas dépendants, que vous en prenez peu, que vous faites ça pour vous amuser et que vous êtes pleinement conscients et adulte.
Sans blague, je disais la même chose aussi !
...avant de risquer de sombrer dans une psychose.
Et puis, l'excuse que vous n'êtes pas dépendant, on ne me la fait pas! Et je la connais bien, je l'ai souvent utilisée!
Mais quand je vois un tas de puces excitées comme des éléphantes hypertrophiés en sachant que leur paquet de mush ou pilz arrivera, je me demande si vous êtes pleinement conscients de votre cas (qui est aussi le mien, hélas!).
Un bonheur superficiel et éphémère qui conduit à la mort. La cupidité de croire qu'avec ces substances, on touche au bonheur, alors qu'en fait, elles ne font que nous enfoncer encore plus dans notre condition répugnante de rats postuleux cherchant par tous moyens à fuir léa difficulté.
Parce que c'est bien ça que nous sommes!
Nous rejetons notre condition humaine comme des lâches!
Nous ne sommes rien de plus qu'une enveloppe charnelle putride et je comprends bien le proverbe "qui se ressemble, s'assemble":
nous sommes aussi malsains et synthétiques que les substances que l'on ingurgite.
Ah, je sens déjà qu'on m'enverra chier, qu'on me reprochera d'avoir écrit ce post dans le seul but de vous prévenir...
Détrompez-vous encore une fois; je ne le fais que pour moi.
Je raconte mon histoire à qui veut bien l'écouter.
Oh, je sais que personne ne se donnera la peine de me lire et encore moins de considérer l'éventuelle véricité de mes propos.
Mais j'ose tout de même espérer (encore à cause des acides, sans doute... sinon j'aurais bien su que mon espoir était vain) que quelqu'un comprendra mon message.
Que quelqu'un réalisera.
Changera.
...avant de mourir.
Un mourra tous un jour. Si, si, je vous assure.
Mais nous, on mourra sans avoir connu la vie.
On mourra en ayant cotoyé la vie durant toute notre existance.
Et j'espère que tous ceux continuant à faire l'apologie des drogues, mourront en plein bad trip! C'est une jolie mort... je trouve.
Ah tiens. MDMA. combien de morts ? Combien d'infarctus ? Oh, inutile de compter.
ah et... combien de suicides dûs à la lâcheter d'affronter le monde ?
C'est bien connu, on rêve et quand on redescent sur terre, on déprime. Tant qu'on arrive à être perché le plus souvent possible, ça va.
Mais si un jour vous tenez à avoir une carrière (parce que je sais que vous êtes tous des gamins encore boutonneux et vivant chez vos parents), vous ne porurez plus vous chépère sans cesse.
C'est la dépression qui vous attend.
Enfin bon.
Faites comme bon vous semble.
Pour ma part, j'en ai marre d'être une vermine virulante. Pas vous ?
Réagissez, s'il vous plaît.
Et considérez mes propos!
Et si vous êtes en désaccord, on est entre personnes intelligentes ici (vraiment ?), et sobres! Alors exprimez-vous! Expliquez-vous!
Je suis ouvert à toute excuse, et mon esprit est flexible.
Mais comprenez mon message et parlez. Ne jugez pas.
Merci.
Sur ce, je vous souhaite à tous une agréable soirée et une vie aussi paisible que possible!
Ayez du courage...
Lysergide.
p.s: Je distingue bien la toxicomanie au fait de se droguer simplement.
Les toxicomanes ont besoin d'aide.
Les lombrics comme nous ont besoin d'une fessée. Ou mieux: une attaque céréabrale, question de mieux réaliser.
Si j'en avais eu une, j'aurais arreté plus tôt.
p.s.2: je n'ai toujours pas réussi à arrêter, pour cela je me considère aussi une vermine.
Je viens de m'inscrire sur ce forum que je parcours pourtant depuis pas mal de temps... Pourquoi je ne me suis pas inscrit avant ? Je ne ressentais pas le besoin de m'exprimer vis à vis des psychotropes, et je ne pensais pas pouvoir apporter une quelconque aide aux "psychonautes".
Pourquoi je m'inscris maintenant, alors ?
Parce que j'ai un message à vous faire passer...
Et bien, j'espère que vous prendrez le soin de lire ce que je vais vour écrire.
Je tiens d'abord à préciser que pendant longtemps, j'ai consommé des acides, notamment du lysergide.
Je cherchais dans mes voyages intérieur, une manière concrètes de m'évader.
J'entends souvent des voix me reprocher: "Mais lis un livre, écoute de la musique! Il y a tellement de façons de s'échapper!".
Bien sûr, tellement de façons...
Mais quand bien même sont-elles abstraites et subjectives...
Moi je cherchais le concret, le rêve, le vrai! Le bonheur, la magie! Et je dois avouer que je l'ai trouvée... Dans cette réalité disloquée, cette douceur à la fois violente et puissante... dans cette planète qui n'existe que dans nos illusions...
Pour être franc, je dois avouer que les premières fois que j'ai consommé du LSD, c'était uniquement pour le trip, pour connaître ses effets et m'éclater un bon coup!
Je ne fus pas déçu...
Mais petit à petit, les doses augmentant, les hallucinations devinrent de plus en plus introspectives, et je devenais capable de percevoir les éléments intérieurs qui me composaient, les sentir, les goûter même...
Ainsi, les trips devinrent vite des révélations pour moi.
Bien que recherchant souvent cet état de révélation et d'apaisement moral (bien que ce n'est pas tout le temps ça ^^), je ne me considérai pas comme dépendant.
Je faisais ça juste pour passer un bon moment et m'explorer un peu.
C'est très bon.
Bien sûr, des arguments tentant d'abattre ma vision positive des drogues j'en ai reçu des masses! Mais je les contournais, aveuglé, peut-être, par la douceur des rêves psychédéliques et mon entêtement dû au plaisir procuré par la dopamine.
Ainsi, j'ai continué pendant longtemps à consommer des hallucinogènes avec des doses croissantes.
Seulement, après un certain temps (un peu moins de 10 ans), quelque chose de bizarre a commencé à naître en moi. Parfois, je n'étais plus moi.
Parfois, je partais. Je m'égarais. Je me perdais, seul, fixant un point, pendant plusieurs heures.
Puis, les hallucinations (légères) arrivaient. Je croyais à un retour d'acide, au début.
Mais ces moments d'égarements (quelques fois accompagnés de légères hallucinations) devinrent de plus en plus fréquents.
Jusqu'au jour où j'ai réellement senti mon âme se détacher de mon corps, un peu comme un voyage au LSD, mais en pire. Beaucoup plus pire. Je peux vous assurer que des bad trips, j'en ai fait. Mais ce que j'ai ressenti à ce moment, n'avait rien d'un bad trip; c'était plus profond, plus grand, je le sentais.
Par ma plus grand chance, ma femme, se trouvant à côté, m'a tout de suite parlé et rassuré. J'ai réussi à m'accrocher.
Autant vous dire que j'ai arrêté les drogues (je prenais également, mais rarement, du mdma).
Après mon arrêt, plus rien. Les troubles n'aparaissaient plus.
Il y a environ trois mois, j'ai reconsommé de l'acide lysergique diéthylamide.
Mais dans le seul but d'explorer mes profondeurs et comprendre ce qui s'était passé en moi. Aussi modeste soit mon psychisme, vous devez bien savoir que le LSD corrompant tous sens, j'ai trouvé en mon for intérieur une marrée d'informations à interprêter comme bon me semblait !
Et soudain, la lumière.
La révélation, que les substances psychédéliques provoquent souvent.
Souvent heureuses, cette fois elle ne l'était pas.
Qu'est-ce que j'ai vu ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai entendu ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai senti ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai touché ? Rien...
Qu'est-ce que j'ai compris ? Beaucoup de choses de ces riens, ce vide...
J'ai réalisé que ma vie, en fait, je ne l'ai pas vécue. Je n'a fait que rêver, plongé dans un état léthargique.
Ma première remarque fut: "Et alors ? C'est bien ce que tu recherches, le trip!".
Et bien non. Ce que je recherche, c'est le bonheur, c'est l'extase, c'est l'éclat'.
"Mais ? c'est bien ça que tu ressens quand tu te drogues! Tu cherchais pas un moyen concret de t'évader ?".
Et bien non... les drogues ne sont pas un moyen concret de s'évader.
Les drogues, ne font que me plonger dans un rêve pûrement fictif, superficiel et artificiel. C'est ça que je cherchais ? Un putain de rêve que je ne vis qu'à moitié ? Une bonheur éphémère qui me conduit à un retour à la réalité brutal et blessant ? Non, ce n'est pas ça que je cherchais...
"Mais qu'est-ce que tu racontes ? C'est justement parce que c'est fictif que c'est bien! C'est un rêve...".
Mon dieu... J'ai passé dans 10 ans de ma vie à me refugier dans nul autre qu'un rêve ? Tout ça parce que j'avais envie de m'éclater et/ou d'arrêter de penser et/ou m'évader de ce monde pour un instant ?
Mais putain, c'est lâche!
C'est don ça ? Je n'ai pas eu le courage d'affronter la vie et d'assumer ses difficultés ?
"Pfff... ok, peut-être pour le fait que tu voulais t'évader. Mais pour le plaisir et la trippade ? Où est la lâcheté ?"
Elle me paraît pourtant évidente... Qu'est-ce qui m'a fait prendre de la drogue pour réussir à m'éclater ? J'pouvais pas faire comme tout le monde, trouver d'autres façon d'avoir du bonheur ? Non, je voulais du fort, de l'intenste, de l'inoubliable!
Et c'est bien là ma lâcheté. Je n'ai pas osé entreprendre mon bonheur.
Parce que dans le fond, tout plaisir demande un effort, un entretien.
Et c'est par cette non-envie de me trouver moi-même un moyen de rire que j'ai pris de la drogue: c'est un aller-retour pour le monde de la joie et de l'extase obtenu sans trop de difficultés.
Je suis un lâche... un homme craintif qui a cherché le bonheur dans une substance déjà toute faite, que d'autres ont fait à ma place... J'ai cherché l'état passionnel, sans m'intéresser au chemin qu'il faut prendre pour arriver à ce dernier.
Bien évidemment, lobotomisés par votre jeune âge et les substances illicites (comme je l'étais auparavant), vous ne comprendrez rien à mon discours... Mais je ne vous en veux pas! Vous n'êtes pas vraiment fauti's, dans le fond...
Certaines personnes naissent lâches, faibles, d'autres naissent plus fortes, avec des couilles (ah, à propos, les drogues m'ont rendus à moitié stérile! bon à savoir).
Vous, comme moi, êtes nés en vermine. Vos excuses seront soit que vous avez eu une enfance, une vie difficile, que je ne peux pas comprendre (détrompez-vous), soit que vous n'êtes pas dépendants, que vous en prenez peu, que vous faites ça pour vous amuser et que vous êtes pleinement conscients et adulte.
Sans blague, je disais la même chose aussi !
...avant de risquer de sombrer dans une psychose.
Et puis, l'excuse que vous n'êtes pas dépendant, on ne me la fait pas! Et je la connais bien, je l'ai souvent utilisée!
Mais quand je vois un tas de puces excitées comme des éléphantes hypertrophiés en sachant que leur paquet de mush ou pilz arrivera, je me demande si vous êtes pleinement conscients de votre cas (qui est aussi le mien, hélas!).
Un bonheur superficiel et éphémère qui conduit à la mort. La cupidité de croire qu'avec ces substances, on touche au bonheur, alors qu'en fait, elles ne font que nous enfoncer encore plus dans notre condition répugnante de rats postuleux cherchant par tous moyens à fuir léa difficulté.
Parce que c'est bien ça que nous sommes!
Nous rejetons notre condition humaine comme des lâches!
Nous ne sommes rien de plus qu'une enveloppe charnelle putride et je comprends bien le proverbe "qui se ressemble, s'assemble":
nous sommes aussi malsains et synthétiques que les substances que l'on ingurgite.
Ah, je sens déjà qu'on m'enverra chier, qu'on me reprochera d'avoir écrit ce post dans le seul but de vous prévenir...
Détrompez-vous encore une fois; je ne le fais que pour moi.
Je raconte mon histoire à qui veut bien l'écouter.
Oh, je sais que personne ne se donnera la peine de me lire et encore moins de considérer l'éventuelle véricité de mes propos.
Mais j'ose tout de même espérer (encore à cause des acides, sans doute... sinon j'aurais bien su que mon espoir était vain) que quelqu'un comprendra mon message.
Que quelqu'un réalisera.
Changera.
...avant de mourir.
Un mourra tous un jour. Si, si, je vous assure.
Mais nous, on mourra sans avoir connu la vie.
On mourra en ayant cotoyé la vie durant toute notre existance.
Et j'espère que tous ceux continuant à faire l'apologie des drogues, mourront en plein bad trip! C'est une jolie mort... je trouve.
Ah tiens. MDMA. combien de morts ? Combien d'infarctus ? Oh, inutile de compter.
ah et... combien de suicides dûs à la lâcheter d'affronter le monde ?
C'est bien connu, on rêve et quand on redescent sur terre, on déprime. Tant qu'on arrive à être perché le plus souvent possible, ça va.
Mais si un jour vous tenez à avoir une carrière (parce que je sais que vous êtes tous des gamins encore boutonneux et vivant chez vos parents), vous ne porurez plus vous chépère sans cesse.
C'est la dépression qui vous attend.
Enfin bon.
Faites comme bon vous semble.
Pour ma part, j'en ai marre d'être une vermine virulante. Pas vous ?
Réagissez, s'il vous plaît.
Et considérez mes propos!
Et si vous êtes en désaccord, on est entre personnes intelligentes ici (vraiment ?), et sobres! Alors exprimez-vous! Expliquez-vous!
Je suis ouvert à toute excuse, et mon esprit est flexible.
Mais comprenez mon message et parlez. Ne jugez pas.
Merci.
Sur ce, je vous souhaite à tous une agréable soirée et une vie aussi paisible que possible!
Ayez du courage...
Lysergide.
p.s: Je distingue bien la toxicomanie au fait de se droguer simplement.
Les toxicomanes ont besoin d'aide.
Les lombrics comme nous ont besoin d'une fessée. Ou mieux: une attaque céréabrale, question de mieux réaliser.
Si j'en avais eu une, j'aurais arreté plus tôt.
p.s.2: je n'ai toujours pas réussi à arrêter, pour cela je me considère aussi une vermine.