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Le comment du pourquoi

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Deleted-1

Guest
L'autre soir je me faisais super chier dans mon lit, le flot de pensée dans ma tête m'empêchant de dormir et n'ayant rien d'autre à faire, je me suis au fil de mes pensées mis à réfléchir à la question du pourquoi du comment.


J'ai tout d'abord voulu définir les termes, enfin plutôt les expliquer au travers de deux autres termes que sont "la cause" et "le sens".

Pour moi chercher à savoir le comment d'une chose c'est en chercher la cause : cette chose s'est passée comme ceci parce que il y a eu cela. C'est un fait, un constat d'une relation de cause à effets.

Chercher à connaitre le pourquoi d'une chose c'est en chercher le sens : il y a certes eu ceci grâce à cela, mais pourquoi ? parce que ceci voulait ça, donc il a fait cela. C'est l'analyse de la cause, la recherche du sens de cette cause.

En soi c'est quasiment la même chose, au final il y a eu ceci de fait, mais du point de vue du comment, on s'en tient au fait, la cause suffit à satisfaire, alors que du point de vue du pourquoi, il faut d'abord comprendre la cause pour pouvoir en saisir le sens, la différence se situe belle et bien là ---> chercher un sens à une cause, c'est prendre du recul sur celle-ci.

Mais à trop chercher le pourquoi du comment, il y a moyen de se perdre entre la cause et le sens de toute chose, à condition qu'il y ai vraiment un sens...mais comme toute cause a logiquement un sens (si on veut bien lui en donner un), alors je pense que la question n'est pas insensé...mais faut vraiment ne pas arriver à dormir pour tomber dans ses pensées en se prenant autant la tête, alors qu'il n'y avait pas de question à la base...bref.

De toute façon mon esprit est à balle, et je ne me calmerai avant une bonne demi heure, donc autant pousser la réflexion un peu plus loin, c'est toujours mieux que de se tourner des films, enfin c'est plus concret.

J'en viens donc à me demander à quel moment on cherche la cause où le sens de toute chose, parce que c'est pas si évident de bien différencier les deux dans notre quotidien, surtout que je ne sais pas si de fil en aiguille, au départ il y a une cause où un sens. parce que pour qu'il y ai une cause, il faut que l'être humain est eu un sens à la créer, et selon moi tout à un sens.

J'en déduis donc qu'au départ il y a eu une idée, puis que l'esprit humain lui a donné un sens, et qu'enfin après réalisation de l'idée il y a eu de quoi expliquer le raisonnement sensé par une cause :

Je suis parti de A pour aller à B, c'est effectivement ma relation de cause à effets.
J'ai voulu comprendre pourquoi je suis parti de A pour aller à B, c'est retrouvé le sens premier de mon idée, ah oui c'est vrai je voulais savoir si au départ mes réflexions se construisaient en recherchant le comment ou le pourquoi des choses...

Le pourquoi bien évidemment !

C'est la question de tout enfant en proie à son propre éveil, pourquoi ceci, et pourquoi cela..?

La curiosité n'est pas un si vilain défaut, surtout lorsque l'on découvre le monde, et c'est tout naturel qu'un enfant cherchant à connaitre le sens d'une chose, se voit expliquer le comment de cette chose par un adulte.

Pour l'adulte cette chose lui ai acquise depuis longtemps, il analyse son environnement connu en répondant à la question comment en permanence, on fonctionne comme ça inconsciemment tous les jours, par exemple comment je fais pour prendre les transports en communs ? et bien je passe ma carte devant le scanner et je n'ai plus qu'à monter dans le métro ou dans le bus, comment je monte dedans ? et bien j'attends que la porte s'ouvre et puis je passe le pas une fois qu'elle est ouverte...etc, on y pense pas consciemment, la réflexion se fait toute seule inconsciemment.

Ce n'est que lorsque l'enfant à assez de concepts en tête qu'il se met à chercher à comprendre comment fonctionne le monde qu'il perçoit de plus en plus, je me dis que passer du pourquoi au comment doit se faire vers 7 ans à l'âge de raison, on a assez de maturité et de savoir pour commencer à relier nos idées en comprenant comment fonctionne le monde.

Mais pour cela il faut l'avoir accepté ce monde, et accepter une chose nécessite d'en avoir saisi le sens, donc d'avoir déjà répondu à la question du pourquoi de cette chose.

Ok donc je suis pratiquement sur qu'il y a un sens avant toute cause, ça doit d'ailleurs être pour ça que toute cause à un sens, sur le coup ça me parait con d'écrire ça tellement je trouve ça évident en fait.

Ça me semble tellement évident que je comprends mieux pourquoi les adultes sont parfois complètement paumés dans leurs têtes, à trop voir le monde du point de vue du comment (de façon élémentaire), on en oublie le sens de son fonctionnement primaire, et à ne plus savoir pourquoi ceci, on ne sait plus comment on en est arrivé à cela. C'est très déstabilisant quand on grandit sans plus savoir quel était notre but initial, quel sens on avait donné à sa réalité, et quand on a trop dévié de son objectif au point de le perdre de vue, et bien on ne sait plus comment faire pour se remettre sur de bons rails.

La religion est un parfait exemple pour comprendre tout le sens quelle donne à la vie de milliards d'être humain, toutes ces personnes ont donné du sens à leur vie en prenant les concepts religieux comme idéologies, et ces idéologies proposent en plus des causes à suivre, des bonnes causes bien sensées, à partir de là on comprend vite pourquoi il est facile de dire que la religion est un piège à con, non pas que ça soit vrai, mais les dirigeants gèrent mieux les masses si elles appliquent ce qu'ils leur disent de faire. A côté du fait que les gens sont guidés à coup de promesses paradisiaques, les religions sont des inventions extraordinaires pour les êtres humains, elles leur permettent de croire en eux au travers d'un ou plusieurs dieux, et donc de toujours avoir un sens à leur vie, et ça même dans les moments les plus durs, rien de tel que de croire en quelque chose pour se redonner du courage !

Ainsi adopter le point de vue du comment permet de vivre sans trop réfléchir, on sait comment vivre sans se poser de question qui font se prendre la tête, donc on avance sans trop penser, mais au final à ne plus rendre conscient son but et ses idées, on peut en oublier le sens de sa réalité...et là c'est le doute.

Donc aujourd'hui on va chez le psy, et ce gentil monsieur nous redonne confiance en nous amenant à retrouver notre propre but, il nous fait retrouver le sens de notre vie et tout repart comme sur des roulettes quand on a de nouveaux consciemment en tête notre itinéraire de vie, ça évite de se perdre à droite à gauche et c'est plus rassurant de suivre une ligne toute tracée.

Vous avez compris que ce n'est pas parce qu'on devient adulte qu'il faut arrêter de se demander pourquoi ceci ou pourquoi cela, c'est pas si grave de passer pour un enfant, et puis dans le fond, à chercher le pourquoi du comment toute sa vie, c'est un coup à toujours savoir à peu près où l'on en est, en tout cas quand on suit cette voie là, on sait certainement plus de chose que les gens qui se sont arrêtés au comment des choses...il n'y a qu'une question de plus pour prendre un peu plus de recul, et c'est la question du pourquoi du comment !




Et puis hier soir je n'ai encore pas réussi à dormir, en ce moment je dois traverser une phase de stress si je me questionne autant le soir avant de m'endormir, je ne suis pas des plus serein puisque je ne m’endort pas comme un bébé, ça c'est la cause de mon insomnie nocturne, mais quelle en est le sens, pourquoi je n'arrive pas à m'endormir plus rapidement ?

J'ai donc cherché à comprendre quel type d'esprit fonctionnait à la cause, et quel autre type d'esprit travaillait au sens.

Hum, j'ai écris que la cause est un fonctionnement et que le sens est un travail, comme c'est intéressant, en fait les personnes insouciantes se laissant aller dans leurs pensées vivrait inconsciemment leur vie sans avoir besoin d'un sens, alors qu'à l'opposé les personnes plus conscientes ne pourrait pas se laisser aller dans le comment inconscient tant qu'elle n'aurait pas trouvé de sens à leurs interrogations incessantes...ah oui, toujours avoir une réponse, sinon le stress ne laisse pas de place à l’insouciance.

Mais pour trouver réponse à tout il faut se rapprocher de la vérité, de sa propre vérité, il y a donc les personnes qui ont besoin de savoir et celles qui n'en ont pas besoin, ça fait deux grandes catégories bien distinctes, les rationnels et les branleurs, c'est très bien comme point de départ avant d'étayer sa pensée jusqu'à arriver à un point moins radical mais plus juste, plus vrai.

Bon je me suis tapé ma petite réflexion sur la vérité, la vérité commune, celle qui est dite par la personne ayant la meilleure argumentation, celle qui va convaincre ceux qui ne sont pas allé plus loin que le comment et qui va s'expliquer avec les personnes qui ont elles aussi répondu à la question du pourquoi, la bataille des idées à déjà commencé.

Pour l'instant je me bat avec moi même en regardant l'heure tourner et je me dis que demain je ne serais pas très frais, mais je pense que la réflexion en vaut la peine, c'est pas tous les jours que je suis aussi lucide et prêt à exposer autant de faits en leur donnant un sens au fil d'une argumentation.

Mais d'un coup je me rend compte que je n'ai pas parlé de drogue, alors c'est maintenant :

j'ai donc émis l'hypothèse qu'il y ai deux grandes catégories de personnes, celles qui vivent par le comment et celles qui pensent par le pourquoi.

J'en viens donc à me demander quelle type de drogue va avec quel type de raisonnement ?

Hum, je pense classer les drogues dans deux grandes catégories pour bien appuyer mes préjugés, comme ça ça devrait bien coller ensemble, j'aurai 4 cases, et plus qu'à relier deux d'entre elles ensemble, et logiquement les deux dernières cases devraient être compatibles.

Alors d'un côté plaçons les drogues dites de l'oubli : alcool, stimulants, empathogènes, opiacés...bref toutes ces drogues qui gonflent les égos au point de ne plus rien voir que soit même, les effets de ses drogues permettent de s'abstraire totalement de toutes réflexions conscientes, ce sont les drogues du cliché du parfait connard égocentrique qui ne prend pas la peine de prendre du recul parce que selon lui ça lui va bien, c'est le pire préjugé que j'ai trouvé pour ce type de drogue.

D'un autre côté plaçons les psychés, les dissociatifs et le cannabis, ce sont ces drogues qui rendent possible de toucher du bout du doigt la Vérité, ces drogues boost les égos de manières plus conscientes donc plus intelligentes que les drogues de la première catégorie, elles offrent la possibilité de prendre du recul autant sur soi que sur le monde extérieur grâce à la dissociation de l'esprit dans un état de lucidité totale, ce qui fait croire à certain qu'ils sont devenu de parfait gourous et qu'ils ne leur restent plus qu'à aller prêcher leurs découvertes à qui voudra bien les écouter. Au final ce sont eux aussi des égocentriques, mais comme ils se sont rapprochés de la Vérité, ce sont beaucoup moins des connards que les autres drogués qui n'ont pas prit le temps de se demander si leurs actes avait des répercussions sur leurs entourages.

Pour résumé grossièrement il y a les drogues qui font voir la Vérité et les drogues qui font s'oublier, vous aurez compris que les personnes qui ne cherchent pas plus loin qu'à savoir le comment des choses préfèreront se buter aux stims et autres drogues du genre pour ne pas avoir à se rendre compte de trop de chose qui pourrait remettre en question certain de leurs raisonnement, et qu'à l'opposé les personnes ayant un besoin de sens pour trouver plus de vérité préfèreront refaire leur monde en se prodant à coup de LSD ou de Kétamine, ça créé peu être beaucoup d'illusion mais au moins ça fait réfléchir (ou pas).




Ne me lyncher pas tout de suite, je sais très bien que l'on peut avoir de très bonnes réflexions autant sous Coke ou sous Héroine que sous LSD, et que d'ailleurs il est possible d'anéantir toute forme de pensée consciente à grands coup de Kétamine ou de MD, le tout noyé dans l’alcool bien évidemment, même si ce dernier offre aussi un très bon état de lucidité avant que le verre de trop ne vienne tacher le beau personnage que l'on a été avant d'être trop bourré.

Penser c'est un état d'esprit, à côté de ça les drogues sont des outils, et combiner les deux est possible, il n'y a pas de règle prédéfini pour avoir de bonnes réflexions, à part le fait qu'il faille être dans le bon état d'esprit, mais il y a toujours ceux qui croient encore qu'ils auront leur meilleure révélation en prenant un psyché par mauvais exemple :

C'EST PSYCHONAUTIQUEMENT FAUX !! les révélations sont seulement pour ceux qui acceptent de se confronter à la réalité.

"Quitter ses repères pour plus de lumières" (Mass Hystéria)



Bonne nuit.
 
@Laura : Jtaime bien toi. :D

@DSOTM : On en est tous capables potentiellement, faut juste apprendre à se servir de cette empathie potentielle. (bon apres y a la question de l intelligence, si elle est faible le potentiel est ptet moins grand, menfin quand même...]
 
Bonsoir,

Le sens correspond à une volonté ou un à désir, le mec qui va du point A au point B avait cette volonté ou ce désir de le faire. Comprendre le pourquoi c'est comprendre le désir ou la volonté de l'étre qui a engendré la cause et pour cela il faut comprendre son point de vue.
Et la nous ne sommes pas tous capable de comprendre le point de vue de tout le monde et de n'importe qui.

Edit: Oui ce n'est pas trop un probleme de capaciter, tout le monde peut en etre capable à conditions d'en avoir les moyens c'est donc plus une question de pouvoir et de vouloir.
 
DarkSideOfTheMoon a dit:
Bonsoir,

Le sens correspond à une volonté ou un à désir, le mec qui va du point A au point B avait cette volonté ou ce désir de le faire. Comprendre le pourquoi c'est comprendre le désir ou la volonté de l'étre qui a engendré la cause et pour cela il faut comprendre son point de vue.
Et la nous ne sommes pas tous capable de comprendre le point de vue de tout le monde et de n'importe qui.


Parfois faut un peu forcer la main aux gens, au risque de leur déplaire et qu'ils trouvent ba qu'on est très très méchant.
 
Ou il faut juste se forcer à (essayer de) comprendre les autres.
 
C'est a double sens, on doit faire l'effort de comprendre les autres comme faire l'effort d'etre compris par les autres, mais tout ca devient un probleme de comunication.

Apres ouai il a certaines personnes qui ont tendance à juger les autres par leurs actes (la cause) plutot que par leurs intentions (le sens). Je pense que les gens qui font cela ont une vision assez pessimiste des choses car ils arrivent assez souvent que nos actes ne soient pas à la hauteur de nos intentions. Par example, on voulait faire ceci mais ca ne c'est pas passé comme prevu car il y a eu cela, on avait oublié ou l'on ignorait tel chose.
 
Alors là je suis en totale osmose avec ton propos
 
DarkSideOfTheMoon a dit:
C'est a double sens, on doit faire l'effort de comprendre les autres comme faire l'effort d'etre compris par les autres, mais tout ca devient un probleme de comunication.

Apres ouai il a certaines personnes qui ont tendance à juger les autres par leurs actes (la cause) plutot que par leurs intentions (le sens). Je pense que les gens qui font cela ont une vision assez pessimiste des choses car ils arrivent assez souvent que nos actes ne soient pas à la hauteur de nos intentions. Par example, on voulait faire ceci mais ca ne c'est pas passé comme prevu car il y a eu cela, on avait oublié ou l'on ignorait tel chose.

Perso je juge les gens par rapport à leurs principes et à leurs valeurs morales principalement.

Après pour ce qui est de juger les actes, c'est normal de faire ça puisqu'un acte c'est l'aboutissement d'une intention, donc en jugeant l'acte il y a moyen de juger l'intention.

Faut juste être tolérant si l'intention était bonne mais que l'acte n'a pas entrainé les conséquences désirées, à condition que la personne est tout fait pour réussir.

C'est trop facile de cacher ses bêtises derrière de belles paroles, c'est le rôle d'un avocat de trouver de bonnes intentions là où il n'y en a pas.

Enfin je vois autour de moi, et même moi, il y a souvent de la justification à coup de bon sens, alors qu'en fait sur le moment présent, avec un peu de réflexion on aurait évité telle ou telle connerie (oubli et ignorance sont des excuses honnêtes comparé à ceux qui sont prêt à inventer des belles paroles pour se justifier)
 
Oui, c'est la qu'il faut assumer, quand on fait des conneries il faut accepter que l'on ai mal agis, s'en servir pour apprendre et mieux agir par la suite. Mais si ca partait d'une intention pas mauvaise les autres pardonnerront plus facilement.

Et nos intentions ne refletent elles pas un peux nos principes et valeurs morales? (Je n'y ai pas encore reflechi donc c'est une vrai question)
 
L'intention n'a rien à voir avec un quelconque principe ou valeur morale. Perso, je n'ai ni morale ni principes, et ça ne m'empêche pas d'avoir des intentions bien au contraire. Je lierai davantage l'intention à l'éthique (qui évolue, compréhension par le cœur) qu'à la morale (figée et mentale).
Par nature, une intention est spontanée et intérieure par opposition à la volonté, qui est souvent réfléchie et tournée vers l'extérieur.
Par exemple, quelqu'un avec des valeurs morales chrétienne agira le plus souvent par sa volonté, à faire appliquer cette morale. Et on peut faire cela sans vraie intention. La volonté par la morale peut se faire de manière mécanique et froide, sans cœur, donc ne reflète pas du tout l'intention intérieure. Ainsi, un prêtre peut faire une messe et souhaiter à la paroisse tout le bonheur et la lumière de Dieu pour la semaine à venir, sans réellement avoir l'intention de ses paroles. Sa parole n'aura donc aucun pouvoir, aucune puissance, aucune sincérité. Et donc n'aura pas d'impact concret. Si en plus, l'intention, sous de belles paroles, est mauvaise, là on arrive à une forme de manipulation et cela peut aboutir en conséquence à quelque chose de mauvais.

Donc non, l'acte n'est pas l'aboutissement d'une intention. Une intention n'a pas d'aboutissement car elle est générale et non finie, alors que l'acte est fini en soi. Des gens avec de très bonnes intentions peuvent faire des désastres, mais cela n'est pas dû à leur intention, mais à leur manière de concrétiser les choses qui est inadaptée au monde dans lequel ils sont.
Je pense que l'on ne peut pas juger les gens en eux-mêmes, car il nous manquera toujours des pièces à la compréhension profonde de celui-ci, mais l'on peut juger ce qu'il pense ou ce qu'il fait, choses extérieures à l'être. Et même là, je garde des réserves, car par juger j'entends "remettre en question" et non un jugement froid et se voulant absolu, rigide et cassant. Un jugement est utile que s'il amène à une compréhension plus large de la vie, et doit donc être accompagné d'une intention pure; à partir du moment où ce jugement entraîne de la violence, entraîne l'autre à régresser, le compromet dans son intégrité, alors ce jugement ne partait pas d'une bonne intention. Donc dans cet exemple encore, avec les mêmes paroles, on peut avoir deux impacts différents; à soi de trouver où est placée l'intention par rapport à la volonté...
 
Une framboise qui troll, on aura tout vu!! :)
 
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