Dr FeelGood PhD
Banni
- Inscrit
- 8/8/15
- Messages
- 94
J'ai experimenté quelquefois avec des dosages assez variables dans la prise IV de MDMA.
Avant tout autre chose je déconseille fortement d'introduire des stimulants/empathos via IV car il.devient quasi impossible d'arrêter la consommation.
C'est d'autant plus important dans le cas de MDMA car subjectivement les effets sont forts voir lourds. Il y à un consensus sur bluelight que l'IV de MDMA est pas loin d'expérience le plus dur auquel vous pouvez subir votre corps et votre esprit.
Il y à un autre consensus que parait il le rush provoqué par l'injection est l'une des plus orgasmiques et ou hard.
Ça m'a pris pas mal de temps de m'habituer à ses effets car la sensation est très viscérale, très crude, on sent le V12 sous le capot mais aucun confort pour le conducteur.
Ce soir je me suis introduis une dose significative ce qui a provoqué le fameux rush. Ce n'est pas des dosages des plus legers, la plupart ne s'aventure pas au delà de 50mg ce qui déjà explose en plein gueule.
Ce soir j'ai du gérer un crise aussie une réaction d'une violence inouï à une prise de MDMA IM par ma copine à a peu près 1/4 de ma dose usuelle répète 3 ou 4 fois.
Ça m'a ouvert les yeux sur comment j'arrive â supporter des quantités phénoménales de produit. Ce poste est pour les vétérans ou des simples curieux. La réaction que j'ai vu sur ma copine à pris trois Tercians et un clonazolam à ne serait ce que faire partir les claquements de dents d'une tel force que le son m'était insupportable et je m'inquitais sérieusement pour son état de santé.
Sérieusement les gars ce poste ne s'adresse pas à une majorité. Ça devrait suffire pour RdR.
Maintenant le rush lui même. Très décevant en vérité. Beaucoup trop rustique. On a la sensation par contre que ca vient de quelque part au delà et cette énergie à l'État pur n'est pas du tout de goût de mon esprit pour le subtil.
Mon seul point de comparaison est la pentedrone qui après des recherches approfondi j'ai étiquette correctement. Avant c'était un MDPV soft, maintenant je sais que ses effets sont uniques bien plus puissants que PV et surtout beaucoup moins sales. La pentedrone s'apprécie à sa juste valeur que en IV. Les effets sont au delà de mon vocabulaire â essayer de communiquer.
Si disons je note pentedrone 8, je note MDMA 4.
Donc la réponse ultime c'est que le rush "mythique" de MDMA IV n'est que cela un simple myth.
A partir de la je ne peux trouver aucune utilité à son usage intraveineuse et ce soir aura été mon dernier.
A la différence de ce que disent les posteurs sur bluelight je trouve pas que c'est un usage plus échappatoire/solitaire plus proche de cocaïne ou autre stimulant. Non les effets de MDMA sont la, ils se sont développés sur 5-10 minutes. Et je suis prêt à être engagé dans une conversation profonde et mutuellement enrichissants. Il n'y pas vraiment d'envie de renouveler, malgré la courte duree : 2 heures a tout casser pour se retrouver au même point que juste avant le shot.
La vitesse avec laquelle cette expérience assez complexe de MDMA se dissipent pour faire émerger un état d'esprit fonctionnel à 100 pourcent ne cesse jamais de me surprendre.
Encore une fois je déconseille vivement à qui que ce soit d'injecter des stimulants et surtout des stimulants forts car on rentre sur le terrain d'envies aussi tangibles que l'effet physique de sevrage d'héroïne.
Il y a toujours une période à transiter avant que l'envie devient gerable ça peut durer de 2 à 6 heures de combat corps à corps avec sa nature animale. Une fois l'intervalle critique depassé l'envie de reshooter disparait. Mais ça prends énormément de volonté pour vaincre le desir primaire de reshooter et je ne pense pas que tout le monde est taillé pour ses jeux la.
Au dela de la dépendance psychique violente il y a des dégâts de toute sorte subis par le corps car les stimulants le pousse dans ses limites de résistance théorique.
Assez de blabla, mangez votre MD, pluggez la, sniffez la, IM pour les plus aventureux mais IV n'a strictement aucun intérêt.
Avant tout autre chose je déconseille fortement d'introduire des stimulants/empathos via IV car il.devient quasi impossible d'arrêter la consommation.
C'est d'autant plus important dans le cas de MDMA car subjectivement les effets sont forts voir lourds. Il y à un consensus sur bluelight que l'IV de MDMA est pas loin d'expérience le plus dur auquel vous pouvez subir votre corps et votre esprit.
Il y à un autre consensus que parait il le rush provoqué par l'injection est l'une des plus orgasmiques et ou hard.
Ça m'a pris pas mal de temps de m'habituer à ses effets car la sensation est très viscérale, très crude, on sent le V12 sous le capot mais aucun confort pour le conducteur.
Ce soir je me suis introduis une dose significative ce qui a provoqué le fameux rush. Ce n'est pas des dosages des plus legers, la plupart ne s'aventure pas au delà de 50mg ce qui déjà explose en plein gueule.
Ce soir j'ai du gérer un crise aussie une réaction d'une violence inouï à une prise de MDMA IM par ma copine à a peu près 1/4 de ma dose usuelle répète 3 ou 4 fois.
Ça m'a ouvert les yeux sur comment j'arrive â supporter des quantités phénoménales de produit. Ce poste est pour les vétérans ou des simples curieux. La réaction que j'ai vu sur ma copine à pris trois Tercians et un clonazolam à ne serait ce que faire partir les claquements de dents d'une tel force que le son m'était insupportable et je m'inquitais sérieusement pour son état de santé.
Sérieusement les gars ce poste ne s'adresse pas à une majorité. Ça devrait suffire pour RdR.
Maintenant le rush lui même. Très décevant en vérité. Beaucoup trop rustique. On a la sensation par contre que ca vient de quelque part au delà et cette énergie à l'État pur n'est pas du tout de goût de mon esprit pour le subtil.
Mon seul point de comparaison est la pentedrone qui après des recherches approfondi j'ai étiquette correctement. Avant c'était un MDPV soft, maintenant je sais que ses effets sont uniques bien plus puissants que PV et surtout beaucoup moins sales. La pentedrone s'apprécie à sa juste valeur que en IV. Les effets sont au delà de mon vocabulaire â essayer de communiquer.
Si disons je note pentedrone 8, je note MDMA 4.
Donc la réponse ultime c'est que le rush "mythique" de MDMA IV n'est que cela un simple myth.
A partir de la je ne peux trouver aucune utilité à son usage intraveineuse et ce soir aura été mon dernier.
A la différence de ce que disent les posteurs sur bluelight je trouve pas que c'est un usage plus échappatoire/solitaire plus proche de cocaïne ou autre stimulant. Non les effets de MDMA sont la, ils se sont développés sur 5-10 minutes. Et je suis prêt à être engagé dans une conversation profonde et mutuellement enrichissants. Il n'y pas vraiment d'envie de renouveler, malgré la courte duree : 2 heures a tout casser pour se retrouver au même point que juste avant le shot.
La vitesse avec laquelle cette expérience assez complexe de MDMA se dissipent pour faire émerger un état d'esprit fonctionnel à 100 pourcent ne cesse jamais de me surprendre.
Encore une fois je déconseille vivement à qui que ce soit d'injecter des stimulants et surtout des stimulants forts car on rentre sur le terrain d'envies aussi tangibles que l'effet physique de sevrage d'héroïne.
Il y a toujours une période à transiter avant que l'envie devient gerable ça peut durer de 2 à 6 heures de combat corps à corps avec sa nature animale. Une fois l'intervalle critique depassé l'envie de reshooter disparait. Mais ça prends énormément de volonté pour vaincre le desir primaire de reshooter et je ne pense pas que tout le monde est taillé pour ses jeux la.
Au dela de la dépendance psychique violente il y a des dégâts de toute sorte subis par le corps car les stimulants le pousse dans ses limites de résistance théorique.
Assez de blabla, mangez votre MD, pluggez la, sniffez la, IM pour les plus aventureux mais IV n'a strictement aucun intérêt.