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Salut ! Il y a quelques années, je pensais qu'une drogue reste la même drogue quelle que soit sa voie d'administration. Je croyais que les seules différences relevaient de dynamiques d'absorption produisant des effets plus ou moins intenses. Je savais que la voie orale produit parfois certains métabolites eux-mêmes psychoactifs, mais ça me semblait exceptionnel.
Néanmoins, depuis ce temps, j'ai fréquenté des tchats de consommateurs et régulièrement lu, en ce qui concerne les stimulants sérotoninergiques (MDMA, 3-MMC...) le constat suivant : la voie orale serait davantage empathogène que la voie nasale, qui serait davantage stimulante.
J'ai même lu ce constat dans une étude de 2018 qui pourtant ne traite pas directement du sujet : "[they] preferred routes of ingestion [of mephedrone] which they thought produced more MDMA-like effects (swallowing rather than snorting it)".
Ce qui m'étonne, c'est que ça semble commun à toute cette famille pourtant bien large des stimulants serotoninergiques. Comment expliquer ce phénomène ? Comme on n'en a pas vraiment parlé sur ce forum jusque-là, je vous propose :
- de documenter vos expériences, si vous en avez, et également si vous n'êtes pas d'accord avec ce constat.
- en second lieu, de partager des pistes de réflexion ou même des explications si vous en avez.
Pour ma part, j'ai bien ressenti ça avec la 5-MAPB. La voie nasale, même à haute dose, m'a semblé carrément fade : juste de la stimulation électrique, sans chaleur. Je crois que je préférerais presque rester sobre que priser (sniffer) de la 5-MAPB, alors que c'est l'un de mes prods préférés.
Néanmoins, depuis ce temps, j'ai fréquenté des tchats de consommateurs et régulièrement lu, en ce qui concerne les stimulants sérotoninergiques (MDMA, 3-MMC...) le constat suivant : la voie orale serait davantage empathogène que la voie nasale, qui serait davantage stimulante.
J'ai même lu ce constat dans une étude de 2018 qui pourtant ne traite pas directement du sujet : "[they] preferred routes of ingestion [of mephedrone] which they thought produced more MDMA-like effects (swallowing rather than snorting it)".
Ce qui m'étonne, c'est que ça semble commun à toute cette famille pourtant bien large des stimulants serotoninergiques. Comment expliquer ce phénomène ? Comme on n'en a pas vraiment parlé sur ce forum jusque-là, je vous propose :
- de documenter vos expériences, si vous en avez, et également si vous n'êtes pas d'accord avec ce constat.
- en second lieu, de partager des pistes de réflexion ou même des explications si vous en avez.
Pour ma part, j'ai bien ressenti ça avec la 5-MAPB. La voie nasale, même à haute dose, m'a semblé carrément fade : juste de la stimulation électrique, sans chaleur. Je crois que je préférerais presque rester sobre que priser (sniffer) de la 5-MAPB, alors que c'est l'un de mes prods préférés.