Tridimensionnel
Cheval théorique
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Souvent, quand je commence à ne pas aller bien, je n'arrive pas à essayer de voir les choses de façon positive. Je ne parle pas de perdre ses clefs ou d'être stressé par le métro, mais des phases réellement dépressive où l'on se sent petit à petit tomber en miettes.
Dans la volition il y a deux étapes : décider d'essayer, et essayer ensuite. C'est comme si ce qui permet de décider d'essayer être heureux était cassé. Je ressens presque du soulagement, ou une joie étrange, à me sentir mal. Comme si le sol était légèrement incliné et que j'avais une bonne excuse pour ne pas faire l'effort de remonter cette pente.
Pourquoi ?
Est-ce quelque-chose de commun à tous les êtres humains, une tendance cognitive globale ?
Est-ce plutôt typique des états dépressifs ? Une cause neuro-chimique, que sais-je ?
Je suis pas trop fan des théories psychanalytiques mais bon pourquoi pas aussi.
Et vous, trouvez-vous la mélancolie plus confortable que la joie ?
Dans la volition il y a deux étapes : décider d'essayer, et essayer ensuite. C'est comme si ce qui permet de décider d'essayer être heureux était cassé. Je ressens presque du soulagement, ou une joie étrange, à me sentir mal. Comme si le sol était légèrement incliné et que j'avais une bonne excuse pour ne pas faire l'effort de remonter cette pente.
Pourquoi ?
Est-ce quelque-chose de commun à tous les êtres humains, une tendance cognitive globale ?
Est-ce plutôt typique des états dépressifs ? Une cause neuro-chimique, que sais-je ?
Je suis pas trop fan des théories psychanalytiques mais bon pourquoi pas aussi.
Et vous, trouvez-vous la mélancolie plus confortable que la joie ?