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La MDMA est les muscles?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion oeufalacoke
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oeufalacoke

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16/1/12
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Bonjour à tous,
J'ai remarqué au fil des perches l'incidence de la MDMA sur les muscles et j'aimerais avoir votre avis sur la question.

Lors d'une montée on a plutot tendance à trembler, claquer des dents, est ce un gage de bonne qualité? Mais j'ai remarqué aussi que beaucoup de filles se faisait littéralement pipi dessus comme si elle ne contrôlais plus leurs vessies. Pour ma part j'ai remarqué l'effet inverse, ma prostate se bloque et j'attend de longues secondes avant d'y arriver...
Lors de la descente, j'ai des douleurs en bas du dos. Y'a t'il un réel danger pour la santé musculaire a court/moyen/long terme?
J'ai essayé de trouvé de vrais études portant sur la question mais rien de bien sérieux.

Je pose mon hypothèse, plus la MDMA est de bonne qualité, plus elle a d'incidence sur les muscles. Qu'en pensez vous?
 
Je dirai plus généralement que ton corps sous stimulant doit un moment a un autre, si tu ne lui fourni pas assez d'énergie, taper dans les muscles (ayant déjà vidé tes stocks de glycogène et ayant déjà aussi tapé dans les graisses). Et là ça craint beaucoup pour tes reins car les déchets de consommation des protéines de tes muscles ne leur fait pas du bien! Si tu pisse marron, danger de rhabdomyolyse. Mais wikipédia expliquera ça bien mieu que moi ;)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rhabdomyolyse
 
Mais si j'ai bien compris ça ne doit arriver qu'au cas ou le corps n'aurait plus un pete de graisse ni d'energie?
 
Je pense que le mdma ( et non pas "la" non mais éh! :P ) influe sur ton corps en fonction de la régularité des prises, car c'est un coupe faim très efficace, ensuite faut savoir que sous md, ton corps est beaucoup plus actif, même quand tu est assis et que tu discute tu peut remarqué que tes muscles ce contractent etc ( malgré la sensation de détente ), le hic c'est que pour que tu n'ai pas la sensation d'avoir fait 1h de footing pendant la descente, il faudrait que tu alimente ton corps en glucide et en acide lactique, ce qui signifie que tu ne devras pas être agent, ce qui n'est pas compatible avec le md puisque pour avoir un effet sur un para faut avoir le ventre vide, je te conseille alors de boire un litre de lait bien sucré 30 min avant la prise, et des que tu sent que tu descend, tu reprend la même chose ( a moins de redrop car s'alimentais pendant un trip au md provoque la redescente ) Voila j’espère t'avoir aidé, si tu suit mes conseils tien moi au courant des résultat, en te remercient :D
 
shokobon a dit:
Je pense que le mdma ( et non pas "la" non mais éh! :P )
3,4-méthylène-dioxy-N-méthylamphétamine
On dit une amphétamine. Donc bon. :P
 
Il est possible que je me trompe, mais je ne suis plus sure du coup x)
 
Moi je suis sûre du mien. Mais bon, stop flood.
 
Tu donneras des leçons quand tu seras allé te présenter...
EDIT : ok c'est fait merci.

Et sa remarque n'était pas désagréable, et s'appliquait aussi à elle il me semble. Faut pas réagir au quart de tour comme ça -_-...

EDIT2 : ouais, oublie carrément ce ton dans tes messages, ça sonne vraiment agressif et en bon bisounours j'aime pas ça. Et quitte à être relou, autant aller au bout : fais un petit effort sur l'orthographe stp.
 
Je ne met pas de ton agressif, je m'en escuse si c'est le rensentis que vous avez eu, je voulais simplement etre bref, je vais finir par me faire detesté moi je sent :oops:
 
Ok ok pas de soucis, c'est le sentiment que j'ai eu c'est tout. Ça peut être trompeur parfois les forums là dessus, on se fait régulièrement mal comprendre.

Par contre, fais vraiment un effort sur l'orthographe stp.
 
shokobon a dit:
Je ne met pas de ton agressif, je m'en escuse si c'est le rensentis que vous avez eu, je voulais simplement etre bref, je vais finir par me faire detesté moi je sent :oops:

Mais non mais non, c'est juste que tu part comme moi avec un handicap puisqu'on a tous les deux un pseudo pourri! :D (j'rigole biensur^^) On dit bien une amine donc sans trop de risque je peux dire que la MDMA c'est l'extase.

il faudrait que tu alimente ton corps en glucide et en acide lactique, ce qui signifie que tu ne devras pas être agent, ce qui n'est pas compatible avec le md puisque pour avoir un effet sur un para faut avoir le ventre vide, je te conseille alors de boire un litre de lait bien sucré 30 min avant la prise,

D'accord pour dire que le lait contient de l'acide lactique car le lactose se transforme peu a peu en acide lactique, (j'y croyais pas mais je suis allé vérifié tu m'as appris un truc ptain, je suis lent parfois^^) par contre pourquoi vouloir se sustenter spécialement en acide lactique? Je dirai le contraire, un stim' ça rend ton corps plus acide, faudrait thériquement manger des trucs basiques cô légumes verts pour rééquilibrer (mais je bois aussi du lait comme toi en descente ou dla whey protéine quand j'arrive rien a bouffer, donc en gros c'est a ce moment de mon message que je me rend compte que je n'ai posté que pour réagir a pas grand chose, sorry)! Et pas obligé d'avoir le ventre vide, grâce a la formidable technique qu'est le plug, tu peux sans contrainte te gaver grave de raclette pour ton nouvel an de shéper, et te foutre une sacré raclée au derrière! S'pas beau la vie?

Ah et je suis d'ac les agents sa se marie pas très bien avec la MD :P
 
Hello cher psychaunot, en ce qui concerne l'acide lactique, tout le monde a déjà eu des courbature due a la musculation ou même pour avoir dormis dans une mauvaise position, en faite c'est du a l'acide lactique (j'avoue ne plus trop savoir si c'est un manque ou un effet sur les déchirures du tissue musculaire (sisi la prise de volume des muscle est due au micro déchirures causée par l'effort)) imagine que ton corps est un moteur de péteuse, les glucides étend le carburant et l'acide lactique le lubrifiant ( métaphore a la noix !) .

Amicalement je me votre. shokobon
 
Et das, pardon man je ne suit pas très bon en français ( faute d’étude très courtes ) je suis désolé si sa pique les yeux. :|
 
C'est une théorie ancienne et dépassée pour le rôle de l'acide lactique dans les courbatures, si je ne m'abuse!

Avant diffusion sur le site (peut-être sous une forme légèrement différente et plus courte), j'aimerais vous faire partager cet article qui est le résultat d'une recherche documentaire que j'ai effectuée sur le rôle de l'acide lactique.

Acide lactique : l’ennemi public n°1 ?

Acide lactique. Voilà une molécule que les sportifs ont accusée de tous les maux : fatigue musculaire, crampes, courbatures. L’entraînement était d’ailleurs un véritable plan de bataille contre cet ennemi. Objectif : limiter son apparition et en cas d’apparition en favoriser l’élimination dans les plus brefs délais !

Il est pourtant très probable que l’acide lactique ait été victime pendant plusieurs décennies d’un mauvais procès et de nombreuses études conduisent aujourd’hui à sa réhabilitation. Comme nous allons le voir, ce revirement complet a de nombreuses conséquences et entraîne l’abandon de notions encore largement diffusées comme les fameux seuils anaérobie et aérobie.

Courbatures, crampes : l’acide lactique un coupable facile

Précisons tout d’abord que l’acide lactique n’apparaît quasiment pas en tant que tel dans l’organisme. Il est immédiatement dissocié en un sel appelé lactate et un proton. C’est pourquoi nous parlerons ici souvent de lactate. Les mesures de concentration en lactate sont le plus souvent effectuées après le passage de cette molécule dans le sang.

La relation entre acide lactique et courbatures était probablement la plus douteuse. Comment expliquer en effet qu’un sportif très entraîné les ressentent beaucoup moins qu’un sportif occasionnel alors que sa production d’acide lactique est généralement très supérieure ? Comment expliquer également que certains sports soient nettement plus épargnés que d’autres (les nageurs étant d’ailleurs plutôt bien lotis dans ce domaine) ?

Aucune corrélation n’a pu être trouvée lors d’expériences associant prélèvements sanguins et questionnaire sur les douleurs ressenties. D’autres responsables sont aujourd’hui désignés, notamment les contractions excentriques (contractions qui ont lieu lorsque le muscle résiste à l’allongement et qui sont obtenues par exemple lors d’une course en descente) (4)

Les corrélations ne sont pas plus évidentes entre la concentration en lactate et l’apparition de crampes. On peut même développer des crampes musculaires pendant le sommeil à un moment où la lactatémie est particulièrement basse.
D’autres mécanismes nettement plus probables expliquent l’apparition des courbatures et des crampes notamment les microlésions musculaires pour les courbatures, la déshydratation ou les carences minérales pour les crampes (1).

Ces mécanismes étant restés longtemps méconnus ou incertains, l’acide lactique a semble-t-il constitué pendant longtemps un coupable par défaut.

Fatigue musculaire : l’acide lactique, un spectateur malheureux

Le doute étant levé sur ces maux du sportif, reste à savoir si l’acide lactique est responsable de la fatigue musculaire et s'il constitue un frein à la performance.

Là encore, la corrélation entre acidité et fatigue musculaire n’est pas probante. On peut observer des situations où l’acidité est faible mais la fatigue élevée à l’exemple du marathonien mais aussi des situations où l’acidité est élevée sans que la fatigue soit importante. Guy Thibault et François Peronnet ont publié un article sur le sujet (2) dans lequel ils prennent l’exemple de l’exercice dit de « la chaise ». Cet exercice impose une contraction isométrique des quadriceps qui entraîne une hausse importante de l’acidité. Pourtant, les quadriceps récupèrent leur niveau de force initial après seulement 2 minutes alors que le muscle conserve à ce moment un très haut niveau d’acidité.

Des chercheurs britanniques (3) ont quant à eux demandé à des cyclistes de réaliser un test dans lequel ils devaient tenir le plus longtemps possible une puissance de pédalage déterminée. Or les meilleurs résultats sur ces tests ont été obtenus lorsque ces sportifs avaient réalisé au préalable un effort soutenu occasionnant une élévation assez nette du taux de lactate dans le sang.

Une autre conception de l’acide lactique a ainsi progressivement émergé. L’acide lactique est un produit intermédiaire des mécanismes de production d’énergie. Ce produit intermédiaire, loin d’être un déchet nocif, dispose encore d’un fort pouvoir énergétique et constitue une véritable source d’énergie alternative pour le muscle. In vitro, on a même pu mettre en avant un effet protecteur du lactate contre la fatigue musculaire (6), le monde à l'envers !

Des conséquences importantes pour l'entraînement

Ces recherches révolutionnent la façon d’aborder l’entraînement dévaluant en premier lieu, toutes les méthodes qui mesurent l’intensité de l’exercice à l’aune de la concentration en lactate. Les notions de seuil aérobie ou de seuil anaérobie en particulier, semblent à la fois inutiles et faussées. Inutiles puisque l’acide lactique n’est pas forcément nuisible à la performance. Faussées puisque la concentration sanguine en lactate (on estime généralement que le seuil anaérobie correspond à une concentration sanguine de 4 mmol/L) n’est que le reflet imparfait de l’activité musculaire dans laquelle les lactates sont en permanence à la fois produit et utilisés comme carburant.

En second lieu, si l’acide lactique peut être considéré comme un carburant de l’activité musculaire, il peut sembler intéressant de favoriser l’entraînement à des intensités qui mettent assez largement en jeu les processus anaérobies sous forme par exemple de séries avec variations d’allure par rapport à un entraînement à une intensité continue (5).

Enfin, cette nouvelle vision influencera certainement beaucoup le choix des méthodes de récupération et des modes d'échauffement. De nombreuses recherches restent à mener à cet égard.

Sources :

(1) Lactate et exercice : mythes et réalités : http://www.cairn.info/article.php?ID_RE ... 0063&FRM=N

(2) Magazine Sport et Vie numéro 92 (septembre / octobre 2005)

(3) Cheung K, Hume P et Maxwell L Delayed onset muscle soreness: treatment strategies and performance factors Sports Med 33(2):145-64, 2003.

(4) Schwane et coll., 1983 (Effets des contractions excentriques sur les courbatures)

(5) Intérêt de l’entraînement par intervalles courts : http://www.savoir-sport.org/savoir_spor ... mplateID=5

(6) http://www.bulletins-electroniques.com/ ... /22850.htm
 
shokobon a dit:
Je vien de passé pour un con :rolleyes:

Nan mais t'inquiète ça arrive même aux meilleurs d'entre nous. Jette toi comme je l'ai fait sur le prochain type qui te parle de crampe et d'acide lactique, comme ça la chaine pourra continuer. Hahaha :D
 
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