Pas besoin d humilité moi ... !
Petit extrait (je tiens la totalité de l élément pour preuve (16 pages) qu il est bien de moi ...)
Bon, ok j etais bien chaud mais bon ...z etes censés etre majeurs !
...La tête en arrière de manière à ne point me lâcher du regard. Retenue d une main ferme par ta soyeuse chevelure, je prends, l’espace d’une seconde, possession de cette bouche tant désirée, t’offre ce calice gorgé de sève. Te le reprends aussi sec, il va falloir lécher, baver, embrasser avant que je ne te laisse aller à tes envies de goulue !
Pointe la langue, comme je pointe mon dard, glisse la le long de l’échine de cet obélisque sulfureux qui bientôt s en ira nourrir le fond de ton ventre d’orgasmiques soubresauts. Vas t en titiller ma bourse a m en ronger le frein, propulse la jusqu’ au prépuce.
Gobe moi comme une avaleuse vorace, affamée et avide. Suce, aspire, lèche mais surtout, ne me lâche pas du regard que je profite de ce plaisir de la honte. Avale moi jusqu’à la garde, recrache moi sans prendre garde, pompe moi comme un morfal, il me faut sentir la douceur de ta luette approuver mon gland comme une ultime caresse, éprouver celui-ci comme la suprême attraction. Reprends ton souffle mais pas trop, reprends tes aises et repartons dans cette extrême recherche langoureuse. Tète cette perfusion bientôt ventrale à t en remplir la gorge comme si ta vie en dépendait, bois moi comme l élixir de jouvence suprême, aime moi au travers de cet axe autour du quel tourne le reste de la planète.
Je Suis Cupidon, il est ma flèche crevant l’abcès passionnel...
...
Je t’emballe de ce drap trainant au pied du lit et te mènes à la fenêtre, la vue est superbe, la verge parisienne se dresse illuminée sous sa capote nocturne
D’un geste tendre, ma main passe sur tes reins, travaillant ainsi ta sculpturale géographie, toisent ; mesurent prenne possession, invectivent un retrait délicat de ma personne me plaçant ainsi à ta suite.
L’endroit idéal pour admirer la vue, m’installer au creux de ta fissure tout en profitant de tes formes généreuses, belles et douces. Tu m expliques en quelques mots les différents chibres outrageant les toits de la capitale, La tour Montparnasse, s’érigeant tel un mandrin tendu vers la lune, le Sacré Cœur au mamelon érogène surplombant la magnificence d’une coupole parfaite, la Défense, phénoménale escadron sexuel harcelant les étoiles sylphides, le Château de saint Germain en Laye trônant sur la ville a la ville à l’image de mes mains sur tes seins.
Il me presse d’une fois encore visiter ton pays d’écume orgasmique, presser délicatement mon ventre à ton dos, tourmenter de mes doigts cette marmoréenne poitrine, argumenter encore ces plaisirs architecturaux de mes viols incertains. Je joins le geste à l’envie, me place en retrait de toi, les mains sur ton ventre, le menton sur ton épaule et le sexe au creux de tes reins. Mes baisers chauds se posent sur ton épaule, ta nuque, remontent derrière ton oreille et coulent encore comme une rivière de diamants, tel un collier de chienne que je poserais sur toi le soir d’une grande première. Sans te démonter tu continues à me faire visiter les toits de la ville, je sens dans ton ventre, alors que je lisse mon sexe entre tes cuisses une petite secousse mécanique qui nous rappelle ton dernier orgasme, qui m’ordonne de prendre le temps… Nous nous ébahissons sur la beauté des faîtages parisiens les nuits d’été, je peste en mon fond qu’elle ne souffre, à mes yeux, d’aucune comparaison à la tienne mais le tait !!!
J me reprends une latte ou ...j apprends l humilité ?