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Fragments Contributifs

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion InTheMood
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InTheMood

Elfe Mécanique
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11/1/13
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Je n'ai pas vu de sujets de ce type ici, alors je me permets de l'ouvrir.

Ceci est un endroit communautaire : chacun est libre d'y apposer ses pensées, écrites, orales, sur n'importe quel sujet, par simple envie - besoin - de les partager. L'intérêt ? Limité. Juste plusieurs textes posés à plat dans un lieu où la lecture est traversée d'identités différentes, elles-mêmes supportant les foudres de l'altération de conscience.

Pour ma part cela fait longtemps déjà que je suis accompagné d'un carnet à tout instant : à la base il n'avait qu'une fonction de rigueur, il est devenu un compagnon de pensée. Il est agréable, il me laisse poser ma plume dans n'importe quelle page, sans ordre, sans continuité, sur les lignes ou en travers, il me laisse dessiner, essayer, créer, inventer. Il me sert d'exutoire, j'y mets ce qui déborde de ma pensée, ce que je ne pouvais pas garder, ce qui m'a échappé sans que je m'en aperçoive.
Je le ferme en un endroit, je l'ouvre à un autre. A chaque fois il me présente une page blanche, perdue parmi les pages d'encre. Et à chaque fois elle requiert la même attention, la même présence, les mêmes gestes inutiles qui forment des mots à bien des égards utiles - pour soi, pour autrui, pour quiconque y trouverait un intérêt. Je me demande souvent ce que je ferais s'il n'y avait plus de pages à écrire, qu'elles l'étaient déjà toutes, et que je devais me contenter de les lire.

"A propos de la renaissance moderne :

C'est ancré depuis des siècles : la renaissance - dit-on - est le stade qui survient après le néant, vers un stade que l'on a déjà traversé et qui est celui de la vie.
J'aimerais appeler le concept de renaissance moderne : celle qui a échappé à l'ère du mysticisme et de la croyance, qui s'est insufflée dans la conscience de l'homme occidental et qui a fait ses armes aux côtés de l'individualité et du perspectivisme.
La renaissance moderne fait partie de ces manifestations dont la progression est presque invisible : elle n'est pas brutale, ni spontanée. Elle semble se construire en chacun et s'installer à mesure du temps.
D'abord, une idée. Petite, d'apparence sans effet. Celle d'un meilleur jour pour soi, celle du renouement, de la découverte des pulsions essentielles qui nous animent tout à chacun. Et puis, elle commence à agir. Cette idée devient une réflexion, puis une action, elle prend de la mesure avec et contre notre propre capacité à la concevoir par rapport au traitement qu'elle subit par l'inconscient.
Je veux parler de la renaissance moderne : elle survient à mesure du temps, elle nécessite le temps, n'a que faire du néant. La renaissance moderne est un éveil, un éveil qui survient à la suite d'un sommeil inasouvi, elle est présente comme le jour à l'aurore, elle s'entend à mesure que l'on prend le temps de la considérer."
 
Super ce thread.
Je viens de tomber dessus, et j'ai aussi pas mal de pensées en vracs, à l'arrache sur des feuilles volantes ou des bloc-notes défoncés.
Pas nécessairement des trucs écris moi-même, des citations en tout genre, des réflexions diverses, des conneries en profusion.

Par contre ya beaucoup de trucs en anglais... J'espère que ça pourra servir à quelqu'un d'autre que moi dans sa réflexion personnelle.

"We must remember that we are in a material circumstance wherein at every moment our mind is subject to agitation. We are always thinking that by changing our situation we will overcome our mental agitation. But it is the nature of the material world that we cannot be free from anxiety.
[...] It is not possible to become desireless. It is simply that we have to transfer the desire. There's no question of killing desire, for desire is the constant companion of the living entity".

Je suis pas sûr d'où ça vient, je retrouverai peut-être, mais j'aime la sagesse de ces mots.

Sinon :

- Matter is simply the physical manifestation of energy
- If you amplify the frequency, the structure of the matter will change.

Tesla : When feeling dissatisfied, you are expressing that there is no way out of the current situation : causing limitations within your own self when in fact you are limitless.

"Qu'elles soient écloses ou flétries, les herbes d'une même prairie devront se soumettre au sort que leur réserve l'automne"
 
"Tout n'est qu'information"

Dixit mon prof de maths :) lol
 
Notre gentillesse sera impitoyable
 
Par Krishnamurti

"When you speak of a path to truth, it implies that truth, this living reality, is not in the present, but somewhere in the distance, somewhere in the future. Now to me, truth is fulfillment, and to fulfillment there can be no path. So it seems, to me at least, that the first illusion in which you are caught is this desire for assurance, this desire for certainty, this inquiry after a path, a way, a mode of living whereby you can attain the desired goal, which is truth. Your conviction that truth exists only in the distant future implies imitation. When you inquire what truth is, you are really asking to be told the path which leads to truth. Then you want to know which system to follow, which mode, which discipline, to help you on the way to truth. But to me there is no path to truth; truth is not to be understood through any system, through any path. A path implies a goal, a static end, and therefore a conditioning of the mind and the heart by that end, which necessarily demands discipline, control, acquisitiveness. This discipline, this control, becomes a burden; it robs you of freedom and conditions your action in daily life. Inquiry after truth implies a goal, a static end, which you are seeking. And that you are seeking a goal shows that your mind is searching for assurance, certainty. To attain this certainty, mind desires a path, a system, a method which it can follow, and this assurance you think to find by conditioning mind and heart through self-discipline, self-control, suppression. But truth is a reality that cannot be understood by following any path. Truth is not a conditioning, a shaping of the mind and heart, but a constant fulfillment, a fulfillment in action. That you inquire after truth implies that you believe in a path to truth, and this is the first illusion in which you are caught."
 
Daniel Keyes dans "Des fleurs pour Algernon" :

"Pour découvrir qui je suis réellement, le sens de toute existence, il me faut connaitre les possibilités de mon avenir aussi bien que mon passé, à savoir où je vais aussi bien qu'où j'ai été. Quoique nous sachions tous qu'au bout du labyrinthe se trouve la mort, je vois maintenant que le parcours que j'ai choisi dans ce labyrinthe m'a fait ce que je suis. Je ne suis pas seulement un être, mais aussi une manière d'être, et de prendre conscience des couloirs que j'ai suivis et de ceux qui me restent à prendre m'aidera à comprendre ce que je deviens."
 
quelques élucubrations :




La mode des religions orientale, en particulier le bouddhisme : stop, la fête est finie.

Je vous invite à lire attentivement quelques lignes sur le "concept" de "vacuité" du bouddhisme. Il n'est pas besoin de comprendre au minuscule détail près cette religion pour saisir ce dont je veux parler, un seul fragment de cette spiritualité suffit à appréhender en grande partie la manière de penser de cette religion.
Bien sur, nous avons les mêmes objection morale que dans la plupart des religions, qui tendent à vouloir anéantir la haine, l'envie, le désir et toute ces choses, comme toutes les religions en somme. Sauf que là, au lieu de nous promettre un paradis plein d'éclat, on nous promet une sorte de béatitude terrestre, entre la joie et le malheur, entre la vie et le néant, entre tout quoi. L'équilibre. Je ne sais pas pour vous mais je n'ai jamais retiré grand chose de l'équilibre. En plus l'équilibre semble toujours parfait, alors que la science nous apprend qu'en modifiant quelques variables on peut arriver à un équilibre plus optimal. Les religions sont en général piégée dans un équilibre particulier, pensant qu'il s'agit de la fin de l'histoire. Bon bref la je veux plus parler de leur façon de penser, pas de leur morale, qui est assez classique de toute façon.

La première critique que je ferais de la notion de vacuité n'a que très peu d'importance, et elle est due au fait que je n'ai probablement pas saisi complètement ce concept. Mais je ne peux m'empêcher d'en parler. Même si je suis plus ou moins dans l'erreur, ça permettra peut être de mieux saisir la suite. Voila deux notions principales auxquelles je me réfère pour en parler : notion de continu et de discret et réalité cognitive.

- phénomène continu/observation discrete : si ce concept de vacuité nie l'essence et la nature d'un objet existant, c'est uniquement parce que le bouddhisme est absolument déterminé à percevoir les choses de manière continue pendant la méditation : son début, sa fin, l'évolution de ses composant, l'interdépendance avec les choses extérieures et intérieures à elle même (qui ont elles aussi une évolution). Or la perception, sans effort de méditation permet de voir aussi les choses d'une manière discrète, épisodique, ce qui donne une perception d'existence et une nature indépendante au chose (et la perception de leur essence). Si vous prenez un bouddha, vous allumez ses perceptions toute les seconde pendant un infime temps, et que vous laissez le reste de son cerveau travailler pendant le reste de du temps, il sera forcé de constater que dans les intervalles sans perceptions, les choses ont une essence qui n'est pas leur vacuité.
Il n'y a pas de phénomène discret, comme il n'y à pas d'objet dont on ne peux percevoir la nature propre : mais il y a une perception continue et une perception discrète.
Le bouddhisme veux faire triompher l'un et oublier l'autre, tout en voulant que l'un ressemble à l'autre. Contrairement à ce qu'on dit sur le concept de vacuité, comme quoi ce ne serai pas un nihilisme, je pense que c'est justement la forme parfaitement accomplie d'un nihilisme : un mensonge. "la vacuité est la nature des choses" est un mensonge niant la perception de la nature des choses.

- réalité cognitive : Si on veux percevoir les choses à la façon du bouddhisme, on est forcé à au moins UN nihilisme contrairement à ce qu'affirme le bouddhisme : en effet, si on considère que ce n'est pas un nihilisme de dire que la nature est vacuité, on nie toutefois l'existence physique du monde, car la perception physique forcerais à attribuer une nature fixe au choses. Les objets se retrouvent uniquement en tant que "connaissance cognitive continue" dépourvue d'existence physique. La réalité complète est tout aussi bien matérielle que cognitive.




Maintenant regardons vers la manière de penser du bouddhisme, qui finalement n'est pas si éloignée de ce que j’appellerai une "théorie des phénomènes" qui pourrait se rapprocher du libéralisme par exemple. C'est avec cela que j'ai un peu plus de mal. Pour ma première critique, je dirais que le bouddhisme se méprend un peu sur son intention. Pour celle qui vient, c'est essentiellement que le bouddhisme ne représente pas vraiment d’intérêt pour la progression humaine.

En fait je pense que ce paragraphe va être cours, à l'image justement de la profondeur du bouddhisme. Prenons un vase. Qu'est ce que cette spiritualité décrit elle de plus que "le vase s'est créé, est, et change" ? Quelle information supplémentaire sur la réalité nous apporte t'elle ? Où est la découverte ? Elle apporte juste un discernement exceptionnel au phénomène, mais n'est ni porteuse d'une découverte scientifique, de l'invention d'une utilisation, ou du sens du vase dans l'espace ou il est. C'est une pensée avec un énorme discernement, mais extrêmement factuelle, collée à la réalité et sans profondeur. Elle s'est voulue profonde, elle s'est menti à elle même en inventant des termes à propos d ce qu'elle ne pouvait percevoir, mais reste finalement collée à une réalité superficielle. C'est comme si je vous disiez que vous êtes probablement devant un écran et que vous devriez y trouver un intérêt, et encore il y a un probablement de trop, c'est déja trop profond de parler de choses probable et non de ce qui se passe devant nous.
Quand on comprend que l'ensemble de certaine religions orientales se basent sur ce type de pensée, ça démystifie un peu le truc.


Quelques implications :

- rapidement, au niveau personnel : on a plein de zigoto qui pense que la méditation du bouddhisme permet de penser profondément (ce que beaucoup voudrait, ça doit être culturel), alors que leurs état naturel leur permet justement probablement de penser plus profondément, sans qu'il s'en aperçoivent. Ils confondent surement l'effort de penser avec la profondeur d'esprit. Le résultat est qu'ils obtiennent exactement le contraire de ce à quoi ils aspirent.

- à un autre niveau personnel dont je n'ai pas parlé, le bouddhisme c'est vouloir être vieux plus vite, vous savez, entrer dans cet état de simple contentement sans trop d'émotions comme si nos conflit était résolu (alors qu'en général on a juste réussi à bien mentir). Ils appellent ça le bonheur. "La vie c'est facile, surtout si je m'en fous/je l'ignore", ou "je suis heureux car je ne ressent qu'une seule émotion plate".

- Le problème en général de ce genre de pensée, c'est qu'elle n'apporte rien a part finir par mettre la réalité dans une prison indestructible, tout en percevant les multitudes de phénomènes. Quand il s'agit du bouddhisme, ce n'est pas trop grave, ça ne concerne pas trop nos société, enfin il y aurait beaucoup a dire mais je n'ai pas envie.
Mais prenons le cas de certain versant du libéralisme, notamment ceux qui ne reconnaissent pas trop l'interventionnisme de l'état et crois en une auto régulation généralisé et mondiale (c'est en vogue), qui pour moi se rapproche largement de la façon de penser bouddhiste (c'est d'ailleurs peut être pour ça qu'une partie du monde oriental influencé par des religions type bouddhisme ont pu prendre leur envol justement quand le monde s'est rapproché d’eux dans le sens idéologique - honnêtement ce n'est qu'une supposition, je suis inculte sur l'histoire). Ca se rapproche de très près à une "théorie phénoménale", qui tente de décrire factuellement ce qui se passe (avec quelque "si" quand même).
Quand on "regarde" ce versant de cette théorie, comme dirait un bouddhiste, "avec juste discernement", on s'aperçoit que le libéralisme parfait est en fait déjà ce qui se passe en tout lieu sans qu'on ai besoin d'en faire une théorie : on pourrai dire que "le monde est libre et ce qui se passe est le libéralisme". Bref c'est juste une tentative de mettre des mots sur la réalité phénoménale, tenter de l'approfondir sans pour autant avoir une autre perception que factuelle et superficielle, et de l'imposer en tant qu'idéologie. Le libéralisme ne sert a rien et n'a aucun impact sur la réalité : il est juste description des phénomènes sous forme de théorie. Il n'est absolument pas promoteur de progression humaine, scientifique, artistique. Le danger de mettre des "théories" dans ce genre en application, c'est qu'elle ne prendront jamais en compte toute la réalité, finisse par rendre aveugle sur d'autre réalité, et arrête l'avancé du monde (le point final étant l'illusoire "équilibre"). La seul chose qui fait que cette théorie fait momentanément plus ou moins progresser les choses, c'est qu'elle comporte des erreurs. Plus on va s'approcher du supposé équilibre, moins de réelles avancées se produiront, et plus il y aura de stress, de mouvement saccadé, d'urgence. Et l'équilibre sera probablement une prison, qu'une moitié de réalité.
Ce que ne comprennent pas ce type particulier de libéralistes (néoclassique je crois), c'est qu'une version parfaite et finalisée du libéralisme qu ils pronent inciterait à l’inaction, le désengagement de la vie, finalement comme une religion sans imagination.
 
Je viens de trouver une phrase sur un site, assez proche de ma dernière affirmation :

La modernité est malade de ne pas déployer jusqu’à ses ultimes conséquences son nihilisme de fond.
 
Après, au Palais de Tokyo, avoir assisté, surprise, à la performance d'une petite fille-oeuvre d'art qui dialogue avec le spectateur en jouant le personnage d'Annlee, une figure du manga abandonnée. La jeune fille essayait de tenter une approche de dialogue mais j'avais face à moi un concept, une oeuvre dans la continuité de la vidéo que je venais de voir, et même si c'était un être humain qui se trouvait devant moi je ne pouvais rentrer en contact avec, trop impressionnée par l'aura de création et déterminisme qui en émanait.

Une identité peut-elle être un produit ? Le personnage est possédé par l'artiste mais quand a-t-il sa volonté propre ? S'il dit "Je veux", c'est qu'il a une individualité propre, ou alors que nous n'en avons pas. Car si nous disons "je veux" c'est toujours de manière déterminée comme lui. La relation à l'œuvre d'art : chose précieuse et fragile, réfléchie, qui ne supporte pas le bruit assourdissant du spontané, qui peut être gâchée par des mots dans le cas de l'œuvre théâtrale conceptuelle, en relation avec le public.

-

Ça y est, je suis dans le réel et c'est moche. Angoisse qui prend la gorge. Incapacité à assumer les responsabilités qui m'incombent, sentiment d'être prisonnière du temps, des autres, de moi-même. En fait je n'y suis peut-être toujours pas, mais confrontée à ce qu'il m'impose, aux obligations, je m'ancre dedans - plutôt, je le touche des doigts pour me laisser la possibilité de m'en échapper à nouveau.

-

Objets extérieurs, réceptacles de notre mémoire.
 
Le Test des 3 Passoires.





Socrate avait dans la Grèce antique une haute
réputation de sagesse. Quelqu'un vint un jour trouver
le grand philosophe et lui dit :
— Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?

— Un instant répondit Socrate ; avant que tu me racontes,
j'aimerais te faire passer un test,
celui des trois passoires.

— Les trois passoires ?

— Mais oui reprit Socrate, avant de raconter toutes
sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre
le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire.
C'est ce que j'appelle le test des trois passoires.

As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

— Non, j'en ai seulement entendu parler.

— Très bien, tu ne sais donc pas si c'est la vérité.
Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième
passoire, celle de la bonté.

Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami
est-ce quelque chose de bien ?

— Ah non ! au contraire.

— Donc continua Socrate, tu veux me raconter de
mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si
elles sont vraies.
Tu peux peut-être encore passer le test
car il reste une passoire, celle de l'utilité.

Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?

— Non, pas vraiment.

— Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter
n'est ni vrai, ni bien, ni utile,
pourquoi vouloir me le dire ?
 
La seule et unique réponse : parce que c'est marrant.
 
Pouf pouf pouf heureusement qu'il y a une fonction edit, allez on oublie le côté exhibitionniste de l'Ombilic, passons l'éponge
 
Le succès est aussi dangereux que l'échec.
L'espoir est aussi vain que la peur.

Que signifie "le succès est aussi dangereux que l'échec ?"

Que tu montes ou descendes l'échelle, ta position est instable.
Lorsque tu as les deux pieds sur le sol, tu gardes toujours ton équilibre.

Que signifie "L'espoir est aussi vain que la peur ?"
Espoir et peur sont des fantômes
qui naissent de la préoccupation de soi,
qu'avons nous à craindre ?
Vois le monde comme toi même
Fais confiance à la vie telle qu'elle est.
Aime le monde comme toi même
alors tu pourras prendre soin de toutes choses.

Tao Te King
 
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