MindWalker
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Substance consommée : "Fénétylline" ou "Captagon"
Qualité : Cachet comportant de la quinine, théophyline, caféine et amphétamine - Analyse Psychoactif n°PSY253468
Fiche Erowid : Erowid Amphetamine
Fiche Psychonaut : Psychonaut Fenethylline
Expérience :
Date : 22.02.2025
Age : 28ans
Poids : 90kg
Heure de consommation : 21h30, 23h et 01h45
Quantité : Inconnue, 1 cachet et demi
Redosage : Deux fois
ROA : Voie orale
Substance cumulative : Quelques taffes de beuh et une cigarette de tabac
Bon, c'est la giga-sauce. Je rentre à l'hôpital où je me fais gentiment renvoyer car il s'agit en réalité d'une clinique sans urgences qui n'a que faire des gens pauvres comme moi. On me redirige vers un autre hôpital 15mn à pied plus loin. Je choppe deux personnes dans la rue qui vont dans la direction et leur explique la situation et ces braves m'accompagnent jusqu'au deuxième hôpital. Je me sens mal mais pas au point de faillir mais bon, on sait jamais. Une fois au deuxième hôpital, vu que je n'avais pas pris ma carte vitale (ça m'apprendras), ils ne peuvent pas me prendre en charge mais sont ok pour que je reste dans le hall d'entrée le temps de me calmer. L'infirmière me dit clairement que ça va aller au vu des informations que je lui donne. On discute une bonne demi-heure et elle est assez effarée/admirative du monde de la RDR que je lui présente, un peu du genre "vous êtes des gros cons mais au moins des gros cons instruits et responsables". Bref, une bonne discussion assez cool où on parle aussi de politique, d'hopital, etc. tout ça pour dire que ça me fait bien diminuer mon angoisse.
On met enfin les mots sur ce qui ne va pas et explique cette grosse tachycardie :
- De 1, la drogue évidemment. Après réflexion, je ressentais la même oppression/mal au cœur que lors de ma prise de speed
- De 2, je ne m'en suis pas rendu compte mais j'ai en réalité tracé de dingue et effectué le trajet en un temps record
- De 3, j'étais au téléphone donc à beaucoup parler. Rajoutez à ça que je fais naturellement de l'aérophagie, je respirais lamentablement.
Le tout a crée une vraie crise d'angoisse une fois que je m'en suis rendu compte, alimentée par ma connaissance limitée de ce que je prenais.
T+7h : La redescente enfin
Vers 5h du matin, je suis redescendu entre 150 et 160BPM mais je ne sens plus le même poids sur ma poitrine. Bref, ça va franchement mieux. Après avoir dit au revoir, je reprends ma route pour une bonne heure. 15mn avant ma maison, je ressens à nouveau cette même contraction dans la poitrine : je viens de repasser à 170BPM et je me rends compte sur Maps que j'ai encore tracé comme un fou furieux au pas de course. Je me calme et me force à marcher bien lentement.
T+8h : Home sweet home
Après avoir pris une douche (car j'ai pas mal transpiré au final) et refais mon stock de chewing-gum, je me pose dans le lit pour regarder n'importe quoi. Là, au repos et allongé, mon cœur redescend à 140BPM mais dans le silence de la nuit, j'ai presque l'impression de l'entendre battre. Bien évidemment, impossible de dormir.
T+1j : Lent épuisement physique
Comme avec le speed, impossible de dormir et mon corps me lâche physiquement, je suis explosé de fatigue. A 15h, le lendemain, mon coeur est toujours à 100BPM au repos. Je me force à tenir jusqu'à 21h avant de m'endormir d'un coup. Les effets secondaires disparaissent le lendemain après une grosse nuit de 10h.
Conclusion : C'est effectivement du speed
Voilà, très clairement on est sur un rendu quasi-identique au speed à ceci près que je me sentais plus clair dans mes pensées avec ce produit. Mais sinon, tout est pareil. Alors le TR est un peu angoissant à lire certes mais les effets récréatifs étaient clairement là et plaisant. J'ai vraiment abusé en prenant une troisième moitié quand un cachet entier était suffisant. Une grosse partie de l'effet négatif venait très clairement d'une crise d'angoisse : si j'avais été entouré, je l'aurai mieux géré. D'autant plus qu'en regardant mes timers, je me suis rendu compte des effets négatifs quand j'étais tout en haut du peak de l'amphétamine selon mes applications et c'est d'autant plus vrai que je me suis calmé en 10mn rien qu'en discutant de tout et de rien avec l'infirmière. Bref, je les garde dans un coin mais n'en prendrais que deux moitiés à la fois.
Qualité : Cachet comportant de la quinine, théophyline, caféine et amphétamine - Analyse Psychoactif n°PSY253468
Fiche Erowid : Erowid Amphetamine
Fiche Psychonaut : Psychonaut Fenethylline
Expérience :
Date : 22.02.2025
Age : 28ans
Poids : 90kg
Heure de consommation : 21h30, 23h et 01h45
Quantité : Inconnue, 1 cachet et demi
Redosage : Deux fois
ROA : Voie orale
Substance cumulative : Quelques taffes de beuh et une cigarette de tabac
***
Point sur la substance expérimentée:
Le cachet essayé contient quatre substance dont deux intéressante : la théophyline et l'amphétamine qui ensemble forment la fénétylline. Toutefois, le cachet ne contient pas la fénétylline en tant que telle car elle est sensée être une pro-drogue qui doit se décomposer ensuite dans le corps en théophyline et amphétamine si j'ai tout bien compris. On est donc dans un entre-deux bizarre mais quand même assez intéressant (et même inespéré) venant d'un vendeur sur le dark net. Je ne m'attendais pas à ce que le contenu du cachet s'approche autant de la dite fénétylline.
Ensuite, il faut comprendre que la fénétylline, vendue sous le nom de "captagon" n'existe quasiment plus. Même au Moyen-Orient, le mot "captagon" ne sert apparement plus qu'à désigner l'amphétamine/speed depuis la fin des années 2010-début années 2020. Erowid n'a même pas de fiche attitrée et renvoie directement à "amphétamine". Je pense donc que ces cachets que j'ai, composés entre autres de théophyline et d'amphétamine, est ce qui se rapproche le plus possible de la dite fénétylline aujourd'hui en 2025. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter la discussion avec la communauté sur le lien de l'analyse.
Contexte : Une petite soirée dans un bar avant de décaler dans une boîte de nuit
Ca fait longtemps que je n'ai pas essayé de stimulant et j'ai une patate d'enfer pour sortir toute la nuit. Même si je suis confiant sur ce que je prends ce soir, j'ai quand même une légère appréhension car je ne sais pas exactement de quel dosage sont fait ces cachets. J'ai lu sur le site du vendeur des acheteurs qui s'accordent sur environ 2 cachets en moyenne et certains parlent de 5 à 6. Moi, je vais commence bien plus bas. Le vendeur, lui m'avait conseillé de commencer par une moitié.
T+0mn : Première prise
Je casse une moitié d'un cachet et l'avale une heure avant de rejoindre mes amis. Sur mon application, je lance en même temps deux timers qui compte la fénétylline et l'amphétamine.
T+1h30 : Déshinibition et deuxième prise
Je me sens beaucoup plus alerte et motivé, pleinement au fait de mon environnement. Je sens aussi que les effets atteignent une sorte de "pic" entre 1h et 1h30 car la montée diminue drastiquement. Je décide donc de laisser passer un peu de temps avant d'avaler la deuxième moitié.
T+2h30 : Plein d'énergie !
La soirée bat son plein et c'est franchement de la super bonne musique. J'ai l'impression d'être clairement sous amphétamine car je déborde d'énergie et n'arrête pas de parler à tout le monde sans raison. Pourtant je suis clairement dans le contrôle le plus total, je ne me sens pas du tout "envahi" par la drogue et tout se passe franchement bien. Je suis au pic des deux doses et c'est vraiment sympa.
T+4h : Troisième redrop
Je sens très légèrement que le pic de la première prise redescend et bien décidé à aller jusqu'au bout de la nuit, je drope une troisième moitié vers 1h30 du matin. Mais rapidement, je me sens pas hyper bien, une très légère baisse de régime : j'ai l'impression que je vais vomir. Je reste un peu en retrait et le mal passe. Une fois la soirée finie, mes deux potes ne se sentent pas d'aller en boîte ce que je savais déjà mais décide d'y aller quand même seul. Sur la route, je téléphone à une pote que j'ai pas vu pendant longtemps.
T+6h : La sauce
Finalement, la boîte de nuit à l'air nulle à chier (et a doublé son prix d'entrée accessoirement) et vu que ma pote a plein de temps disponible devant elle (elle habite à l'autre bout du monde), je me dis "tiens je vais rentrer chez moi à pied, c'est que 2h de marche". Vu la patate de fou furieux que j'ai, je me dis que ce serait assez cool et je l'avais déjà fait il y'a plusieurs années. On parle pendant près d'une heure et demie mais petit à petit le mal s'installe... Je me sens de moins en moins bien, de plus en plus dérangé physiquement. Mes dents n'arrêtent pas de serrer et surtout je deviens de plus en plus essoufflé. Je passe à côté d'un hôpital qui est sur ma route et je me rends compte qu'il s'agit du dernier hôpital avant de rejoindre la banlieue/campagne. Passé ce point, il n'y a plus rien et si j'ai un problème, on me retrouve pas avant 4h lorsque les gens iront travailler. Alors que je m'arrête pour faire un petit bilan, je me rends compte que ça va pas du tout.
Du tout du tout. Je suis clairement essoufflé comme si je venais de courir à fond un cross mais j'arrive à réfléchir de manière claire. J'ai toujours mes problèmes intestinaux qui me font roter par intermittence. Mais surtout je sens un poids de dingue sur ma poitrine, comme si on s'était assis sur moi. Mon cœur est oppressé comme pas permis et je le sens exploser mes côtes. Je lance un chronomètre et... 170 BPM. Et là, je repense à la conversation sur le rapport d'analyse sur Psychonaut et notamment ce joli commentaire de @forêt :
Le cachet essayé contient quatre substance dont deux intéressante : la théophyline et l'amphétamine qui ensemble forment la fénétylline. Toutefois, le cachet ne contient pas la fénétylline en tant que telle car elle est sensée être une pro-drogue qui doit se décomposer ensuite dans le corps en théophyline et amphétamine si j'ai tout bien compris. On est donc dans un entre-deux bizarre mais quand même assez intéressant (et même inespéré) venant d'un vendeur sur le dark net. Je ne m'attendais pas à ce que le contenu du cachet s'approche autant de la dite fénétylline.
Ensuite, il faut comprendre que la fénétylline, vendue sous le nom de "captagon" n'existe quasiment plus. Même au Moyen-Orient, le mot "captagon" ne sert apparement plus qu'à désigner l'amphétamine/speed depuis la fin des années 2010-début années 2020. Erowid n'a même pas de fiche attitrée et renvoie directement à "amphétamine". Je pense donc que ces cachets que j'ai, composés entre autres de théophyline et d'amphétamine, est ce qui se rapproche le plus possible de la dite fénétylline aujourd'hui en 2025. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter la discussion avec la communauté sur le lien de l'analyse.
Contexte : Une petite soirée dans un bar avant de décaler dans une boîte de nuit
Ca fait longtemps que je n'ai pas essayé de stimulant et j'ai une patate d'enfer pour sortir toute la nuit. Même si je suis confiant sur ce que je prends ce soir, j'ai quand même une légère appréhension car je ne sais pas exactement de quel dosage sont fait ces cachets. J'ai lu sur le site du vendeur des acheteurs qui s'accordent sur environ 2 cachets en moyenne et certains parlent de 5 à 6. Moi, je vais commence bien plus bas. Le vendeur, lui m'avait conseillé de commencer par une moitié.
T+0mn : Première prise
Je casse une moitié d'un cachet et l'avale une heure avant de rejoindre mes amis. Sur mon application, je lance en même temps deux timers qui compte la fénétylline et l'amphétamine.
T+1h30 : Déshinibition et deuxième prise
Je me sens beaucoup plus alerte et motivé, pleinement au fait de mon environnement. Je sens aussi que les effets atteignent une sorte de "pic" entre 1h et 1h30 car la montée diminue drastiquement. Je décide donc de laisser passer un peu de temps avant d'avaler la deuxième moitié.
T+2h30 : Plein d'énergie !
La soirée bat son plein et c'est franchement de la super bonne musique. J'ai l'impression d'être clairement sous amphétamine car je déborde d'énergie et n'arrête pas de parler à tout le monde sans raison. Pourtant je suis clairement dans le contrôle le plus total, je ne me sens pas du tout "envahi" par la drogue et tout se passe franchement bien. Je suis au pic des deux doses et c'est vraiment sympa.
T+4h : Troisième redrop
Je sens très légèrement que le pic de la première prise redescend et bien décidé à aller jusqu'au bout de la nuit, je drope une troisième moitié vers 1h30 du matin. Mais rapidement, je me sens pas hyper bien, une très légère baisse de régime : j'ai l'impression que je vais vomir. Je reste un peu en retrait et le mal passe. Une fois la soirée finie, mes deux potes ne se sentent pas d'aller en boîte ce que je savais déjà mais décide d'y aller quand même seul. Sur la route, je téléphone à une pote que j'ai pas vu pendant longtemps.
T+6h : La sauce
Finalement, la boîte de nuit à l'air nulle à chier (et a doublé son prix d'entrée accessoirement) et vu que ma pote a plein de temps disponible devant elle (elle habite à l'autre bout du monde), je me dis "tiens je vais rentrer chez moi à pied, c'est que 2h de marche". Vu la patate de fou furieux que j'ai, je me dis que ce serait assez cool et je l'avais déjà fait il y'a plusieurs années. On parle pendant près d'une heure et demie mais petit à petit le mal s'installe... Je me sens de moins en moins bien, de plus en plus dérangé physiquement. Mes dents n'arrêtent pas de serrer et surtout je deviens de plus en plus essoufflé. Je passe à côté d'un hôpital qui est sur ma route et je me rends compte qu'il s'agit du dernier hôpital avant de rejoindre la banlieue/campagne. Passé ce point, il n'y a plus rien et si j'ai un problème, on me retrouve pas avant 4h lorsque les gens iront travailler. Alors que je m'arrête pour faire un petit bilan, je me rends compte que ça va pas du tout.
Du tout du tout. Je suis clairement essoufflé comme si je venais de courir à fond un cross mais j'arrive à réfléchir de manière claire. J'ai toujours mes problèmes intestinaux qui me font roter par intermittence. Mais surtout je sens un poids de dingue sur ma poitrine, comme si on s'était assis sur moi. Mon cœur est oppressé comme pas permis et je le sens exploser mes côtes. Je lance un chronomètre et... 170 BPM. Et là, je repense à la conversation sur le rapport d'analyse sur Psychonaut et notamment ce joli commentaire de @forêt :
J'imagine que les deux mélangés pourraient potentialiser mutuellement leurs effets de prolongation de l'interval QT, menant possiblement à un arrêt cardiaque.
Bon, c'est la giga-sauce. Je rentre à l'hôpital où je me fais gentiment renvoyer car il s'agit en réalité d'une clinique sans urgences qui n'a que faire des gens pauvres comme moi. On me redirige vers un autre hôpital 15mn à pied plus loin. Je choppe deux personnes dans la rue qui vont dans la direction et leur explique la situation et ces braves m'accompagnent jusqu'au deuxième hôpital. Je me sens mal mais pas au point de faillir mais bon, on sait jamais. Une fois au deuxième hôpital, vu que je n'avais pas pris ma carte vitale (ça m'apprendras), ils ne peuvent pas me prendre en charge mais sont ok pour que je reste dans le hall d'entrée le temps de me calmer. L'infirmière me dit clairement que ça va aller au vu des informations que je lui donne. On discute une bonne demi-heure et elle est assez effarée/admirative du monde de la RDR que je lui présente, un peu du genre "vous êtes des gros cons mais au moins des gros cons instruits et responsables". Bref, une bonne discussion assez cool où on parle aussi de politique, d'hopital, etc. tout ça pour dire que ça me fait bien diminuer mon angoisse.
On met enfin les mots sur ce qui ne va pas et explique cette grosse tachycardie :
- De 1, la drogue évidemment. Après réflexion, je ressentais la même oppression/mal au cœur que lors de ma prise de speed
- De 2, je ne m'en suis pas rendu compte mais j'ai en réalité tracé de dingue et effectué le trajet en un temps record
- De 3, j'étais au téléphone donc à beaucoup parler. Rajoutez à ça que je fais naturellement de l'aérophagie, je respirais lamentablement.
Le tout a crée une vraie crise d'angoisse une fois que je m'en suis rendu compte, alimentée par ma connaissance limitée de ce que je prenais.
T+7h : La redescente enfin
Vers 5h du matin, je suis redescendu entre 150 et 160BPM mais je ne sens plus le même poids sur ma poitrine. Bref, ça va franchement mieux. Après avoir dit au revoir, je reprends ma route pour une bonne heure. 15mn avant ma maison, je ressens à nouveau cette même contraction dans la poitrine : je viens de repasser à 170BPM et je me rends compte sur Maps que j'ai encore tracé comme un fou furieux au pas de course. Je me calme et me force à marcher bien lentement.
T+8h : Home sweet home
Après avoir pris une douche (car j'ai pas mal transpiré au final) et refais mon stock de chewing-gum, je me pose dans le lit pour regarder n'importe quoi. Là, au repos et allongé, mon cœur redescend à 140BPM mais dans le silence de la nuit, j'ai presque l'impression de l'entendre battre. Bien évidemment, impossible de dormir.
T+1j : Lent épuisement physique
Comme avec le speed, impossible de dormir et mon corps me lâche physiquement, je suis explosé de fatigue. A 15h, le lendemain, mon coeur est toujours à 100BPM au repos. Je me force à tenir jusqu'à 21h avant de m'endormir d'un coup. Les effets secondaires disparaissent le lendemain après une grosse nuit de 10h.
***
Conclusion : C'est effectivement du speed
Voilà, très clairement on est sur un rendu quasi-identique au speed à ceci près que je me sentais plus clair dans mes pensées avec ce produit. Mais sinon, tout est pareil. Alors le TR est un peu angoissant à lire certes mais les effets récréatifs étaient clairement là et plaisant. J'ai vraiment abusé en prenant une troisième moitié quand un cachet entier était suffisant. Une grosse partie de l'effet négatif venait très clairement d'une crise d'angoisse : si j'avais été entouré, je l'aurai mieux géré. D'autant plus qu'en regardant mes timers, je me suis rendu compte des effets négatifs quand j'étais tout en haut du peak de l'amphétamine selon mes applications et c'est d'autant plus vrai que je me suis calmé en 10mn rien qu'en discutant de tout et de rien avec l'infirmière. Bref, je les garde dans un coin mais n'en prendrais que deux moitiés à la fois.
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