dodo le fou
Glandeuse Pinéale
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Premièrement je tiens à préciser qu’il ne faut surtout pas reproduire l’expérience décrite ci-dessous, je suis passé pas loin de l’HP ou même peut être de la mort purement et simplement. L’idée est simplement de retranscrire un moment vécu avec le plus de sincérité possible. Prendre cela comme un témoignage SVP.
Set&settings : Eté 2003, comme chaque année depuis 3 ans mes amis et moi décidons de partir en Espagne pour faire la fete, rencontrer des nanas et profiter du soleil. Ces 3 dernières années la consommation de tazs de la petite bande est montée gentiment en pression et cette année nous avions décidé de nous la coller sévère car sans doute notre dernière année ensemble.
Arrivé au camping, nous étions complètement démunis, ni herbe, ni tazs ni rien d’ailleurs. En bronzant a la piscine le premier jour, un français nous aborde et nous propose des extas. Banco : on en achète 200, il nous propose d’ailleurs d’en revendre a ceux qui en voudraient aussi. A la fin du séjour toute la partie basse du camping gobait des tazs, soit 50 personnes en mode before/after jour et nuit. Ça s’est pour planter le décor.
Expérience : Tous les soirs on sortait en boite accompagné de nos précieux amis les dauphins roses. Les 4 premiers jours furent les meilleurs. Consommation d’environ 2 à 3 tazs par soir. On gèrait bien les descentes avec la weed que nous avaient fournis le meme dealeur. Chaque soir, on dansait a n’en plus finir, les montées nous rapprochaient les uns des autres et forcément avec tous les matos qu’on avait on s’était fait plein d’amis filles. C’était jouissif, ces after taz weed a emballer des filles au petit matin. Je ne dormais presque pas (2 à 3h/J)
Premier bad trip : Au cinquième jour les troupes commencent à fatiguer. Je décide de sortir avec les plus motivée et prends environ 3 tazs. La soirée se passe bien, j’afterise avec un voisin en tapant des bangs. Je me rends compte que c’est le jour ou j’ai des copines qui arrivent a la gare, je décide de repousser l’after et je prends la voiture pour aller les cherchées a la gare vers 15h. Au retour je m’endors près de la piscine et entre en coma profond. Réveillé par je ne sais plus qui je retourne au camping et me rends compte qu’une nuit a passé car le soleil se leve (enfin du moins c’est ce que je crois). J’en veux a mes amis de ne pas avoir aidé les filles à monter leur tente et pique une grosse gueulante. Ou sont-elles ? ou on elles passées la nuit ?...On tente de me calmer et on me dis qu’il est seulement 19h, je n’y crois pas, ils me prennent pour un con. Il aura fallu une heure pour que je me rende compte qu’il disait vrai…Oula je commence a être atteint.
Les vacances continuent au même rythme. AU bout de 10 jours nous ne sommes plus que 3 sur les 12 initiaux qui sont déjà rentrés. Les 5 derniers jours furent les plus physiques. Nous augmentions graduellement les doses de tazs allant jusqu’à 5 le dernier soir. Nous n’avions plus d’emplacement défini dans le camping et vivions comme des zombies (mode Jour off/Nuit on).
Le dernier jour justement, je prends 5 tazs et m’envoient complétement en l’air au Pacha. Je sens que j’ai dépassé les limites. Les gens me regardent bizarre et m’évite. Je bade, je suis désormais seul dans le club. Je titube, je vois brouillé, j’ai soif…je suis au abois complet. Je décide de rentrer en bus et je sens que manifestement les gens ont l’air de s’inquiéter pour moi. J’ai des yeux énormes, j’ai honte. Je rentre au camping et tape 3 douille de Weed pour redescendre. Je suis totalement ailleurs quand mon pote sort de la tente et me dis qu’il faut prendre le train.
MON DIEU, j’avais oublié qu’il fallait repartir en France, je ne suis pas en état, ca va mal, j’ai envie de gerber ! putain j’ai fait le con. Tu vas crever…Je prépare mes affaires en speed et on décide d’escalader la grille du camping pour ne pas payer. Je suis en sueur, je goutte, mon sac pèse une tonne. Tout d’un coup je ne peux plus avancer, plus de force. Je préviens mes amis que je vais m’évanouir qu’il me faut du secours. Impossible de bouger jusqu’à l’arrivée des secours, je respire péniblement.
Epilogue : Je suis a l’hôpital. Les médecins me mettent sous calmant. Je dors, je suis épuisé, je suis seul…Je resterais a l’hosto 3 jours. 3 jours de vertiges, de brain zap, de réveils nocturnes avec le cœur qui bat à 200 bpm.
A mon retour en France, l’expérience m’a laissée des sequelles. Je ne peux plus tirer sur un join sans avoir la tete qui tourne et des pensées noires. Les vertiges continuent environ 2 semaines avant de disparaitre peu à peu.
Merci de m’avoir lu….
Set&settings : Eté 2003, comme chaque année depuis 3 ans mes amis et moi décidons de partir en Espagne pour faire la fete, rencontrer des nanas et profiter du soleil. Ces 3 dernières années la consommation de tazs de la petite bande est montée gentiment en pression et cette année nous avions décidé de nous la coller sévère car sans doute notre dernière année ensemble.
Arrivé au camping, nous étions complètement démunis, ni herbe, ni tazs ni rien d’ailleurs. En bronzant a la piscine le premier jour, un français nous aborde et nous propose des extas. Banco : on en achète 200, il nous propose d’ailleurs d’en revendre a ceux qui en voudraient aussi. A la fin du séjour toute la partie basse du camping gobait des tazs, soit 50 personnes en mode before/after jour et nuit. Ça s’est pour planter le décor.
Expérience : Tous les soirs on sortait en boite accompagné de nos précieux amis les dauphins roses. Les 4 premiers jours furent les meilleurs. Consommation d’environ 2 à 3 tazs par soir. On gèrait bien les descentes avec la weed que nous avaient fournis le meme dealeur. Chaque soir, on dansait a n’en plus finir, les montées nous rapprochaient les uns des autres et forcément avec tous les matos qu’on avait on s’était fait plein d’amis filles. C’était jouissif, ces after taz weed a emballer des filles au petit matin. Je ne dormais presque pas (2 à 3h/J)
Premier bad trip : Au cinquième jour les troupes commencent à fatiguer. Je décide de sortir avec les plus motivée et prends environ 3 tazs. La soirée se passe bien, j’afterise avec un voisin en tapant des bangs. Je me rends compte que c’est le jour ou j’ai des copines qui arrivent a la gare, je décide de repousser l’after et je prends la voiture pour aller les cherchées a la gare vers 15h. Au retour je m’endors près de la piscine et entre en coma profond. Réveillé par je ne sais plus qui je retourne au camping et me rends compte qu’une nuit a passé car le soleil se leve (enfin du moins c’est ce que je crois). J’en veux a mes amis de ne pas avoir aidé les filles à monter leur tente et pique une grosse gueulante. Ou sont-elles ? ou on elles passées la nuit ?...On tente de me calmer et on me dis qu’il est seulement 19h, je n’y crois pas, ils me prennent pour un con. Il aura fallu une heure pour que je me rende compte qu’il disait vrai…Oula je commence a être atteint.
Les vacances continuent au même rythme. AU bout de 10 jours nous ne sommes plus que 3 sur les 12 initiaux qui sont déjà rentrés. Les 5 derniers jours furent les plus physiques. Nous augmentions graduellement les doses de tazs allant jusqu’à 5 le dernier soir. Nous n’avions plus d’emplacement défini dans le camping et vivions comme des zombies (mode Jour off/Nuit on).
Le dernier jour justement, je prends 5 tazs et m’envoient complétement en l’air au Pacha. Je sens que j’ai dépassé les limites. Les gens me regardent bizarre et m’évite. Je bade, je suis désormais seul dans le club. Je titube, je vois brouillé, j’ai soif…je suis au abois complet. Je décide de rentrer en bus et je sens que manifestement les gens ont l’air de s’inquiéter pour moi. J’ai des yeux énormes, j’ai honte. Je rentre au camping et tape 3 douille de Weed pour redescendre. Je suis totalement ailleurs quand mon pote sort de la tente et me dis qu’il faut prendre le train.
MON DIEU, j’avais oublié qu’il fallait repartir en France, je ne suis pas en état, ca va mal, j’ai envie de gerber ! putain j’ai fait le con. Tu vas crever…Je prépare mes affaires en speed et on décide d’escalader la grille du camping pour ne pas payer. Je suis en sueur, je goutte, mon sac pèse une tonne. Tout d’un coup je ne peux plus avancer, plus de force. Je préviens mes amis que je vais m’évanouir qu’il me faut du secours. Impossible de bouger jusqu’à l’arrivée des secours, je respire péniblement.
Epilogue : Je suis a l’hôpital. Les médecins me mettent sous calmant. Je dors, je suis épuisé, je suis seul…Je resterais a l’hosto 3 jours. 3 jours de vertiges, de brain zap, de réveils nocturnes avec le cœur qui bat à 200 bpm.
A mon retour en France, l’expérience m’a laissée des sequelles. Je ne peux plus tirer sur un join sans avoir la tete qui tourne et des pensées noires. Les vertiges continuent environ 2 semaines avant de disparaitre peu à peu.
Merci de m’avoir lu….