waslow
Neurotransmetteur
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- 28/11/08
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Bonjour à tous,
étant nouveau dans la communauté (même si j'ai lu le forum pendant des heures silencieusement) je me suis dit qu'il fallait que je vous raconte ma dernière expérience avec le dxm.
Il faut savoir que je pèse environ 65 kg et que je suis un homme. J'avais déjà essayé 3 ou 4 fois de le dxm avant cette tentative mais jamais à plus de 210mg de dxm. Par ce nouveau dosage (400mg) j'espérais vivre un super voyage et tout mais j'ai assez vite déchanté !
Il est à peu près 20h30 quand j'avale les 20 pilules avec un peu de jus de pamplemousse (blanc bien sur). La montée est progressive pendant environ 1h30 et j'atteins comme prévu le plus gros "high" de ma vie (il est 23h) avec tout un tas de vision plutôt sympa mais parfois un peu effrayante. Ce que je n'avais pas prévu (pensant que la dose ne m'emmènerais pas plus loin qu'un petit 3° plateau) c'est mon hypersensibilité au dxm et le risque de dépression respiratoire qu'elle crée. A minuit, j'ai commencé à prendre conscience que de temps en temps j'avais des fourmis dans le cerveau (la même sensation lorsqu'on en a dans les jambes ou n'importe où) et qu'il fallait que je respire volontairement, chose à laquelle je ne pensais que lorsque j'avais ces fameuses fourmis. Les périodes d'apnée involontaires duraient en moyenne, pour vous faire une idée, 25 - 30 secondes. Je me disais que si je respirais pas j'allais mourir et que si je dormais j'allais pas respirer volontairement et que je mourrais aussi. Donc pendant une heure je suis resté assis à respirer lorsque mon cerveau me le demandait ! Après j'en avais tellement marre (car le trip était bien gâché à cause de ça) et j'étais assez fatigué que je me suis dit bon je vais dormir on verra bien ce qu'il en est demain ou pas. Je m'endors sans trop de peine et me réveille 6 heures plus tard apparemment sans dommages au cerveau.
En prenant du recul pendant la journée qui a suivi je me suis rendu compte de la gravité de la chose et de la chance que j'ai eu car les fourmillements au cerveau ça veut dire risque de dommages cérébraux irréversibles. Bref j'ai eu très peur et heureusement que j'en ai pas pris plus sinon je serais surement pas ici. Je pense qu'à l'avenir je ne prendrais jamais plus que 200mg puisque ça me suffit et que j'espacerais le plus possible mes prises.
Je voudrais aussi avoir l'avis de gens connaissent bien le dxm pour savoir si mon cas est quelquechose de courant ou bien vraiment grave.
Merci à ceux qui ont tout lu
étant nouveau dans la communauté (même si j'ai lu le forum pendant des heures silencieusement) je me suis dit qu'il fallait que je vous raconte ma dernière expérience avec le dxm.
Il faut savoir que je pèse environ 65 kg et que je suis un homme. J'avais déjà essayé 3 ou 4 fois de le dxm avant cette tentative mais jamais à plus de 210mg de dxm. Par ce nouveau dosage (400mg) j'espérais vivre un super voyage et tout mais j'ai assez vite déchanté !
Il est à peu près 20h30 quand j'avale les 20 pilules avec un peu de jus de pamplemousse (blanc bien sur). La montée est progressive pendant environ 1h30 et j'atteins comme prévu le plus gros "high" de ma vie (il est 23h) avec tout un tas de vision plutôt sympa mais parfois un peu effrayante. Ce que je n'avais pas prévu (pensant que la dose ne m'emmènerais pas plus loin qu'un petit 3° plateau) c'est mon hypersensibilité au dxm et le risque de dépression respiratoire qu'elle crée. A minuit, j'ai commencé à prendre conscience que de temps en temps j'avais des fourmis dans le cerveau (la même sensation lorsqu'on en a dans les jambes ou n'importe où) et qu'il fallait que je respire volontairement, chose à laquelle je ne pensais que lorsque j'avais ces fameuses fourmis. Les périodes d'apnée involontaires duraient en moyenne, pour vous faire une idée, 25 - 30 secondes. Je me disais que si je respirais pas j'allais mourir et que si je dormais j'allais pas respirer volontairement et que je mourrais aussi. Donc pendant une heure je suis resté assis à respirer lorsque mon cerveau me le demandait ! Après j'en avais tellement marre (car le trip était bien gâché à cause de ça) et j'étais assez fatigué que je me suis dit bon je vais dormir on verra bien ce qu'il en est demain ou pas. Je m'endors sans trop de peine et me réveille 6 heures plus tard apparemment sans dommages au cerveau.
En prenant du recul pendant la journée qui a suivi je me suis rendu compte de la gravité de la chose et de la chance que j'ai eu car les fourmillements au cerveau ça veut dire risque de dommages cérébraux irréversibles. Bref j'ai eu très peur et heureusement que j'en ai pas pris plus sinon je serais surement pas ici. Je pense qu'à l'avenir je ne prendrais jamais plus que 200mg puisque ça me suffit et que j'espacerais le plus possible mes prises.
Je voudrais aussi avoir l'avis de gens connaissent bien le dxm pour savoir si mon cas est quelquechose de courant ou bien vraiment grave.
Merci à ceux qui ont tout lu