Donkey Bird
Holofractale de l'hypervérité
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Ici on écoutera de la bonne dnb, de la jungle!
On iras du breakbeat au breakcore.
Sans oublié le dubstep!
On pourras aussi poser les sous-genres comme le jazzstep pour la dnb.
Le breakstep pour le dubstep.
Ou encore la ragga jungle, bref faite vous plaisir!
Drum'n'Bass
La drum and bass est un genre de musique électronique apparu en Angleterre au début des années 1990, spécialement au club de jazz Blue Note de Londres, en 1994. Le nom, parfois abrégé drum'n'bass, drum & bass ou encore dnb, signifie littéralement « batterie et basse ». Elle est donc caractérisée par ses breakbeats de batterie et ses lignes de basse lourdes à très basse fréquence ayant pour but de faire ressentir au danseur des vibrations à l'intérieur du corps. Ces deux composantes constituent l'essence du genre. La mélodie est généralement minimale et sert généralement d'emphase aux percussions qui sont extrêmement répétitives. La drum and Bass peut être accompagnée de textes dits de manière rapide et rythmée par un MC.
Cette musique est jouée généralement dans des clubs et parfois dans des free parties. Par ailleurs, elle emprunte abondamment des sonorités au jazz, au ragga, au funk, à la soul, à la techno, au hip hop, voire à la musique classique, notamment par l'utilisation de samples. Cette variété de couleurs musicales permet d'exprimer une palette d'émotions très variées, alors que le tempo se situe généralement entre 160 et 190 BPM. Au cours d'un mix de drum and bass, l'auditeur pourra donc vivre des passages calmes et des passages d'excitation, des passages joyeux et des passages sombres, alors que le tempo reste identique. Cette constance du tempo est un élément clé de la pratique musicale du DJ.
Jungle
La jungle est un style musical antérieur à la drum and bass.
Pour certains, il y a une réelle différence sonore : on peut caractériser la « jungle » (anciennement appelée « jungle techno ») par un travail rythmique complexe et un synthé assez pauvre alors que la drum and bass a une structure rythmique beaucoup plus simple (appelé 2-Step) mais un travail sur les synthétiseurs beaucoup plus poussé.
Enfin, le terme « jungle » est parfois utilisé comme raccourci pour désigner le ragga jungle.
Malgré une dénomination exotique, la jungle n’est pas née dans la chaleur d’une forêt tropicale mais bien dans les caves sombres des clubs anglais. Le mot jungle signifie dès lors urban Jungle (jungle urbaine) pour décrire le quotidien difficile des jeunes dans une société anglaise culturellement verrouillée. La jungle tire son origine des raves anglaises. Elle apparaît au début des années 1990. Certains ont eu l'idée de superposer des breakbeats accélérés sur la rythmique classique techno. Puis le kick a été progressivement retiré et les breakbeats ont été de plus en plus travaillés, redecoupés, réassemblés, etc. La jungle se nourrit aussi de l'influence de la communauté jamaïquaine anglaise et se met donc vite à intégrer des éléments de hip-hop, ragga, dub. Ces éléments se retrouvent aussi bien dans les sons que dans la pratique du deejaying avec par exemple le rewind. La jungle intègre des voix, souvent planantes et féminines ou ragga, venant contraster avec la rudesse et la rapidité des rythmiques. L’esprit général s’inspire souvent du dub avec de fréquentes interventions de toasters et des effets caractéristiques sur les sons de basse. Deux albums sont ainsi considérés comme exceptionnels en la matière : Timeless, de Goldie en 1995 et New Forms de Roni Size en 1996. Ces deux artistes sont les pionniers de la jungle, au même titre que A Guy Called Gerald, 4 Hero ou les membres du label Metalheadz de Goldie (Optical, Ed Rush, Dilinja, Photek...).
Breakbeat
Le breakbeat désigne un courant de musique électronique caractérisé par la présence de rythmes binaires très syncopés et l'utilisation intense de polyrythmes (en anglais breakbeat signifie littéralement « rythme cassé »). Le breakbeat s'oppose ainsi à d'autres genres de musique électronique au rythme plus régulier et stable telle que la house. Ce modèle rythmique est inspiré notamment initialement de la musique funk. On trouve des exemples précurseurs du breakbeat dans les accompagnements musicaux d'artistes funk et soul comme James Brown, Herbie Hancock ou Lyn Collins.
Par extension, le terme breakbeat peut être employé de façon générique pour désigner la famille de genres musicaux qui font usage de ce type de rythmique, par exemple le hip hop, le drum and bass ou encore le trip hop. On désignera aussi naturellement par ce terme la musique faisant appel à des rythmes breakbeat mais ne pouvant être classée dans un genre musical plus spécifique.
Il fut créé aux États-Unis par le DJ de Hip-Hop DJ Kool Herc qui passa en boucle un même extrait de chanson sur lequel n'étaient présentes que la basse et les percussions. Il avait en effet remarqué que le public réagissait mieux aux passages instrumentaux rythmiques. Les danseurs de Hip-Hop se nommèrent breakers à cause du rythme utilisé. Il est toujours joué dans les battles de breakdance.
Techniquement, la séquence breakbeat est réalisée à partir d'échantillons de batterie issus d'enregistrements existants ou alors construits de manière originale à l'aide d'une boîte à rythmes ou d'une batterie acoustique.
Par extension, les compilations d' échantillons de batterie (ou de boucles de rythme) et les disques-outils (tools ) spécialisées pour les DJ sont nommés breakbeat.
Le terme breakbeat est utilisé pour l'électro, il désigne un type de musique utilisant beaucoup de basses sur des rythmes très entraînants. Ce dérivé du genre s'est essentiellement développé en Angleterre. On en distingue plusieurs variations, telles que le big beat, le nu skool breaks ou le breakbeat progressif. Il est représenté par des groupes ou DJs comme les Stanton Warriors, Adam Freeland ou encore les Plump DJs.
Dubstep
Le dubstep est un genre musical originaire en grande partie du sud de Londres. Elle représente une des mutations du Speed Garage (également connu sous le nom de UK Garage, à ne pas confondre avec le Garage) et du 2-Step. Les pionniers produiront, vers 1999-2000, les pièces inspiratrices du genre ; il s’agit de El-B (moitié de Groove Chroniques et du label Ghost), de Zed Bias (alias Phuturistix, Maddslinky…) et de Steve Gurley. Comme le grime, autre mutation du garage, le dubstep s’est développé sur la base d’atmosphères urbaines et futuristes et de rythmes à un tempo proche de 140 bpm; il s’en distingue cependant par une approche moins frénétique, plus introspective et résolument guidée par l'énergie physique des basses fréquences. Hormis les influences directes du 2-step, on y retrouve des éléments issus de la jungle, du dub, de la techno, de l’electronica, du hip hop. La musique lente et lourde de Scorn, projet du musicien multi-instrumentiste Mick Harris est assimilable à une forme de proto-dubstep depuis le début des années 90.
Breakcore
Le Breakcore est un genre musical qui fait partie de la musique électronique et qui mélange des éléments de Jungle, Hardcore, Techno, Illbient et IDM, le tout saupoudré de ruptures de rythmes et de références sporadiques au Happy Hardcore, au Rap, au Funk, à la Noise, etc. pour donner un son orienté Breakbeat, agressif, très dynamique, peu monotone, souvent teinté de notes d'humour et de dérision, de samples de voix.
Historique
Le style a commencé à émerger au milieu des années 1990, quand des artistes Hardcore ont commencé à être lassés d’entendre toujours les mêmes sons de boîtes à rythme - notamment Roland (TR-303,505,909...)- sur des rythmes 4/4 lancinants, écœurés par les éléments commerciaux et très « gamins » du Gabber hollandais, les assauts incessants du Speedcore... Certains ont alors senti le besoin de s’inspirer des rythmes jungle et Acid du début des années 1990 pour les pousser à l’extrême.
Ces artistes se sont alors mis à inclure plus de breaks et de coupures, appliquant les concepts du hardcore et de la musique industrielle la plus dure au « schéma » Drum and Bass ; s’affranchissant de l’influence de la scène rave et y ajoutant un degré de complexité, le breakcore est un genre propre à attirer les fans de musique las de cette même scène rave et/ou free party. Pour cette raison, le « public » Breakcore est généralement composé de fans de musiques extrêmes de tous horizons - Grindcore, Musique Industrielle, Noise, « IDM » (Intelligent dance music), punk, musiques expérimentales...
Historiquement, les premières tentatives connues viennent probablement de « Riot Beats » sur Digital Hardcore Recordings. ensuite viens LONETRIBE : style - "Live Human Breakcore" , ce qui consiste à jouer toutes les rythmiques directement à la batterie acoustique et électronique câblé en midi sur ordinateur.
Il n’y a pas de lieu spécifique d’origine du Breakcore, mais on peut citer Berlin (Allemagne), le sud de Londres, Bristol, Newcastle (Royaume-Uni), Rennes et Toulouse (France), Gand (Belgique), Milwaukee, le Wisconsin (États-Unis), comme principales zones d’influence.
On iras du breakbeat au breakcore.
Sans oublié le dubstep!
On pourras aussi poser les sous-genres comme le jazzstep pour la dnb.
Le breakstep pour le dubstep.
Ou encore la ragga jungle, bref faite vous plaisir!
Drum'n'Bass
La drum and bass est un genre de musique électronique apparu en Angleterre au début des années 1990, spécialement au club de jazz Blue Note de Londres, en 1994. Le nom, parfois abrégé drum'n'bass, drum & bass ou encore dnb, signifie littéralement « batterie et basse ». Elle est donc caractérisée par ses breakbeats de batterie et ses lignes de basse lourdes à très basse fréquence ayant pour but de faire ressentir au danseur des vibrations à l'intérieur du corps. Ces deux composantes constituent l'essence du genre. La mélodie est généralement minimale et sert généralement d'emphase aux percussions qui sont extrêmement répétitives. La drum and Bass peut être accompagnée de textes dits de manière rapide et rythmée par un MC.
Cette musique est jouée généralement dans des clubs et parfois dans des free parties. Par ailleurs, elle emprunte abondamment des sonorités au jazz, au ragga, au funk, à la soul, à la techno, au hip hop, voire à la musique classique, notamment par l'utilisation de samples. Cette variété de couleurs musicales permet d'exprimer une palette d'émotions très variées, alors que le tempo se situe généralement entre 160 et 190 BPM. Au cours d'un mix de drum and bass, l'auditeur pourra donc vivre des passages calmes et des passages d'excitation, des passages joyeux et des passages sombres, alors que le tempo reste identique. Cette constance du tempo est un élément clé de la pratique musicale du DJ.
Jungle
La jungle est un style musical antérieur à la drum and bass.
Pour certains, il y a une réelle différence sonore : on peut caractériser la « jungle » (anciennement appelée « jungle techno ») par un travail rythmique complexe et un synthé assez pauvre alors que la drum and bass a une structure rythmique beaucoup plus simple (appelé 2-Step) mais un travail sur les synthétiseurs beaucoup plus poussé.
Enfin, le terme « jungle » est parfois utilisé comme raccourci pour désigner le ragga jungle.
Malgré une dénomination exotique, la jungle n’est pas née dans la chaleur d’une forêt tropicale mais bien dans les caves sombres des clubs anglais. Le mot jungle signifie dès lors urban Jungle (jungle urbaine) pour décrire le quotidien difficile des jeunes dans une société anglaise culturellement verrouillée. La jungle tire son origine des raves anglaises. Elle apparaît au début des années 1990. Certains ont eu l'idée de superposer des breakbeats accélérés sur la rythmique classique techno. Puis le kick a été progressivement retiré et les breakbeats ont été de plus en plus travaillés, redecoupés, réassemblés, etc. La jungle se nourrit aussi de l'influence de la communauté jamaïquaine anglaise et se met donc vite à intégrer des éléments de hip-hop, ragga, dub. Ces éléments se retrouvent aussi bien dans les sons que dans la pratique du deejaying avec par exemple le rewind. La jungle intègre des voix, souvent planantes et féminines ou ragga, venant contraster avec la rudesse et la rapidité des rythmiques. L’esprit général s’inspire souvent du dub avec de fréquentes interventions de toasters et des effets caractéristiques sur les sons de basse. Deux albums sont ainsi considérés comme exceptionnels en la matière : Timeless, de Goldie en 1995 et New Forms de Roni Size en 1996. Ces deux artistes sont les pionniers de la jungle, au même titre que A Guy Called Gerald, 4 Hero ou les membres du label Metalheadz de Goldie (Optical, Ed Rush, Dilinja, Photek...).
Breakbeat
Le breakbeat désigne un courant de musique électronique caractérisé par la présence de rythmes binaires très syncopés et l'utilisation intense de polyrythmes (en anglais breakbeat signifie littéralement « rythme cassé »). Le breakbeat s'oppose ainsi à d'autres genres de musique électronique au rythme plus régulier et stable telle que la house. Ce modèle rythmique est inspiré notamment initialement de la musique funk. On trouve des exemples précurseurs du breakbeat dans les accompagnements musicaux d'artistes funk et soul comme James Brown, Herbie Hancock ou Lyn Collins.
Par extension, le terme breakbeat peut être employé de façon générique pour désigner la famille de genres musicaux qui font usage de ce type de rythmique, par exemple le hip hop, le drum and bass ou encore le trip hop. On désignera aussi naturellement par ce terme la musique faisant appel à des rythmes breakbeat mais ne pouvant être classée dans un genre musical plus spécifique.
Il fut créé aux États-Unis par le DJ de Hip-Hop DJ Kool Herc qui passa en boucle un même extrait de chanson sur lequel n'étaient présentes que la basse et les percussions. Il avait en effet remarqué que le public réagissait mieux aux passages instrumentaux rythmiques. Les danseurs de Hip-Hop se nommèrent breakers à cause du rythme utilisé. Il est toujours joué dans les battles de breakdance.
Techniquement, la séquence breakbeat est réalisée à partir d'échantillons de batterie issus d'enregistrements existants ou alors construits de manière originale à l'aide d'une boîte à rythmes ou d'une batterie acoustique.
Par extension, les compilations d' échantillons de batterie (ou de boucles de rythme) et les disques-outils (tools ) spécialisées pour les DJ sont nommés breakbeat.
Le terme breakbeat est utilisé pour l'électro, il désigne un type de musique utilisant beaucoup de basses sur des rythmes très entraînants. Ce dérivé du genre s'est essentiellement développé en Angleterre. On en distingue plusieurs variations, telles que le big beat, le nu skool breaks ou le breakbeat progressif. Il est représenté par des groupes ou DJs comme les Stanton Warriors, Adam Freeland ou encore les Plump DJs.
Dubstep
Le dubstep est un genre musical originaire en grande partie du sud de Londres. Elle représente une des mutations du Speed Garage (également connu sous le nom de UK Garage, à ne pas confondre avec le Garage) et du 2-Step. Les pionniers produiront, vers 1999-2000, les pièces inspiratrices du genre ; il s’agit de El-B (moitié de Groove Chroniques et du label Ghost), de Zed Bias (alias Phuturistix, Maddslinky…) et de Steve Gurley. Comme le grime, autre mutation du garage, le dubstep s’est développé sur la base d’atmosphères urbaines et futuristes et de rythmes à un tempo proche de 140 bpm; il s’en distingue cependant par une approche moins frénétique, plus introspective et résolument guidée par l'énergie physique des basses fréquences. Hormis les influences directes du 2-step, on y retrouve des éléments issus de la jungle, du dub, de la techno, de l’electronica, du hip hop. La musique lente et lourde de Scorn, projet du musicien multi-instrumentiste Mick Harris est assimilable à une forme de proto-dubstep depuis le début des années 90.
Breakcore
Le Breakcore est un genre musical qui fait partie de la musique électronique et qui mélange des éléments de Jungle, Hardcore, Techno, Illbient et IDM, le tout saupoudré de ruptures de rythmes et de références sporadiques au Happy Hardcore, au Rap, au Funk, à la Noise, etc. pour donner un son orienté Breakbeat, agressif, très dynamique, peu monotone, souvent teinté de notes d'humour et de dérision, de samples de voix.
Historique
Le style a commencé à émerger au milieu des années 1990, quand des artistes Hardcore ont commencé à être lassés d’entendre toujours les mêmes sons de boîtes à rythme - notamment Roland (TR-303,505,909...)- sur des rythmes 4/4 lancinants, écœurés par les éléments commerciaux et très « gamins » du Gabber hollandais, les assauts incessants du Speedcore... Certains ont alors senti le besoin de s’inspirer des rythmes jungle et Acid du début des années 1990 pour les pousser à l’extrême.
Ces artistes se sont alors mis à inclure plus de breaks et de coupures, appliquant les concepts du hardcore et de la musique industrielle la plus dure au « schéma » Drum and Bass ; s’affranchissant de l’influence de la scène rave et y ajoutant un degré de complexité, le breakcore est un genre propre à attirer les fans de musique las de cette même scène rave et/ou free party. Pour cette raison, le « public » Breakcore est généralement composé de fans de musiques extrêmes de tous horizons - Grindcore, Musique Industrielle, Noise, « IDM » (Intelligent dance music), punk, musiques expérimentales...
Historiquement, les premières tentatives connues viennent probablement de « Riot Beats » sur Digital Hardcore Recordings. ensuite viens LONETRIBE : style - "Live Human Breakcore" , ce qui consiste à jouer toutes les rythmiques directement à la batterie acoustique et électronique câblé en midi sur ordinateur.
Il n’y a pas de lieu spécifique d’origine du Breakcore, mais on peut citer Berlin (Allemagne), le sud de Londres, Bristol, Newcastle (Royaume-Uni), Rennes et Toulouse (France), Gand (Belgique), Milwaukee, le Wisconsin (États-Unis), comme principales zones d’influence.