Finn l'humain
Neurotransmetteur
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Bonjour à toi qui me lis, et pardon au modo si le topic n'est pas dans la bonne section. Je n'ai pas trouvé de section psychologie et comme ce genre de questionnement concerne aussi la santé mental alors pourquoi pas le mettre ici.
Tout est dans le titre, comment accepter ou/et comprendre qu'une personne soit ce qu'elle est avec ses défauts et ces qualités lorsque l'on pense que l'on à le pouvoir (voire qu'on la véritablement) de la rendre plus heureuse ?
Je vous donne un exemple : Mon beau frère et au point mort dans sa vie depuis de nombreuse années et il ne s'est jamais vraiment remis du suicide de sa mère il y 15 ans. Ce n'est pas quelqu'un qui parle de ses émotions ni-même qui accepte de les ressentir, ce pourquoi je pense, il se drogue constamment (juste de la fume). Comme je le disais, il au point mort. Il ne sais pas ce qu'il veut faire dans sa vie, il s'ennuie, il n'a pas envie de travailler, bref, il est perdu. La dernière fois que je l'ai vu nous avons discuté (il à la vingtaine et est en couple depuis 5 ans) et il m'a dit qu'il ne trouvais pas de sens à sa vie et qu'il voulait avoir un enfant pour combler le vide et le manque d'amour que sa mère ne lui avait pas donné. Car à ce jour sa vie n'avait aucun sens, juste vivre pour mourir.
Évidemment lorsque j'ai entendu ça, j'ai essayé de le raisonner. Non parce que je considère qu'il n'est pas sage d'avoir un enfant à cet âge, mais qu'en revanche il est malsain (dans le sens qui fait du mal, pas moral) d'en avoir un pour cette raison. Rien à faire. J'ai essayé de lui expliqué qu'il faut déjà s'aimer soi-même avant de pouvoir donner de l'amour à quelqu'un. Que le fait que placer son amour comme son bonheur dans les mains d'autrui rend dépendant et créait des relations toxiques voire des problèmes générationnel. Que personne d'autre que lui ne pourras plus le rendre heureux que lui-même car personne ne pourras jamais mieux connaître ses rêves et ses attentes que lui-même. Je lui ai aussi dit que ses enfants ne resteront pas éternellement ses enfants et que le vide n'aura pas disparu, mais que dalle. Selon lui, c'est mon point de vue.
Dans une telle situation et en partant du principe que je ne me trompe pas sur les conséquences d'un tel choix (j'utilise cet exemple mais c'est valable pour d'autres situations dont je me pose aussi des questions), comment est-ce que je peux accepter l'idée que même en voyant le mal qui va arriver, je ne puisse l'empêcher. Bien sûr je ne suis responsable que de moi. Mais que devrais-je faire ? Je ne vais pas forcer quelqu'un à accepter mon idéologie, ça c'est certains. Comment est-ce que vous, comment est-ce que toi qui me lis, tu parviens à gérer se genre de situation, et comment est-ce que tu arrives à te détacher de tout ça ?
Merci d'avance pour vos réponse. Je me doute que psychonaute n'est pas un forum de psycho mais au vu des réponses que j'ai pu lire ici, je pense que je suis au bon endroit
Tout est dans le titre, comment accepter ou/et comprendre qu'une personne soit ce qu'elle est avec ses défauts et ces qualités lorsque l'on pense que l'on à le pouvoir (voire qu'on la véritablement) de la rendre plus heureuse ?
Je vous donne un exemple : Mon beau frère et au point mort dans sa vie depuis de nombreuse années et il ne s'est jamais vraiment remis du suicide de sa mère il y 15 ans. Ce n'est pas quelqu'un qui parle de ses émotions ni-même qui accepte de les ressentir, ce pourquoi je pense, il se drogue constamment (juste de la fume). Comme je le disais, il au point mort. Il ne sais pas ce qu'il veut faire dans sa vie, il s'ennuie, il n'a pas envie de travailler, bref, il est perdu. La dernière fois que je l'ai vu nous avons discuté (il à la vingtaine et est en couple depuis 5 ans) et il m'a dit qu'il ne trouvais pas de sens à sa vie et qu'il voulait avoir un enfant pour combler le vide et le manque d'amour que sa mère ne lui avait pas donné. Car à ce jour sa vie n'avait aucun sens, juste vivre pour mourir.
Évidemment lorsque j'ai entendu ça, j'ai essayé de le raisonner. Non parce que je considère qu'il n'est pas sage d'avoir un enfant à cet âge, mais qu'en revanche il est malsain (dans le sens qui fait du mal, pas moral) d'en avoir un pour cette raison. Rien à faire. J'ai essayé de lui expliqué qu'il faut déjà s'aimer soi-même avant de pouvoir donner de l'amour à quelqu'un. Que le fait que placer son amour comme son bonheur dans les mains d'autrui rend dépendant et créait des relations toxiques voire des problèmes générationnel. Que personne d'autre que lui ne pourras plus le rendre heureux que lui-même car personne ne pourras jamais mieux connaître ses rêves et ses attentes que lui-même. Je lui ai aussi dit que ses enfants ne resteront pas éternellement ses enfants et que le vide n'aura pas disparu, mais que dalle. Selon lui, c'est mon point de vue.
Dans une telle situation et en partant du principe que je ne me trompe pas sur les conséquences d'un tel choix (j'utilise cet exemple mais c'est valable pour d'autres situations dont je me pose aussi des questions), comment est-ce que je peux accepter l'idée que même en voyant le mal qui va arriver, je ne puisse l'empêcher. Bien sûr je ne suis responsable que de moi. Mais que devrais-je faire ? Je ne vais pas forcer quelqu'un à accepter mon idéologie, ça c'est certains. Comment est-ce que vous, comment est-ce que toi qui me lis, tu parviens à gérer se genre de situation, et comment est-ce que tu arrives à te détacher de tout ça ?
Merci d'avance pour vos réponse. Je me doute que psychonaute n'est pas un forum de psycho mais au vu des réponses que j'ai pu lire ici, je pense que je suis au bon endroit
