En réponse à un post, afin d"éviter un hors-sujet, ce qui m'a fait aimer la coke...
Sinon la COKE oui c'est cher...
Mais non ce n'est pas annecdotique...
Peut-être parce que je la fixe ?
Enfin moi j'ai vécu des trucs hyper high avec... Et pourtant très éloignés des vrais hallucinogènes, enfin selon mon vécu. Cad très froid, très fort, très haut, une acuité incroyable, une lucidité extra, des pensées d'une logique presque cruelle d'implacabilité, et surtout,ce qui m'a accroché, la possibilité de les ramener avec soi et de (tenter) de les ressortir par des mots (n'importe quelle idée devient la mère d'un raisonnement intense et qui ne demande qu'à se concrétiser toujours plus), des notes (je joue du piano, et ça m'a décoincée au niveau impro alors que je me croyais définitivement oblitérée par mon éducation classique), et mm des ambitions filimistiques, avec des prises de notes écrites et orale (je me suis achetée un petit enregistreur de poche), sans parler de la peinture que je pratiquais aussi, mais dont la mise en oeuvre semble trop lente... CREATIVITE
Meme, alors que la aussi d'ordinaire je me trouve toujours un peu lente, envie de parler, et discours clair, aisé (tout le vocabulaire ressurgit, on dispose d'une syntaxe optimale, et d'ailleurs sous l'effet on tient des discours brillants, auquels il est difficile en tout cas d'opposer des arguments...) EXPRESSIVITE.
La mémoire revient, ou redevient plus fluide, par exemple j'avais comme tout le monde des trous de mémoire de plus en plus fréquents, de plus en plus difficiles à surmonter - les "blancs" d'un mot qui se cache, d'un nom sur le bout de la langue etc... FACULTES INTELLECTUELLES AMELIOREES.
Et ca, ca n'est pas limité ni au flash, ni mm à l'effet... Moi ça m'a clairement décoincée de ce coté là. On peut bie sur ensuite discuter de la sensibilité "raison" "froideur" etc et lui préférer (comme mooi au naturel) l'"affectif" et le "sensible", avec toutes les différences que cela suppose. Mais j'ai été bluffée par cet aspect de la C, que j'avais bien essayé il y a longtemps, mais qui ne m'avais pas alors - question de doses aussi et de mode d'utilisation - vraiment convaicue. Ce qui m'a aussi scotchée, c'est cette "mise à disponibilité" de l'expression, pour la communication, comme si par d'autres trips on voyageait et accumulait des trésors jusaue là enfoouis et qu'avec la C on les remontait à la surface et les partageait avec l'Autre... COMMUNICATION
Mais parrallèlement, pour finir ce bref (par rapport au contenu, mais long pour un post de réponse !) rapport, je dois aussi ajouter un pénible passage par un trouble de caractère assez inquiétant, d'une froideur jusque là inconnue de moi, où je me sentais capable du pire, et l'ai d'ailleurs envisagé - il faut être honnête. J'ai même fait preuve de beaucoup de dureté verbale, et mm tout court (mais pas physique quand meme), au point de faire peur à l'autre - en l'occurence ma mère avec qui je me suis prise de bec mais dont le regard reflétait la peur, peur de ce qu'elle voyait peut être dan s mon regard à moi, une sorte de froide détermination, la levée de toute inhibition, l'invasion par le Moi - le mien bien sur - de tout mon univers, et tout ce qui croisait ma route. Ceci dit, j'en ai pris conscience et d'ailleurs on passe tous par ce genre de rusch, mais la C rend tout plus intense, donc ça aussi. Mais il faut a mon avis une mise en garde claire la-dessus, car si qqun comme moi, d'ordinaire dévouée en particulier à ma mère, certes un peu bordr-line mais toujours dominée par un phénomène de loyauté dominant, si donc j'ai passé si près de passages à l'acte graves, quid de personnes moins au sur-moi moins fort que l'ego... Je pense que ça peut être problématique... MAIS AUSSI RAPTUS !
Ah ! Pour finir sur une note qui ne déplairas sans doute pas ! Question sexe... Alors là, après aaues temps, franchement ressenti une poussée de libido qui s'est soldée par ... entre autres ! un orgasme fou, comme je n'en ai jamais connu, genre 20 mn de high high high ! Pouvais plus m'arrêter ! Ai du m'y obliger ! APHRODISIAQUE !!!!!!!!!!!!!
Toujours ce paradoxe de l'excès, qui chez moi (et nombre / tous ? d'entre nous !) trouve un hôte conquis d'avance ! Voilà !
Par contre ta réflexion me fais me rappeler que j'ai pris de l'EPHEDRINE aussi quand j'avais environ 16 ans. C'etaient des petites pilutles (Ephédrine Houdé je crois, qui 'existent plus selon le Vidal ?), je me rappelle avoir été frustrée comme si, maintenant que je connais la coke, ou meme l'acide, quelque chose se préparait, on est au bord de l'extase ou qqchose, mais rien ne vient, le désert des Tartares reste désespérément vide, un vide un peu inquiétant, et on est pourtant dans une survigilence intense, un éveil vibrant que rien ne vient détendre... A moins que le sexe justement (à l'époque je ne connaissais pas hi hi hi!).
Sinon la COKE oui c'est cher...
Mais non ce n'est pas annecdotique...
Peut-être parce que je la fixe ?
Enfin moi j'ai vécu des trucs hyper high avec... Et pourtant très éloignés des vrais hallucinogènes, enfin selon mon vécu. Cad très froid, très fort, très haut, une acuité incroyable, une lucidité extra, des pensées d'une logique presque cruelle d'implacabilité, et surtout,ce qui m'a accroché, la possibilité de les ramener avec soi et de (tenter) de les ressortir par des mots (n'importe quelle idée devient la mère d'un raisonnement intense et qui ne demande qu'à se concrétiser toujours plus), des notes (je joue du piano, et ça m'a décoincée au niveau impro alors que je me croyais définitivement oblitérée par mon éducation classique), et mm des ambitions filimistiques, avec des prises de notes écrites et orale (je me suis achetée un petit enregistreur de poche), sans parler de la peinture que je pratiquais aussi, mais dont la mise en oeuvre semble trop lente... CREATIVITE
Meme, alors que la aussi d'ordinaire je me trouve toujours un peu lente, envie de parler, et discours clair, aisé (tout le vocabulaire ressurgit, on dispose d'une syntaxe optimale, et d'ailleurs sous l'effet on tient des discours brillants, auquels il est difficile en tout cas d'opposer des arguments...) EXPRESSIVITE.
La mémoire revient, ou redevient plus fluide, par exemple j'avais comme tout le monde des trous de mémoire de plus en plus fréquents, de plus en plus difficiles à surmonter - les "blancs" d'un mot qui se cache, d'un nom sur le bout de la langue etc... FACULTES INTELLECTUELLES AMELIOREES.
Et ca, ca n'est pas limité ni au flash, ni mm à l'effet... Moi ça m'a clairement décoincée de ce coté là. On peut bie sur ensuite discuter de la sensibilité "raison" "froideur" etc et lui préférer (comme mooi au naturel) l'"affectif" et le "sensible", avec toutes les différences que cela suppose. Mais j'ai été bluffée par cet aspect de la C, que j'avais bien essayé il y a longtemps, mais qui ne m'avais pas alors - question de doses aussi et de mode d'utilisation - vraiment convaicue. Ce qui m'a aussi scotchée, c'est cette "mise à disponibilité" de l'expression, pour la communication, comme si par d'autres trips on voyageait et accumulait des trésors jusaue là enfoouis et qu'avec la C on les remontait à la surface et les partageait avec l'Autre... COMMUNICATION
Mais parrallèlement, pour finir ce bref (par rapport au contenu, mais long pour un post de réponse !) rapport, je dois aussi ajouter un pénible passage par un trouble de caractère assez inquiétant, d'une froideur jusque là inconnue de moi, où je me sentais capable du pire, et l'ai d'ailleurs envisagé - il faut être honnête. J'ai même fait preuve de beaucoup de dureté verbale, et mm tout court (mais pas physique quand meme), au point de faire peur à l'autre - en l'occurence ma mère avec qui je me suis prise de bec mais dont le regard reflétait la peur, peur de ce qu'elle voyait peut être dan s mon regard à moi, une sorte de froide détermination, la levée de toute inhibition, l'invasion par le Moi - le mien bien sur - de tout mon univers, et tout ce qui croisait ma route. Ceci dit, j'en ai pris conscience et d'ailleurs on passe tous par ce genre de rusch, mais la C rend tout plus intense, donc ça aussi. Mais il faut a mon avis une mise en garde claire la-dessus, car si qqun comme moi, d'ordinaire dévouée en particulier à ma mère, certes un peu bordr-line mais toujours dominée par un phénomène de loyauté dominant, si donc j'ai passé si près de passages à l'acte graves, quid de personnes moins au sur-moi moins fort que l'ego... Je pense que ça peut être problématique... MAIS AUSSI RAPTUS !
Ah ! Pour finir sur une note qui ne déplairas sans doute pas ! Question sexe... Alors là, après aaues temps, franchement ressenti une poussée de libido qui s'est soldée par ... entre autres ! un orgasme fou, comme je n'en ai jamais connu, genre 20 mn de high high high ! Pouvais plus m'arrêter ! Ai du m'y obliger ! APHRODISIAQUE !!!!!!!!!!!!!
Toujours ce paradoxe de l'excès, qui chez moi (et nombre / tous ? d'entre nous !) trouve un hôte conquis d'avance ! Voilà !
Par contre ta réflexion me fais me rappeler que j'ai pris de l'EPHEDRINE aussi quand j'avais environ 16 ans. C'etaient des petites pilutles (Ephédrine Houdé je crois, qui 'existent plus selon le Vidal ?), je me rappelle avoir été frustrée comme si, maintenant que je connais la coke, ou meme l'acide, quelque chose se préparait, on est au bord de l'extase ou qqchose, mais rien ne vient, le désert des Tartares reste désespérément vide, un vide un peu inquiétant, et on est pourtant dans une survigilence intense, un éveil vibrant que rien ne vient détendre... A moins que le sexe justement (à l'époque je ne connaissais pas hi hi hi!).