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Bad trip : Skyzophrénie

LalaDansLesNuages

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7/1/07
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Salut,

Je viens depuis quelques vous lire et je me permets de poster ce message pour vous apporter mon témoignage (surtout en réaction aux messages que j'ai pu lire ici avec des jeunes de 15 ou 16 ans qui croient gérer leur consommation, leur vie). Je ne suis pas là pour faire la moral, juste apporter mon expérience douloureuse.

J'avais 16 ans (j'en ai 27) et moi et un ami proche nous consommions très régulièrement depuis 2 années toutes sortes de drogues. Nos vies étaient sympa, pas de gros soucis à l'horizon, c'était juste pour le fun, la défonce, on rigole hahaha cest super, on gère, on est les meilleurs.

Et un soir, mon ami a fait un méga bad trip. Le truc de foufou...

Résultat ? Il est encore perché là-haut sur son nuage, cette consommation excessive de drogues et ce bad trip lui on révelé sa prédestination à la skyzophrénie (je rappelle que la skyzophrénie, maladie mentale qui est à 90% masculine, est pronostiqué le plus souvent à l'adolescence et la consommation de drogues revèle les personnes qui sont prédestinés à avoir cette maladie - c'est presque génétique - et on ne guérit JAMAIS de cette maladie).

Voilà, il se prends pour Buddha, on le retrouve régulièrement assis dans la rue à faire la manche, il s'est enfuit plusieurs fois des hopitaux, sa famille l'a délaissé.
Convivial non ?

Alors je ne fais pas de généralités, tous les cas sont différents. Juste être prudent, c'est pour vous, pour votre avenir.

Merci de votre attention

:oops:
 
Merci pour ce témoignage. Quoique plus de détails sur les drogues prises et le super bad trip seraient intéressant.

Voilà, il se prends pour Buddha, on le retrouve régulièrement assis dans la rue à faire la manche

Est t'il malheureux ?
 
Le problème, c'est que tu ne donnes quasiment aucune précision... Que prenait-il ? A quelle fréquence ? Pourquoi le badtrip ? Quelle expérience avait-il avec ledit produit à ce moment ? Quelle était sa situation dans la vie à ce moment ?
 
Oui il est malheureux. Il n'a plus personne autour de lui, les gens ont peur de lui, il sait qu'il devra vivre ainsi toute sa vie, ne pas se marier, ne pas avoir un travail, ni d'enfants. Dans ses rares moments de lucidité, il le dit, il pleure, il regrette, il se déteste.

Sa consommation était ponctuelle à cette époque car il sortait beaucoup moins, environ 2 fois par mois : X, C, et acid.

Et il est resté perché à cause dun bad trip à l'acide un beau soir d'été où tout allait bien dans sa vie : il avait trouvé le métier qu'il désirait faire (être éducateur), une famille aimante et présente, une nouvelle petite copine dont il était fou amoureux.

Il avait déjà pris ce genre de produits et tout s'était bien déroulé. Cette fois-ci, rien ne s'es déroulé comme nous l'avions espéré. Un bad trip énormissime, je suis encore choquée, j'ai les images dans ma tête.

J'ai mal pour lui, et j'ai mal de penser que ça peut encore arriver à dautres.
 
Quand il n'est "pas lucide",
Est-il heureux ? dans quel état d'esprit est-il? continue t il de consommer des drogues?
Et avant ce bad trip, était il heureux sans drogues, et l'etait-il (vraiment) avant de connaitre les drogues(il est facile de se voiler la face quand on est jeune, et pas seulement jeune d'ailleur, mais + quand meme...)?

Et purrais tu nous raconter ce bad trip?

Merci pour ce témoignage, je suis certain qu il est trés utile.
 
quand les gens ont des problèmes préfèrent accuser les drogues,
c'est plus façil
 
Ce qui est fait est fait, on ne peut pas revenir dessus.

Le problème de ton ami, c'est que sa famille l'a délaissé, et qu'il doit culpabiliser d'avoir pris ou de prendre des drogues.

Pour moi c'est une question de destin, le droit au bonheur est une illusion.
 
Quand il n'est pas lucide, il est dans un autre monde : il se cache, il se croit persecuté, qu'il y a un complot mondial contre lui, que le FBI le recherche. Il y a 3 ans environ, je n'ai pas eu de nouvelles de lui pendant une semaine (je l'appelle tous les jours donc pour moi c'était flippant). Les flics l'ont retrouvé entrain de marcher au milieu de l'autoroute, il voulait "partir en vacances en Inde". Il est completement deconnecté de la realité, c'est dur à voir, encore plus dur à vivre.

Je peux vous assurer qu'il allait très très bien avant ce bad et c'est pour cela que c'est dangeureux : ca vient quand on s'y attend pas.

Il fume parfois de la beuh, il me l'a avoué. Ce qui malheureusement empire ses hallucinations vocales et visuelles mais il me dit en avoir besoin. Je prefererais nettement qu'ils prennent ses médocs régulièrement mais je ne peux rien pour lui à part être là, l'écouter et le soutenir dans ses choix. La skyzophrénie necessite un traitement à vie. C'est malheureux mais pour avoir un semblant de vie stable, ils doivent ingurter des médocs tous les jours.

J'espere sincerement que ceux et celles qui prennent des prods sont conscients de ce qu'ils font, ce qu'ils prennent en essayant de ne pas abuser (plus facile à dire qu'à faire).

En tous cas, moi ça ma bien calmé...

Son bad trip est difficile à mettre en texte. Il était hystérique, voyait des hommes autour de lui qui représentait "la mort" et venait le chercher pour l'amener en enfer. Ils voyaient la tête des gens se déformer, ils pensaient qu'on voulait le tuer. Je n'ai jamais vu quelqu'un avoir aussi peur de sa vie. Et ceci pendant plus d'une semaine.

Il est certain qu'on peut pas revenir en arrière mais ca me rend hystéro de voir des messages de jeunes gens totalement inconscient : la défonce pour la défonce, yeah c'est trop cooooooool.

Ouais c'est cool mais quand on s'y prend bien.

Merci de votre écoute et attention ! good vibe <3
 
Moi aussi j'ai un ami qui est schizophrène, je l'ai connu avant qu'il se mette à délirer et c'est bien déprimant de voir un de ses meilleurs potes partir en couille.

Depuis qu'il est sous traitement chimique obligatoire, il a l'air d'aller mieux, dans le sens où il n'a plus de grosses hallus, de crises d'angoisse etc... Mais il est devenu complètement apathique. Il continue à fumer.

Je pense que personne n'est assez idiot pour savoir que la drogue ne présente aucun risque: certains cherchent à le nier, mais ils le savent au fond d'eux-même.

Pour prendre de la drogue régulièrement, il faut quand-même avoir un manque existentiel. Les gens qui se satisfont de la vie n'en éprouvent pas le besoin.
 
Moi j'ai eu ma sale période, aussi. Je prenais des xtc tous les jours. Je suis devenu lunatique, angoissé, je bandais plus, j'allais plus en cours je voyais plus personne.

Comme personne rentrait dans mon délire, à la fin j'me suis retrouvé tout seul. Un jour ma copine est venu et m'a dit "c'est finit". Là ce fut le déclic. J'ai connu le sevrage, les crises de manque ou tu pleures toute la journée, tu serres les dents, tu bouffes tes couvertures et tu te sens tellement triste.... Comme si ta famille venait de mourir.

Aujourd'hui ça va beaucoup mieux, j'ai appris à me méfier de l'envie de proder. Je ne souhaite à personne ce que j'ai connu.
 
perso je pense que beaucoup de gens ne savent pas consommer ce genre de substances, on voit de plus en plus de "jeunes cons" prendre un trip entier d'un coup sans même savoir ce qu'il y a sur le buvard, c'est vraiment n'importe quoi, et aprés ils s'étonnent de percher une semaine et de finir en HP
Mais bon pour ce qui est de la skyzophrénie, c'est quelque chose de génétique, les prods font juste ressortir d'un coup se qui devrai arriver sur une plus longue période, donc c'est pour ça que beaucoup de gens disent"il à pris du lsd, il à badé et maintenant il est skyzo", non c'est juste que le lsd lui à fait sortir ça skizophrénie qui serai arrivé toute seul un jour ou un autre
puis bon les gens ne se renseigne même plus sur les drogues, leurs contres-indications, sinon ils sauraient que s'il y a a des antécédant de skyzo dans la famille( même 1 seul il y a 200ans) il y a un trés gros danger de skyzophrénie, et si en sachant ça il sont assez
idot pour consommer, bein ....
puis bon, il faudrai plus de prévention et de réel information, et non toutes les conneries alarmiste et désinformatrice qu'on nous met dans les journaux ou la tv
 
KFD : tout à fait d'accord avec toi !

Dale : désolée de cette période dure que tu as vécu, heureuse que tu sois là et ai pris conscience du danger. On peut se droguer mais il faut savoir mesurer.

Seb : quand on est jeune, en pleine crise d'ado, bande de potes, on est farouche et inconscient, on veut tout, tout de suite, en grande quantité, délirer. Et puis desfois ça se termine mal. Il est certain que la prévention c'est égale à zéro, ce qui est vraiment malheureux pour ceux et celles qui souffrent désormais de leur désinvolture face aux prods. Je regrette aussi que cela soit un sujet si tabou, que lorsqu'on parle de drogues dans les médias, ils ne parlent que des dealers, des flics super forts qui ont niké un réseau, du côté financier. Pas ceux qui sont de l'autre côté, qui consomment bien ou mal, de leurs expériences, de leurs vies et envies. C'est comme sur les paquets de clopes : "Fumer, c'est mal". Ouais et ? Merci pour l'info ! Faut dire que l'être humain est un peu con aussi, tant qu'on a pas un proche qui meurt du cancer des poumons parce qu'il a fumé toute sa vie, tant qu'on a pas un proche qui bad trip à mort et finis en HP, on est là tranquille, et on continue à consommer sans se soucier. Mais bon, je ne fais pas de généralité, tout le monde ne sera pas atteint dun cancer, sera déclaré skyzo, on joue juste à la roulette russe.
 
pour votre info :
actuellement on ne sait pas si la schizophrenie est une maladie psychique, génétique ou phisiologique.
En résumé très rapide : on en sait pas grand chose de cette maladie, se ce n'est que certains symptomes sont partagés, ce qui permet de *classifier* les malades.
De meme, on pense que les drogues jouent un role dans cette maladie, mais on ne sait pas si elles renforecnent la maladie, si elle la declenche ou si elle la révèle.
j ai travaillé avec des personnes dagnostiquée comme schizophrènes, et franchement parfois c0'est le diagnostique fourre-tout pour des psychotiques dont on ne sait pas pas bien classifier la psychose.
ensuite je dirais que si l'ona rrive pas guérir complètement pour l'instant, certains schizophrène sont tres bien stabilisés grace a un traitement acommpagné d une thérapie sérieuse et du soutient de leur proches.

mais cette maladie est devenue tellemtn populaire (elle est spectaculaire, rare, elle fascine) que l'ion entend et lit tout et nimporte quoi dessus.
je comprend votre tristesse de voir des proches touchés par cette maladie, mais évitez de penser qu'il existe un regle générale qui ss0'applique a tous sans différence aucune !
 
Ce thread vient me chercher parce que jeune con que je suis je me retrouve après trois ans de drogues dures avec une légère schizophrénie non diagnostiquée. J'ai parfois des hallucinations visuelles tel qu'une apparition timide et fugace au coin d'un oeuil ou carrément de petites fictions comme les traits d'un visage dans un tas de draps. J'ai également des hallucinations auditives subtiles quoi qu'assez rare récemment, l'impression d'entendre mon nom est une récurence. Fatigué et allumé par du cannabis, surfant sur le net en écoutant de la musique avec un volume bas, je me suis mis d'entendre avec assez de réalisme diverses chansons jouant à la radio et puis un choeur d'anges de la destruction s'est mis à psamoldier sans arrêts les mots 'la mort! la mort! la mort!' Jamais je n'ai entendu pareil chose. C'était comme un hymne funèbre m'invitant au suicide, annoncant ma mort prochaine.

Ça ne me gêne pas vraiment, je trouve ça assez divertissant, mais j'ai peur qu'à force de continuer de consommer, je ne finisse par me retrouver comme ton pote. L'ennui avec les drogues, les psychédéliques en particulier, c'est que dans l'abus, elles jettent une myriade d'impressions et d'images qui dévoilent certaines vérités qui sont difficiles à expliquer et qui, perso, m'ont placé dans une situation où je ne peux communiquer mon savoir. Je suis sujet à de l'anxiété sociale qui m'a poussé depuis toujours à m'isoler sur moi-même jusqu'au point de développer un trouble de personallité schizoîde et évitant qui m'empêche de m'épanouir et m'isole atrocement des autres. Je ne sais ni où regarder en public, que dire et bien souvent tout sort tout croche.

Je sais que je peux me sortir de cette mauvaise situation en cessant de consommer et en travaillant sur moi pour réparer les gachis. Personne à ma connaissance n'est schizophrène dans ma famille. À mon avis, une consommation innaproprié doit suffir à dérègler la chimie du cerveau vers des symptômes associés à la schizophrénie. Je ne serai d'ailleurs pas surpris d'apprendre que certains effets inconnus des research chemicals soient responsables de tels dérèglements mentaux. Il faut faire attention parce que rien n'est plus facile que de se perdre dans la drogue. Et bon, si cela arrive, il faut savoir rester optimiste et réparer les dommages. Quelqu'un se retrouve dans mon cas? :?:
 
salut Demonseed,

a tu consulté un psy avant de dire que tu as des symptomes de skyzophrenie ?
il y a des tas de maladies mentales alors pk celle la et pas une autre ?

les allucination visuelles et auditives ne sont pas forcement des symptomes de la skyzophrenie !! tu as ptetre tout simplement une petite psychose qui peut etre corrigée par des antipsychotiques.

Les antipsychotiques permettent de supprimer les voix interieurs (allucinations auditives) et toute sorte d'allucinations visuelles, tactiles etc...

En esperant t'avoir aidé
bonne chance

a+
 
Demon : j'ai lu sur certains forums (notamment celui de doctissimo sur la skyzophrénie) des cas tels que le tien. Apparement, il appelle ca la "bipolarité a tendance psychotique". Mais bon, un nom sur un symptôme ça sert pas a grand chose.

Tu as pensé eventuellement à consulter ?

Courage <3
 
Si tu es le DemonSeed de BL je ne pense vraiment pas que tu sois skyzo et les phénomenes que tu décris sont plutot dus aux doses extraordinaires de psychédéliques que tu as pris auparavant (notamment en début d'année si tu vois ce que je veux dire). Je pense que ca va disparaitre bientot avec le temps :).

Par contre l'anxiété sociale c'est un plus gros problème comme tu l'as remarqué.
 
Bonsoir psychonautes,

J'ai consulté un psychologue en mars, deux ou trois fois, avant de perdre l'envie de me partager. J'ai rencontré un travailleur social l'automne dernier, une fois, parce que j'étais fatigué par ma consommation, de sorte que je n'ai pas apprécié cette personne. Et puis j'ai vu un psychiatre lors de mon hospitalisation pour une overdose sur 2C-E. Tandis que je planais encore en fin de trip, je me suis ouvert à elle avec enthousiasme. Je lui ai confié ce dont j'ai parlé ici et mon diagnostic de légère schizophrénie et de personalité évitante/anxieuse et borderline. Elle a acquisé à mes conclusions et m'a prescrit de la risperidone. Elle a parlé d'un anti-dépresseur avec des propriétés anti-anxiété dans une seconde rencontre le lendemain. J'étais brûlé et pas coopératif, ne souhaitant que rentrer chez moi.

J'ai revu ma psychiatre quelque semaines plus tard pour obtenir un congé de maladie pour suivre une réhabilitation que j'ai véçu autant que possible, y mettant toute mon énergie. La semaine suivant ma réintégration sociale, j'ai rencontré de nouveau ma psychiatre pour souscrire à une thérapie cognitive pour anxieux. J'ai refusé l'anti-dépressant en lui confiant que je préférais m'en remettre à Dieu et à moi-même pour guérir. Près de deux mois plus tard, je songe d'essayer la médicamentation en parallèle. Je supporte, mais l'isolement ne résiste pas à mon indifférence qui cède éventuellement à une douleur poignante quoi que courte. Mes machoires me font souffrir tout le temps en société... c'est lourd à supporter. Et puis de voir mes collègues de travail et les clients commercer avec plaisir et spontanéité finit par me transpercer les entrailles alors que je songe à toutes les énergies devenus tensions dans mon corps qui ne circulent pas librement. Difficile de rire dans cet état... et vous savez comment le rire redonne de la vitalité. Je me sens dépérir jour après jour dans le mal de vivre.

J'ai eu de nombreuses rencontres avec une thérapeute qui m'ont beaucoup éclairées. Je lui ai confié tous mes torts et mes secrets... j'ai commencé à apprendre à communiquer avec elle. Je l'ai revu une fois en externe avant de partir sur une dérape. Le centre de réhab' est fermé en juillet, je planifie la revoir bientôt.

Vous avez raison par contre, j'ai peut-être exagéré mon cas. Je ne suis probablement pas schizophrène et ce que j'ai décrit vivre n'est probablement que temporaire et sans gravité autre que de me donner une impression de désarroi. J'ai consommé de l'AMT plusieurs fois et sans incident ces derniers temps. Au travail, lors du dîner, je fais un sieste et puis je lis le National Geographic. Les lettre ondulent et pendant plusieurs minutes, j'ai un petit flashback ou plutôt un genre d'after-glow très prenant et on ne peut plus positif. Une sobriété de 50 jours m'a cleanée de mes hallucinations qui avant ma rechute se bornaient à des tracers et des explosions de couleurs. J'ai d'ailleurs remarqué que mes hallucinations auditives ont presqu'entièrement disparus. Désolé de m'être décrit en jouant en quelque sorte la pauvre victime du sort. Je suis assez fort sur le défaut d'apitoiement. Tout à fait d'accord avec ton diagnostic de bipolarité a tendance psychotique LaLa. Je tente de me reprendre en mains en ce moment; j'ai flushé mon AMT et mon speed dans la toilette. Le jour suivant, pour me tester, j'ai reçu une seconde batch d'AMT dont j'ai disposé sans attendre. Pas facile la vie de drogué, pas facile. :x

Merci pour vos commentaires.

a+
 
Il me semble selon tes maux (je ne suis pas medecin mais m'interesse à ces pathologies psychologique de près) qu'effectivement il s'agit + de flashback dû a ton ancienne consommation de psyché.

Ne baisse surtout pas les bras. Aujourd'hui, il existe des traitements médicaux qui font des miracles sur ce genre de symptomes. Encore faut-il arrêter toute consommation de prod pour assurer le succès du traitement.

Rien avoir, mais article à lire sur la skyzophrénie et le cannabis :

http://forum.doctissimo.fr/sante/alcool ... 1878_1.htm
 
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