C'est sur que le tabac est très addictif.
Et son addiction est une des plus vicieuses car elle est une des plus acceptées dans la société.
J'ai pendant 6 mois consommé de la pv matin midi et soir en cachette, et je n'ai pas eu trop de mal à arrêter, pourquoi ?
Personne n'était au courant de ma conso de pv, je prisais donc en cachette, j'avais honte de consommer ce produit (parce que cela me faisait du mal et que cela aurait été très mal vu par tout mon entourage). L'arrêt n'a donc pas été trop difficile car la société/ mon entourage me poussait à l'arrêt même s'il ignorait que je consommais
Je veux dire que le fait qu'une consommation journalière d'un dérivé de meth est tellement mal vu que le j’éprouvais une grosse culpabilité en consommant ce produit, la seule difficulté a donc été la dépendance psychologique au produit (d'autant qu'il n'y a pas de dépendance physique à ce prod, mais bon je m'éloigne du sujet)
Par contre la clope.... un enfer niveau addiction comparable à la pv ou à l'hero dans un sens (cette addiction à la pv m'a permis de comprendre mon médecin de famille, addictologue, quand il m'a sortit que le tabac avait un potentiel addictif aussi important que l'héroine).
Le truc c'est que le tabac est totalement accepté dans notre société et qu'il y est même intégré.
Je vis dans une coloc avec 4 potes et 3 de ces potes fument régulièrement, donc pour arrêter le tabac, je ne vous raconte pas la galère
!!
Le tabac ne vous empêche pas de dormir comme la pv, vous êtes capable d'aller vous coucher sans finir voter paquet de clope ou tomber de fatigue, le tabac ne vous rend pas totalement anxieux, tendu et associable, vous pouvez partager une clope à l'inter-cours pour vous détendre (alors que partager une trace de pv entre deux TD c'est compliqué, à moins que vous soyez dans une école de freaks
)...
C'est ce qui fait que toutes les addictions sont différentes pas à mon opinion.
Enfin désolé du hors sujet, j'ai bu quelques verres et donc m'emporte un peu, mais tout ça pour dire qu'aucune addiction n'est bénigne.
L'addiction physique/psychologique au produit n'est pas tout, l'environnement compte beaucoup (plus).