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Alcoolisme, dépendance au crack et bromazépam.

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Benibenou
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Benibenou

Glandeuse Pinéale
Inscrit
6/11/12
Messages
230
(Avertissement: je doute vraiment d’être dans la bonne section. (But I really dont know where to post it... Damnit !)
Salut tout l'monde, chais pas si certains ce souviennent de moi, mais bon, bref la question n'est pas la.
Voila aujourd'hui j'aurais voulu vous demander quelques conseils mes amis...
Voila au moins (ou presque) un ans que je n'ais pas posté sur ce faux-rhume que j'appréciait beaucoup...
Depuis m'as vie n'as pas connue d'amélioration notable si ce n'est une dégradation importante de ma santé physique et mentale...
Je suis actuellement assez-gravement (poly)toxicomane... Héro, Crack, Alcool, Cannabis, Opiacés, Speed... auxquels on ajoute mes week end en teuf ou j'arrive plus a compter les grammes de substances que j'me fou dans l'zen et dans l'bide.
Ce qui m’inquiète le plus actuellement c'est l'alcool (j'my met à 7h30 ou 8 h du mat jusqu’à ce que je m'endorme) et n'ayant jamais entendu parlé d'alcool sur ce forum je voulais tout de meme tenter ma chance...
Quelqu'un a t'il un remède miracle pour le manque d'alcool ?...
Actuellement je prends pas mal de bromazépam/lexomil, ce qui me permet de boire moins tout en étant dans les mêmes états, si ce n'est pire...
Mais voila, j'ai tres mal au foie, aux reins... Sans compté les douleurs pulmonaire que mon chère amis le bang me procure depuis 3 ans...
Je precise, apres 2 ans d'inscription que je n'ais pas encore 18 ans révolus (et voui j'ai encore 17 piges a mon grand malheur (je l'ai dans 3 mois cette fichue majorité... ENFIN !!!!!!!!) et que je suis inscrit et actif depuis mes 15 ans, ce n'est pas un affront mais un aveux ! (et j'avais des problèmes avec la drogue bien avant, c'est pourquoi ce forum m'as éduqué sur la drogue.. Je sais que la communauté de ce site est bonne, même si parfois très sévère envers les jeunes, m'enfin j'suis d'ja polytox, c'est pas d'me bannir qui m'aidera, au contraire... et vous ne me laisserez pas tomber pour les 3 mois qui manquent a ma "majorité", j'ai rencontré des darons de 35 ans qu'en avait bien moins dans l'crane que moi.. Breeeef
Ce que je cherche, c'est sois le moyen de me faire prescrire un médicament type benzo (le bromazepam me calme tres bien pour mes manque d'alcool ou de crack qui sont de plus en plus dur a vivre. J'en prends souvent en manque d'alcool ou de tout autre substance, héro, crack et j'admet que ca me passe assez bien mes envies.. J'aurais aimé savoir s'il etait possible d'obtenir du bromazépam/lexomil en étant mineur et que dire au doc pour qu'il me donne un traitement adapté.. J'aurais bien aimé qu'on me mette sous baclophene et bromazepam, histoire d’arrêter tout ca sans trop de tracas, parce que 5 litres de bieres hebdomadaire accompagnés de leurs 3 ou 4 crackers tous les jours , c'pas normal... Surtout quand t'as 17 ans et qu'ca fait 4 ans que tu bois et 2 ans que tu t'chauffe le cerveau aux crackers....
Please help... Dites moi que j'peux avoir des benzo a mon age et sans passé par la case rdv avec la famille chez le doc, car je serais vraiment dans la merde et extrêmement honteux d’infliger ca a mes darons...
Counting on u guys! Merci d'avance !
 
Salut bonhomme,

Certes tu es mineur mais je pense que c'est important qu'on te réponde. J'aurais tendance à dire qu'un médecin ou un addictologue pourrait accepter de te prescrire cela s'il s'y connait assez et que tu lui expliques la situation, comment tu souhaites réduire ton addiction, etc. Après bien entendu il est possible qu'il ne veuille pas ou te propose autre chose (traitement de substitution, etc.)... Mais vu ton problème avec l'alcool, comme tu dis je pense que c'est sans doute l'une des premières à traiter...

J'espère que tu arriveras à vite arranger la situation, ne fais rien de hâtif, gaffe aux mélanges (Opi/alcool j'imagine que c'est très risqué (dépression respiratoire ?)).
 
Salut BeniBenou, à-tu déjà été dans un CMP / CSST près de chez toi ? J'en fréquentais peu avant mes 18 ans (pour les mêmes problématiques que toi) et j'ai pu rencontrer pas mal de soutien là bas (psy / educ / medecins etc.). Concernant l'alcool, c'est clair que c'est la merde. En suivant ce chemin, j'connais pas les quantités que tu t'enfile mais ton corps risque de te lâcher à un moment ou un autre (foie, pancreas etc. Moi c'est mon pancreas qui a dit stop en premier à 24 ans). A propos des medocs pour l'alcool, j'ai le souvenir qu'on m'avait prescris du Revia à un moment donné. Perso, le plus efficace a quand même été la cure/seuvrage à l'hosto pendant un mois et demi, suivi d'un bon gros traitement anxio/antidp + mon traitement de substitution aux opi.
L'alcool est une vraie plaie quand t'es accroché, pour moi c'était pire que l'héro dans le sens où t'as pas des dealer à chaque coin de rue, par contre, des bars, yen a partout. Ca demande un sacré travail derrière pour comprendre les raisons de ses addictions et tenter de trouver des ressources pour lutter.

Good luck amigo

ps : Je rejoins Sludge sur les melange opi/benzo/alcool, il parait que si tu charge trop il y a des risque de depression respiratoire sévère. Les médecins m'avaient alerté sur ce fait (et m'avaient passé sous metha dans le même temps pour limiter les risques liés aux benzo que je m'enfilais)
 
Les CSST n'existent plus. Ils s'appellent CSAPA maintenant (ça traite "les addictions" et pas d'un côté les toxicomanes, de l'autre les alcoolodépendants).
 
Benibenou a dit:
et que dire au doc pour qu'il me donne un traitement adapté..
Dis lui simplement la vérité... Il te fera déjà faire un "check-up" santé si tu ressens des douleurs abdominales. Fais pas le con avec ton foie, l'abus d'alcool sur la durée peut entrainer des dégats irreversibles (pancréatite alcoolique = cirrhose = insuffisance hépatique = je te laisse deviner la suite logique et tragique des choses...)

Profite de ton jeune âge et de ta motivation pour te désintoxiquer de l'alcool tant qu'il est encore temps. Désolé si mon discours te semble un peu trop moralisateur (tant mieux même) mais c'est du vécu et je peux te garantir qu'un sevrage obligatoire en milieu hospitalier après une admission aux urgences et bien c'est l'enfer, surtout si tu es polytox.

Si tu ne connais pas un toubib de confiance, n'hésite surtout pas à te rendre dans un CSAPA (Centre de Soins, d'Accompafnement et de Prévention en Addictologie) proche de chez toi:
Centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) : Tous les établissements de type Centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)

Tu peux y aller à l'arrache et en tout anonymat la 1ère fois; tu seras accueilli sans jugement. ça peut vraiment t'aider, peut-être même te sauver.

Et encore une fois, profite de cette prise de conscience et de ton ras le bol pour agir! Tu es dans la dynamique là, fonce!!!!
 
Pareil que le message au dessus. Commence surtout pas à essayer de t'automédicamenter, ça te servira qu'a perdre du temps ou à aggraver ta situation. Il te faut une aide professionnelle! Bon courage!
 
Merci pour la précision Acromex, pitain desfois j'me sens deja vieux °_O
 
Pour l'alcool, faut vraiment que tu te fasse aider. Ceci dit, si tu as une dépendance physique il ne faudra pas faire d'arrêt trop brutal (ca serait dangereux...)

De l'intérêt de voir un spécialiste. Courage en tout cas!
 
J'ai pas vraiment le temps d'attendre d'être sobre pour te répondre de façon complète et intelligente, du coup je vais juste te poser les questions qui me viennent principalement à l'esprit.

Déjà, tu parles de Baclofène dans ton post. C'est le seul médicament que je connaisse qui puisse aider au sevrage de l'alcool (mais j'y connais pas grand chose à ce sujet à dire vrai), donc je ne pourrai pas t'en suggérer d'autres. Par contre je me demande pourquoi tu ne l'envisages pas, puisque tu le connais mais que tu demandes quand même des solutions médicamenteuses sur le forum. Je sais qu'on ne peut pas utiliser en même temps Baclofène et méthadone, du coup je me dis que c'est peut-être parce que c'est un médicament qui ne se mélange pas avec les opiacés (vu que tu nous dis consommer de l'héro), mais si c'est une autre raison qui t'empêche d'envisager cette alternative j'aimerais bien que tu précises pourquoi tu ne peux pas envisager ce traitement.

Ensuite je rejoins tous ceux qui te déconseillent l'auto médication. D'une ce n'est jamais bon de faire sa propre petite cuisine magique contre la toxicomanie, ensuite vu le nombre de molécules que tu ingurgites tu risques juste d'être la victime d'un énième combo hasardeux. Si tu veux une solution médicamenteuse à tes consommations, adresse toi à un professionnel de l'addiction avec qui tu t'entends bien. Et dans tous les cas parle de tout ce bordel à ton médecin, surtout, c'est vraiment indispensable.

Ceci dit je pense que ta "solution ultime" ne se trouve pas dans une molécule magique. Ça n'est, je pense, ni le baclofène ni un autre traitement de substitution qui t'aidera à vivre sans/avec moins de produits. Peut-être que certaines molécules pourront t'y aider, mais sans travail psychologique et sans motivation de ta part, même la molécule la plus efficace du monde ne fera rien pour toi. Je ne peux que te conseiller de trouver un psy avec qui le courant passe (j'insiste là dessus parce que c'est vraiment l'aspect qui compte le plus, le fait que "le courant passe"), de te trouver des occupations cools, de voir du monde, de changer d'environnement, d'essayer de faire des trucs qui t'intéressent...

Ouais je sais bien, plus facile à dire qu'à faire tout ça...
Bon courage en tout cas, et viens donner de tes nouvelles :)
 
J'ai entendu parler de plantes capables de te donner une aversion pour l'alcool, comme le kudzu et une autre plus commune mais dont j'ai oublié le nom.

Ce n'est pas un remède miracle, ça te fait juste détester l'alcool, ce qui peut être utile mais pas miraculeux. Il faut une réelle volonté derrière.
 
Comme souligné par tous, il faut que tu t'adresses à un médecin addictologue, ou à une structure spécialisée, qui te guideront au mieux selon ton parcours avec les drogues.
Tu dis que tu aurais honte d'infliger ça à tes parents, ton premier réflexe n'est donc pas la peur (tu pourrais avoir de mauvaises relations avec eux), c'est déjà ça.
Tes parents sont des gens très proches de toi, n'oublie pas que tu es LEUR enfant, en général, ce qu'il y a de plus cher au monde, pour un parent : non seulement ça pourrait te faire du bien de pourvoir leur en parler librement, au lieu de te garder ça pour toi alors que tu vis au quotidien avec eux, mais ça t'aiderais très probablement de savoir qu'ils peuvent être là pour te soutenir, même maladroitement ...
 
tartopom a dit:
J'ai entendu parler de plantes capables de te donner une aversion pour l'alcool, comme le kudzu et une autre plus commune mais dont j'ai oublié le nom.

Ce n'est pas un remède miracle, ça te fait juste détester l'alcool, ce qui peut être utile mais pas miraculeux. Il faut une réelle volonté derrière.
Alors perso j'ai essayé le kudzu a une époque, pour voir au niveau des gueules de bois (j'en avais entendu parler pour ca).
Ca m'a pas fait détester l'alcool, ok je n'ai pas de dépendance à l'alcool (je consomme qu'en soirée), mais bon... Nan l'impression que ca m'avait laissé, c'était plus un truc qui "'aide" au niveau de l'organisme pour récupérer. Donc limiter gueule de bois, etc. Je sais pas si c'est réellement efficace par contre, ou si j'avias juste un surplus d'hydratation qui a fait que ca suffit. Aujourd'hui je me contente de la flotte.
 
En parler aux parents c'est quitte ou double. Selon leur caractère et leur ouverture d'esprit certains savent soutenir leurs enfants et les regarder comme des humains à part entière. D'autres, quand ils apprennent l'usage de drogues, passent leur temps à emmerder leur gosse, à lui en vouloir pour sa conso, à le voir comme un malade et à mettre toutes les erreurs sur le dos de la conso. En gros l'enfant n'est plus qu'un problème de drogue à leurs yeux.
Tu les connais donc à toi de voir.
 
Lotre a dit:
En parler aux parents c'est quitte ou double. Selon leur caractère et leur ouverture d'esprit certains savent soutenir leurs enfants et les regarder comme des humains à part entière. D'autres, quand ils apprennent l'usage de drogues, passent leur temps à emmerder leur gosse, à lui en vouloir pour sa conso, à le voir comme un malade et à mettre toutes les erreurs sur le dos de la conso. En gros l'enfant n'est plus qu'un problème de drogue à leurs yeux.
Tu les connais donc à toi de voir.

J'ai cogité à un niveau plus personnel pour le(s) parent(s) : est-ce que je veux mentir ou pas ?
 
Moi je suis a 2 doigts d'avouer que je ne peux sans mal me passer de produits toutes les semaines à mes parents. Ils me payent mes études et je n'ai pas d'autres sources de revenu, donc c'est putain de chaud je pense me faire défoncer hard core. Mais j'en ai marre de mentir a ma famille. De devoir faire semblant d'être bien quand on est mal. Ducoup ça ponctionne de l'énergie et ça me pousse a m'éloigner d'eux alors que j'aimerai être proche avec eux, justement. Toujours eut des bons rapports, je pense qu'ils ne me couperont pas totalement les vivres, ils sont a 100% pour la réussite de mes études. Mais c'est un pas difficile a franchir...
 
Bah c'est un choix qui aura des conséquences.

Faut surtout faire le choix d'accepter les conséquences de l'avouer (répercussions sur l'image, répercussions morales, quand ça n'ira pas ça sera à cause de la drogue, etc) ou accepter les conséquences de continuer à le taire (accepter de cacher une part de soi, devoir tenir le masque social en leur présence etc).

Dans les deux choix, je n'en vois pas forcément de meilleur si on prend en compte autre chose que le soulagement de se délivrer d'un poids, mais qu'on pense aux répercussions sur ses proches

Perso, ma mère sait que je teste des trucs à l'occasion et d'avoir du déballer et "expliquer" la démarche a causé beaucoup de tords pour nos évolutions respectives, le moment était peut être mal choisis, en tout cas ça a changé beaucoup de choses (et encore, si j'avais été accro à un point où ça impacte sévèrement ma vie sociale, affective et professionnelle, ça aurait été encore plus compliqué).

D'un autre coté, même si mes grands parents s'en doutent, ils ne m'ont jamais vu fumer une cigarette et ça restera un "pieu tabou" entre nous et tout le monde le vit mieux ainsi.
 
Clairement ça me pompait trop d'énergie de mentir et comme je ne dépendais que peu d'elle, j'ai fini par amener le sujet.
Après il y a des façons d'en parler, qui ne relèvent pas de la manipulation mais qui ne sont pas non plus du "Salut, je keef me mettre des poudres chelous dans le pif, et toi ?".
Faut respecter les paliers de décompression, surtout pour les vieux on va dire.

T'as déjà essayé de leur dire que t'avais fumé des pets ? C'est pas trop risqué d'en parler, c'est vrai, et comme ça tu peux calculer l'ampleur de la vague de baffes que tu vas prendre sans trop te mouiller.

edit : J'ai l'esprit bien plus léger maintenant que je n'ai plus à me prendre la tête avec ça et la confiance revient dans l'autre sens aussi puisqu'elle sait que je ne mens plus et que je m'efforce de dire la vérité. Elle pourrait penser que je dis de petits mensonges pour en couvrir des gros mais vu que je détaille quand elle me pose des questions, je pense qu'elle me croit sincère. Faut pas les prendre pour des idiots non plus, ils se doutent forcément de quelque chose, même sans se l'avouer. Par contre à chaque fois ça la fout mal, je lui dis que ça sert à rien de tout refuser en bloc même si c'est dur pour elle de faire autrement, et que si elle n'arrive pas à accepter, autant qu'elle arrête de poser des questions comme ça elle ne saura pas, étant donné que je ne lui en parle pas spontanément. Sauf l'autre fois au téléphone quand je lui ai lâché sans faire exprès qu'ils m'avaient refusé au don du sang, je me serai bien collé une baffe pour ça.
 
Il ne faut jamais oublier que drogue ou pas, on reste des êtres humains avec des qualités uniques (parfois ^^). Si j'avais un gamin et qu'il m'avouait qu'il est polytox je pense que la seule personne que j'engueulerais ce serait moi-même. Il est aussi important de déculpabiliser de temps en temps, essaye, ca détend. Je te conseilles de tout dire à tes parents pour plusieurs raisons. 1) Tu te prouveras que tu peux surmonter tes peurs 2) Prise en charge immédiate, ca pourrait te sauver et la 3!) En repensant a ca dans 10 ans, tu comprendras que tu as évolué pour le mieux, peut-être que tu en rigoleras. Tu vivras mieux si tu le dis. Certes, la pression immense remettra du temps à redescendre mais c'est un peu comme la md, dis toi que quand ca va aller mieux, et quand viendra ce moment, tu auras envie de pleinement vivre ta vie ;)! Je te souhaite bonne chance pour la suite Benibenou.
 
Après je pense que le fait d'avoir à en parler ou pas dépend évidemment de ses consos et de son rapport à la drogue...

La question n'est pas la même quand on fume des joints à l'occaz, et quand on est dépendant au crack... Mais ca, effectivement, c'est un équilibre à faire selon chacun.
Par exemple, si je suis relativement honnête vis à vis de l'alcool, J'ai tendance à me taire complètement vis à vis de la weed, vu mes faibles consos, ca poserai plus de problème qu'autre chose. Par contre, je sais que si je venais à tomber dans une sale dépendance, il vaudrait mieux que je leur en parle... ca passerai mal, c'est sûr, mais au moins je sais qu'on ne me lacherai pas niveau soutient. Ce n'est, heureusement, pas le cas aujourd'hui, et j'espère que ca ne le sera jamais.

Toujours est il, à chacun d'estimer selon ses parents. Mais comme d'autres l'ont dit, la MANIERE d'annoncer ca, ca joue... ca joue ! Peut être expliquer directment "comment" c'est arrivé aussi, ca leur permettrait peut être de mieux comprendre, mais ca c'est un tuyau personnel de quelqu'un qui n'a jamais eu à faire face à cette situation
 
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