Thomas11
Holofractale de l'hypervérité
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- 10/9/12
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L'alcool et la ké, PLUS JAMAIS !
[Contexte]
Je suis en club, pour voir N'To :heart:, je suis bien bien bourré (Vodka + Energy Drink).
La soirée est géniale, mais tout ne se passe pas comme prévu (disons que j'aurais voulu ne pas rentrer seul
), mais bon, je suis avec un ancien bon pote a moi, retrouvailles, ça me remet dans une bonne vibes, fumage de joint sur la terrasse.
Et là, CON QUE JE SUIS, je demande de la Kéta (j'ai eu quelques experiences très sympathiques, du coup, c'est un peu mon petit kiff en ce moment
) à un mec ... qui m'en donne avec plaisir.
PETITE TRACE, GROS EFFETS.
[Je zappe la partie inutile : Je pars avec mes potes . On me depose dans mon quartier, je suis a 5 minutes à pied de chez moi]
"Le petit Thomas est attendu à l'accueil" <= C'est à peu près ça. Je suis un gamin perdu ...
Je suis dans mon quartier, mais j'ai l'impression qu'il est ... iréel, pas reconnaissable. Comme si ça faisait 20 ans que je n'y étais pas allé et que je ne reconnaissais plus rien.
Tout me parait ENORME, et moi, je me sens tout petit, oppréssé par des immeubles que je ne reconnais plus.
Je ne sais pas d'ou je viens, ce que je fais ici, et ce que je dois faire. Donc je décide de marcher.
Je me sens faible, et je sens que je vais vomir. J'essaye de trouver un coin plus isolé, et là, je m'imagine le regard que pourrait avoir quelqu'un qui me croiserait, d'un façon si forte, que j'ai l'impression de me voir tituber, m'appuyer au mur, et vomir. C'est comme si je me voyais, mais je sais plus ou moins que c'est une projection de ce que je pense ....
Je continue d'errer, et la, j'ai des chaud-froid-chaud-froid. Je m'assoies sur un banc. Je me rappelle qu'on m'a donné une cigarette, elle est cassée, mais il y a quelques barres à tirer dessus. Ca me "stabilise" pendant quelques minutes, donc je me motive a marcher, encore marcher.
Et là, gros bad, je marche, mais ça n'avance pas, JE SUIS SUR UN FOUTU TAPIS DE JOGGING INVISIBLE. Je sens l'effort, les mouvements, mais je n'avance pas, ou alors très très peu. Petite panique qui se resulte par des grandes respirations (les mêmes que quand on se reveille paniquer d'un très mauvais rêve). J'ai l'impression d'avoir des " montées de mort ", très intense ... je crois mourir toutes les 30 secondes.
Parfois, dans le meme genre, je bouge la tête, et pourtant mon champs de vision ne change pas.
Mais j'arrive, parfois, à avancer, et à être "presque normal", enfin, à être juste comme bourré très physiquement quoi.
Tout me semble toujours aussi étrange, et de plus en plus menaçant, je sens comme un "complot" autours de moi. Je commence retrouver un peu de conscience et à me rassurer en me disant que j'ai pris quelque chose, que ça va aller mieux.
De plus en plus, je recommence a "comprendre" où je suis, et très rapidement, je me rend compte que je dois rentrer chez moi, et que j'étais en plein bad.
Les effets redescendent très vite, mais je suis encore affecté mentalement et physiquement. Je rentre chez moi, je m'endors habillé.
Le lendemain matin, en plus d'une gueule de bois assez intense, je me sens très "vide", un peu du mal avec moi-même, j'ai pas les mêmes habitudes, les mêmes reactions aux choses du quotidien. Il a fallu plusieurs heures pour que je "digère".
Voila, un bon bad sous Ké.
[Contexte]
Je suis en club, pour voir N'To :heart:, je suis bien bien bourré (Vodka + Energy Drink).
La soirée est géniale, mais tout ne se passe pas comme prévu (disons que j'aurais voulu ne pas rentrer seul
), mais bon, je suis avec un ancien bon pote a moi, retrouvailles, ça me remet dans une bonne vibes, fumage de joint sur la terrasse.Et là, CON QUE JE SUIS, je demande de la Kéta (j'ai eu quelques experiences très sympathiques, du coup, c'est un peu mon petit kiff en ce moment
) à un mec ... qui m'en donne avec plaisir.PETITE TRACE, GROS EFFETS.
[Je zappe la partie inutile : Je pars avec mes potes . On me depose dans mon quartier, je suis a 5 minutes à pied de chez moi]
"Le petit Thomas est attendu à l'accueil" <= C'est à peu près ça. Je suis un gamin perdu ...
Je suis dans mon quartier, mais j'ai l'impression qu'il est ... iréel, pas reconnaissable. Comme si ça faisait 20 ans que je n'y étais pas allé et que je ne reconnaissais plus rien.
Tout me parait ENORME, et moi, je me sens tout petit, oppréssé par des immeubles que je ne reconnais plus.
Je ne sais pas d'ou je viens, ce que je fais ici, et ce que je dois faire. Donc je décide de marcher.
Je me sens faible, et je sens que je vais vomir. J'essaye de trouver un coin plus isolé, et là, je m'imagine le regard que pourrait avoir quelqu'un qui me croiserait, d'un façon si forte, que j'ai l'impression de me voir tituber, m'appuyer au mur, et vomir. C'est comme si je me voyais, mais je sais plus ou moins que c'est une projection de ce que je pense ....
Je continue d'errer, et la, j'ai des chaud-froid-chaud-froid. Je m'assoies sur un banc. Je me rappelle qu'on m'a donné une cigarette, elle est cassée, mais il y a quelques barres à tirer dessus. Ca me "stabilise" pendant quelques minutes, donc je me motive a marcher, encore marcher.
Et là, gros bad, je marche, mais ça n'avance pas, JE SUIS SUR UN FOUTU TAPIS DE JOGGING INVISIBLE. Je sens l'effort, les mouvements, mais je n'avance pas, ou alors très très peu. Petite panique qui se resulte par des grandes respirations (les mêmes que quand on se reveille paniquer d'un très mauvais rêve). J'ai l'impression d'avoir des " montées de mort ", très intense ... je crois mourir toutes les 30 secondes.
Parfois, dans le meme genre, je bouge la tête, et pourtant mon champs de vision ne change pas.
Mais j'arrive, parfois, à avancer, et à être "presque normal", enfin, à être juste comme bourré très physiquement quoi.
Tout me semble toujours aussi étrange, et de plus en plus menaçant, je sens comme un "complot" autours de moi. Je commence retrouver un peu de conscience et à me rassurer en me disant que j'ai pris quelque chose, que ça va aller mieux.
De plus en plus, je recommence a "comprendre" où je suis, et très rapidement, je me rend compte que je dois rentrer chez moi, et que j'étais en plein bad.
Les effets redescendent très vite, mais je suis encore affecté mentalement et physiquement. Je rentre chez moi, je m'endors habillé.
Le lendemain matin, en plus d'une gueule de bois assez intense, je me sens très "vide", un peu du mal avec moi-même, j'ai pas les mêmes habitudes, les mêmes reactions aux choses du quotidien. Il a fallu plusieurs heures pour que je "digère".
Voila, un bon bad sous Ké.
