ArchitektorMaran
Holofractale de l'hypervérité
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TL;DR a-MT alpha-methyltryptamine; analogue tryptamine de l'amphétamine; dose conséquente par voie orale; première phase d-amp like puis seconde mort de l'égo et expérience de Dieu
L'Amicale des inspecteurs des travaux finis m'a conseillé d'afficher cet avertissement: /!\ La légèreté à propos de quelconques dosages dits "à l'oeil" de cette œuvre n'y figure qu'à but humoristique. En aucun cas, une subtance aussi dangereuse que celle-ci ne doit être sous-estimée, en raison des risques réels qu'elle comporte en cas de surdosage, qui peuvent allez jusqu'à menacer les jours des imprudents.
alors dose eyeballed toujours, la rdr on l'encule, dissous jus de citron hop on essaie up da butt. MALHEUR, mes entrailles protestent et gagnent la bataille, je renvoie à la nature. Frustré du gâchis, je m'en vais de ce pas tartiner un gros para de porc dosé jusqu'à la moelle pour me remettre de mon chagrin. Erreur ? non, mais ticket vers l'hyperespace.
la réalité telle qu'elle est à propos de ce paragraphe en italique, no pun intended and shit
Ayant ma balance en déplacement, et surtout ayant déjà dosé ce bijou avec icelle, je me suis remémoré ce qui constituait une dose raisonnable, et j'ai travaillé cette dose en l'augmentant peu à peu, pour arriver à la dose de ce soir précis. En aucun cas je n'ai dosé au hasard, même si ma méthode était peu recommandable.
Je transpire, je sautille, je déborde d'énergie, j'ai bien l'égo démesuré du speed, je me sens überpuissant. Le côté amphétamine de ce bijou qui se fait voir quoi. Rien trop à dire là-dessus, je dirais que c'est comme MDPV (que je n'avais aps encore rencontré) sans la motivation + EUPHORIE + égo démesuré qui apparemment caractérise la d-(meth)amp.
Après le côté tryptamine qui pointe son nez. Déjà, ces visuels. Rien de ce que m'a procuré la TMA-6 (coloré, hallus chatoyantes). Si je m'essayais à la psychologie, je dirais que ça faisait apparaître tout les fondement de mon égo. Je vais essayer d'être clair au possible:
hallus sonores et visuelles qui ont pris la place de la réalité, premier point. Les deux sont coordonées, donc c'était cinéma HD surround imax pour moi ce soir. Le sonore était à la lisière de mon imagination, pas dans la même strate que le son de mon environnement. Ensuite le visuel, c'était fluide, tout s'enchaînait, c'était géométrique, foutrement géométrique, robot, électronique.
Je faisais l'expérience sensorielle de clichés. Oui clichés, cliché du vieux buveur parisien grossier, cliché de la vieille rêche, après on sort des clichés pour les "personnages" dirais-je, personnages de l'enfant (celui qui est seul au fond de la cour/...). J'en faisais l'expérience par dessins cartoons dans les mirettes et phrases typiques dans les noreilles. Un cliché des plus marquants était celui du buveur parisien, tapant du pied, hurlant à la lune comme un loup en voyant une nénette, pour l'humour. dans les hallus il tapait du pied plusieurs fois, hurlait en gonflant les joues au ciel, et disait avec une voix éraillée au possible qu'il allait s'attraper ginette.
Après, c'est l'heure de la mort de l'égo, et de la rencontre avec dieu. Le boost d'égo amphet-like a disparu sans transition, emportant carrément mon égo avec lui. Alors passer du perchoir de dieu au vide du Zen, ça fait effet. Pardon, amour, remords, tout cela allait de paire avec. Alors plus aucune notion de qui je suis, uniquement des connaissances qui flottaient autour, j'étais juste un esprit neutre, sans aucune opinion, le maître zen parfait somme toute.
La seconde phase après la mort de l'égo, c'est l'expérience du tout et la vision de dieu (ou de ce qu'il m'a semblé en être). Le plein (moi, les objets, tout de ce qui est tangible) a rejoint le vide (l'air qui englobe le monde). Je devrais dire emboîté. Ces deux formaient un tout, l'un jaune, l'autre bleu, pour se faire blanc quand les deux se sont joint, ça a duré une seconde ce flash blanc. C'était ça dieu. Tout le monde.
Après j'ai fait les frais d'une si grosse dose avec un sacré mal de tête, une nuit blanche et un lendemain en mode larve.
L'Amicale des inspecteurs des travaux finis m'a conseillé d'afficher cet avertissement: /!\ La légèreté à propos de quelconques dosages dits "à l'oeil" de cette œuvre n'y figure qu'à but humoristique. En aucun cas, une subtance aussi dangereuse que celle-ci ne doit être sous-estimée, en raison des risques réels qu'elle comporte en cas de surdosage, qui peuvent allez jusqu'à menacer les jours des imprudents.
alors dose eyeballed toujours, la rdr on l'encule, dissous jus de citron hop on essaie up da butt. MALHEUR, mes entrailles protestent et gagnent la bataille, je renvoie à la nature. Frustré du gâchis, je m'en vais de ce pas tartiner un gros para de porc dosé jusqu'à la moelle pour me remettre de mon chagrin. Erreur ? non, mais ticket vers l'hyperespace.
la réalité telle qu'elle est à propos de ce paragraphe en italique, no pun intended and shit
Ayant ma balance en déplacement, et surtout ayant déjà dosé ce bijou avec icelle, je me suis remémoré ce qui constituait une dose raisonnable, et j'ai travaillé cette dose en l'augmentant peu à peu, pour arriver à la dose de ce soir précis. En aucun cas je n'ai dosé au hasard, même si ma méthode était peu recommandable.
Je transpire, je sautille, je déborde d'énergie, j'ai bien l'égo démesuré du speed, je me sens überpuissant. Le côté amphétamine de ce bijou qui se fait voir quoi. Rien trop à dire là-dessus, je dirais que c'est comme MDPV (que je n'avais aps encore rencontré) sans la motivation + EUPHORIE + égo démesuré qui apparemment caractérise la d-(meth)amp.
Après le côté tryptamine qui pointe son nez. Déjà, ces visuels. Rien de ce que m'a procuré la TMA-6 (coloré, hallus chatoyantes). Si je m'essayais à la psychologie, je dirais que ça faisait apparaître tout les fondement de mon égo. Je vais essayer d'être clair au possible:
hallus sonores et visuelles qui ont pris la place de la réalité, premier point. Les deux sont coordonées, donc c'était cinéma HD surround imax pour moi ce soir. Le sonore était à la lisière de mon imagination, pas dans la même strate que le son de mon environnement. Ensuite le visuel, c'était fluide, tout s'enchaînait, c'était géométrique, foutrement géométrique, robot, électronique.
Je faisais l'expérience sensorielle de clichés. Oui clichés, cliché du vieux buveur parisien grossier, cliché de la vieille rêche, après on sort des clichés pour les "personnages" dirais-je, personnages de l'enfant (celui qui est seul au fond de la cour/...). J'en faisais l'expérience par dessins cartoons dans les mirettes et phrases typiques dans les noreilles. Un cliché des plus marquants était celui du buveur parisien, tapant du pied, hurlant à la lune comme un loup en voyant une nénette, pour l'humour. dans les hallus il tapait du pied plusieurs fois, hurlait en gonflant les joues au ciel, et disait avec une voix éraillée au possible qu'il allait s'attraper ginette.
Après, c'est l'heure de la mort de l'égo, et de la rencontre avec dieu. Le boost d'égo amphet-like a disparu sans transition, emportant carrément mon égo avec lui. Alors passer du perchoir de dieu au vide du Zen, ça fait effet. Pardon, amour, remords, tout cela allait de paire avec. Alors plus aucune notion de qui je suis, uniquement des connaissances qui flottaient autour, j'étais juste un esprit neutre, sans aucune opinion, le maître zen parfait somme toute.
La seconde phase après la mort de l'égo, c'est l'expérience du tout et la vision de dieu (ou de ce qu'il m'a semblé en être). Le plein (moi, les objets, tout de ce qui est tangible) a rejoint le vide (l'air qui englobe le monde). Je devrais dire emboîté. Ces deux formaient un tout, l'un jaune, l'autre bleu, pour se faire blanc quand les deux se sont joint, ça a duré une seconde ce flash blanc. C'était ça dieu. Tout le monde.
Après j'ai fait les frais d'une si grosse dose avec un sacré mal de tête, une nuit blanche et un lendemain en mode larve.