Tridimensionnel
Cheval théorique
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- 27/4/16
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Prod : 5-MAPB
Dose : environ 55mg
Setting : teuf
Set : en forme
Poids : 50kg
Je vais surtout comparer avec la MDMA car c'est un produit qui y ressemble beaucoup et c'est difficile de ne pas s'y rapporter.
Biais : j'avais déjà lu quelques topics sur le 5-MAPB, aussi ma perception a pu être faussée par mes attentes (prod moins stimulant et moins artificiel, plus empatho et plus long). La dose consommée se situait entre "faible" et "commune" d'après PNWiki, d'où peut-être l'expérience plus légère et gérable qu'avec une dose de MDMA standard.
Drop vers 1h du matin. La montée m'a paru plus tardive qu'avec la MDMA ; elle était également plus progressive, moins "rush". Ça m'a causé beaucoup de frustration car j'étais habitué à cette claque de plaisir qui arrive d'un coup. Je me disais : j'en ai pas pris assez, j'ai envie de redrop, etc. Finalement, l'effet était tout aussi réel et j'ai bien fait d'être patient.
C'était donc une montée assez subtile, avec une appréciation de la musique et du toucher qui augmentait petit à petit. Cela pouvait presque passer pour une euphorie endogène. Une fois au plateau par contre (vers 2h30), impossible de s'y tromper : le son ressenti presque physiquement, mâchoires serrées, envie de câlins, franchise et bienveillance.
Le ressenti empatho est en effet moins artificiel. En pic de MDMA je roule des pelles à n'importe-qui, je n'ai plus d'esprit critique. Là, j'aimais et refusais les mêmes choses que d'habitude ; avec une appréciation supplémentaire bien sûr, mais ça ne débordait pas. Ce qui était très agréable car le côté "forcé" du love de la MDMA laisse un goût amer une fois descendu : comme si quelqu'un d'autre avait prodé, s'était amusé, rendu ridicule, avait aimé et pris son pied. Je n'ai pas du tout eu cette impression cette fois.
Mâchoire qui serrent mais c'est gérable.
Moins besoin de sauter partout, plutôt calme.
L'hyperthermie est peu prononcée.
Je n'ai pas eu l'impression que c'était plus long que la MDMA. Et la fin de la magie est aussi frustrante.
Descente amorcée vers 5h, aussi progressive que la montée. Difficile donc de dire précisément quand est-ce que j'ai été à peu près sobre.
En tout cas j'ai eu très très froid, à 13°C en forêt et en portant un pantalon polaire, deux pulls et et une énorme écharpe.
Conclusion : je vais rester sur ce prod car je trouve qu'il fracasse moins, que ce soit en contexte festif (donc on saoule moins son entourage) ou intime (sentiments plus réalistes).
Dose : environ 55mg
Setting : teuf
Set : en forme
Poids : 50kg
Je vais surtout comparer avec la MDMA car c'est un produit qui y ressemble beaucoup et c'est difficile de ne pas s'y rapporter.
Biais : j'avais déjà lu quelques topics sur le 5-MAPB, aussi ma perception a pu être faussée par mes attentes (prod moins stimulant et moins artificiel, plus empatho et plus long). La dose consommée se situait entre "faible" et "commune" d'après PNWiki, d'où peut-être l'expérience plus légère et gérable qu'avec une dose de MDMA standard.
Drop vers 1h du matin. La montée m'a paru plus tardive qu'avec la MDMA ; elle était également plus progressive, moins "rush". Ça m'a causé beaucoup de frustration car j'étais habitué à cette claque de plaisir qui arrive d'un coup. Je me disais : j'en ai pas pris assez, j'ai envie de redrop, etc. Finalement, l'effet était tout aussi réel et j'ai bien fait d'être patient.
C'était donc une montée assez subtile, avec une appréciation de la musique et du toucher qui augmentait petit à petit. Cela pouvait presque passer pour une euphorie endogène. Une fois au plateau par contre (vers 2h30), impossible de s'y tromper : le son ressenti presque physiquement, mâchoires serrées, envie de câlins, franchise et bienveillance.
Le ressenti empatho est en effet moins artificiel. En pic de MDMA je roule des pelles à n'importe-qui, je n'ai plus d'esprit critique. Là, j'aimais et refusais les mêmes choses que d'habitude ; avec une appréciation supplémentaire bien sûr, mais ça ne débordait pas. Ce qui était très agréable car le côté "forcé" du love de la MDMA laisse un goût amer une fois descendu : comme si quelqu'un d'autre avait prodé, s'était amusé, rendu ridicule, avait aimé et pris son pied. Je n'ai pas du tout eu cette impression cette fois.
Mâchoire qui serrent mais c'est gérable.
Moins besoin de sauter partout, plutôt calme.
L'hyperthermie est peu prononcée.
Je n'ai pas eu l'impression que c'était plus long que la MDMA. Et la fin de la magie est aussi frustrante.
Descente amorcée vers 5h, aussi progressive que la montée. Difficile donc de dire précisément quand est-ce que j'ai été à peu près sobre.
En tout cas j'ai eu très très froid, à 13°C en forêt et en portant un pantalon polaire, deux pulls et et une énorme écharpe.
Conclusion : je vais rester sur ce prod car je trouve qu'il fracasse moins, que ce soit en contexte festif (donc on saoule moins son entourage) ou intime (sentiments plus réalistes).