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Contexte : Je teste le 4-HO-MiPT pour la première fois avec Verveine-Citron, chez nous. Nous avons une sitteuse débutante mais pleine de bonne volonté.
21h : Fin du dîner
22h30 : Tentative de vaper 30mg de 4-HO-MiPT fumarate à deux, sans grand succès (effet faible mais très semblable à de la 5-MeO-DMT, gros résidu noir carbonisé au fond de la pipe en verre). Contrairement à la 5-MeO-DMT, je n'ai pas fait fondre le produit en chauffant doucement à la bougie avant, de peur de dégrader le produit. Probablement une mauvaise idée. Ou peut-être juste que cette forme ne se prête pas à la vape.
22h50 : Nous prenons chacun 20mg de 4-HO-MiPT (40mg pesés et dilués volumétriquement dans de l'eau, à 4mg/mL, ça demande de touiller un peu mais ça semble bien se dissoudre). C'est hyper amer sa race malgré l'ajout de sirop de cerise, ça donne vraiment un côté médicamenteux sucré-amer-cerise-chimique pas glop malgré mes efforts, donc je ne dilue pas davantage par peur d'avoir un truc presque aussi dégueu mais bien plus long à boire.
23h30 (env.) : Nous commençons à monter, moi un peu avant Verveine semble t-il. Cependant je me rends compte assez vite qu'elle ne se rend pas compte qu'elle commence à monter (moins d'expérience en tryptamines, et aussi une sorte de résignation à se taper un trip en demi-teinte comme sous LSD un mois auparavant... sauf que cette fois il n'y a plus que la petite rispéridone du soir qui d'ailleurs ne sera pas prise ce soir, et pas de Tercian qui a été arrêté avec accord du toubib. Les deux molécules sont prescrites à faibles doses pour alléger certaines manifestions de son trouble du spectre autistique). Les effets sont assez similaires au 4-AcO-DMT, bon mental façon psilocybes et visuels pas trop en reste, peut-être entre 4-AcO-DMT/psilocybes et LSD dans le style. Verveine semble en avoir davantage que moi, avec de beaux OEV très présents alors que les miens sont plus discrets. Le bodyload à cette dose est fort gérable en restant allongés, surtout proportionnellement aux effets recherchés qui sont bien présents. Ca n'empêche pas de se lever et de danser un peu. Nous sommes frustrés de ne pas pouvoir danser et chanter et hurler autour d'un feu au fond d'une forêt, les tryptas en intérieur c'est pas trop notre truc (sauf 5-MeO-DMT ou 5-MeO-MiPT, qui sont un peu à part).
0h50 : Notre sitteuse va se coucher, le pic étant visiblement passé sans qu'on meure. Nous buvons pas mal d'eau, ça donne soif. Pas loin d'une sensation corporelle qui évoquerait le LSD voire un 2C-x, avec une stimulation faible mais bien nette. Les effets se prêtent plutôt bien à nos pratiques spirituelles, même si on appréciait les psilocybes pour cet usage parce qu'on est de sales hippies qui trouvent que les organismes vivants ont un truc que n'ont pas les substances synthétisées en labo. Emotionellement, ça marche aussi, même si ça passe peut-être un peu au second plan.
4h30 (env.) : Les effets se sont bien amenuisés, il reste quelques visuels en fermant les yeux dans le noir. Le sommeil semble atteignable pour Verveine, qui d'ailleurs s'endort dans l'heure. La stim n'a pas diminué chez moi, elle a même clairement augmenté, j'ai les mâchoires contractées (sans excès cependant), les yeux qui partent parfois légèrement en couilles, et malgré la certitude d'avoir besoin de sommeil je serais clairement d'attaque pour aller danser très activement. J'hésite à prendre 7,5mg ou 15mg de doxylamine pour dormir, mais je me dis que le temps que ça monte je serais déjà probablement endormi, et que ça me rendra vaseux jusqu'en début d'aprem alors c'est pas un bon plan.
5h30 : Je vais pisser aux premières lueurs de l'aube, espérant m'endormir ensuite, maintenant que les visuels sont finis.
10h15 : Verveine se lève quand son réveil sonne. J'essaye de trouver le sommeil.
13h : Je me lève à mon tour, pas dormi. Peut-être un peu somnolé ? Au moins ça permet de bien intégrer les éléments personnels et philosophiques du trip. J'enquille sans trop de soucis la journée jusqu'à me coucher à 22h, avec une sieste en fin d'aprem et une soirée difficile.
21h : Fin du dîner
22h30 : Tentative de vaper 30mg de 4-HO-MiPT fumarate à deux, sans grand succès (effet faible mais très semblable à de la 5-MeO-DMT, gros résidu noir carbonisé au fond de la pipe en verre). Contrairement à la 5-MeO-DMT, je n'ai pas fait fondre le produit en chauffant doucement à la bougie avant, de peur de dégrader le produit. Probablement une mauvaise idée. Ou peut-être juste que cette forme ne se prête pas à la vape.
22h50 : Nous prenons chacun 20mg de 4-HO-MiPT (40mg pesés et dilués volumétriquement dans de l'eau, à 4mg/mL, ça demande de touiller un peu mais ça semble bien se dissoudre). C'est hyper amer sa race malgré l'ajout de sirop de cerise, ça donne vraiment un côté médicamenteux sucré-amer-cerise-chimique pas glop malgré mes efforts, donc je ne dilue pas davantage par peur d'avoir un truc presque aussi dégueu mais bien plus long à boire.
23h30 (env.) : Nous commençons à monter, moi un peu avant Verveine semble t-il. Cependant je me rends compte assez vite qu'elle ne se rend pas compte qu'elle commence à monter (moins d'expérience en tryptamines, et aussi une sorte de résignation à se taper un trip en demi-teinte comme sous LSD un mois auparavant... sauf que cette fois il n'y a plus que la petite rispéridone du soir qui d'ailleurs ne sera pas prise ce soir, et pas de Tercian qui a été arrêté avec accord du toubib. Les deux molécules sont prescrites à faibles doses pour alléger certaines manifestions de son trouble du spectre autistique). Les effets sont assez similaires au 4-AcO-DMT, bon mental façon psilocybes et visuels pas trop en reste, peut-être entre 4-AcO-DMT/psilocybes et LSD dans le style. Verveine semble en avoir davantage que moi, avec de beaux OEV très présents alors que les miens sont plus discrets. Le bodyload à cette dose est fort gérable en restant allongés, surtout proportionnellement aux effets recherchés qui sont bien présents. Ca n'empêche pas de se lever et de danser un peu. Nous sommes frustrés de ne pas pouvoir danser et chanter et hurler autour d'un feu au fond d'une forêt, les tryptas en intérieur c'est pas trop notre truc (sauf 5-MeO-DMT ou 5-MeO-MiPT, qui sont un peu à part).
0h50 : Notre sitteuse va se coucher, le pic étant visiblement passé sans qu'on meure. Nous buvons pas mal d'eau, ça donne soif. Pas loin d'une sensation corporelle qui évoquerait le LSD voire un 2C-x, avec une stimulation faible mais bien nette. Les effets se prêtent plutôt bien à nos pratiques spirituelles, même si on appréciait les psilocybes pour cet usage parce qu'on est de sales hippies qui trouvent que les organismes vivants ont un truc que n'ont pas les substances synthétisées en labo. Emotionellement, ça marche aussi, même si ça passe peut-être un peu au second plan.
4h30 (env.) : Les effets se sont bien amenuisés, il reste quelques visuels en fermant les yeux dans le noir. Le sommeil semble atteignable pour Verveine, qui d'ailleurs s'endort dans l'heure. La stim n'a pas diminué chez moi, elle a même clairement augmenté, j'ai les mâchoires contractées (sans excès cependant), les yeux qui partent parfois légèrement en couilles, et malgré la certitude d'avoir besoin de sommeil je serais clairement d'attaque pour aller danser très activement. J'hésite à prendre 7,5mg ou 15mg de doxylamine pour dormir, mais je me dis que le temps que ça monte je serais déjà probablement endormi, et que ça me rendra vaseux jusqu'en début d'aprem alors c'est pas un bon plan.
5h30 : Je vais pisser aux premières lueurs de l'aube, espérant m'endormir ensuite, maintenant que les visuels sont finis.
10h15 : Verveine se lève quand son réveil sonne. J'essaye de trouver le sommeil.
13h : Je me lève à mon tour, pas dormi. Peut-être un peu somnolé ? Au moins ça permet de bien intégrer les éléments personnels et philosophiques du trip. J'enquille sans trop de soucis la journée jusqu'à me coucher à 22h, avec une sieste en fin d'aprem et une soirée difficile.
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