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Elle use de son art décalé pour taper dans le mille, dessine ses blessures pour nous faire rire, insuffle vie à un zeitgeist angoissé qui secoue des animatroniques traumatiques dans des décors fragmentés, cassés, coutumiers, ses personnages se débattent ou s'achèvent pour vivre un peu, ressentir, dans les remous d'un monde vomi par Kafka en plein K-hole.
C'est enfantin, dérangeant, percutant et des petits bijoux d'animation, je crois que je suis in love