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Pléthore de nouvelles benzodiazépines circulent sur le marché, et en contraste, peu de retours circulent sur le web. Je propose d'ouvrir le bal avec mon ressenti d'une prise de bromazolam : à compléter par d'autres volontaires.
J'ai reçu un smaple de 2,5mg de la part d'un RC shop (j'avais coché : oui pour un sample, étant curieuse).
Hier, je souhaitais dormir vite, bien et me réveiller en forme. En temps normal j'utilise pour cela du bromazepam en sublingal : ça apaise et somnole, cesse de faire effet peu avant l'heure normale du réveil et j'y trouve mon compte. Mais je n'en avais pas sous la main.
Hier donc à 1h du matin je prends 2,5 mg de bromazolam en sublingal. Objectif endormissement à 1h30 et réveil à 9h, pour 7h30 de sommeil.
À 2h je suis tjrs éveillée, quoique moins pile électrise. Je songe à me branler pour amener la somnolence, mais aucune motivation. Ca fait effet donc, mais j'ai l'esprit très clair. Je me relève pour pisser : je tangue. Mauvais signe, je devine un produit propice aux accidents corporels chez des personnes recherchant la défonce. Grosse illusion de sobriété, comme disent certains.
Mon lit est très confortable, comme une petite tanière. Bref, je finis par m'endormir.
À 9h, le radio-reveil s'allume. Je l'ai entendu, pas de doute. Je me rendors malgré la musique qui reste active une heure.
J'emerge à plusieurs reprises : rien à faire.
À 12h30, enfin, je trouve la force d'ouvrir les yeux. Ce n'est qu'à 13h30, aidée de 4mg de méthylènidate en brumisation, que je me sens enfin alerte. Et encore, absolument pas angoissée d'avoir raté les activités qui devaient justifier ce réveil si tôtif.
De cette unique expérience, donc : un produit long, anxiolytique, peu hypnotique, décoordinant. Décidément pas un somnifaire fonctionnel.
Je complète avec la fiche établie par TripSit (dont on ne connaît pas les sources ni le nombre d'expérience ayant permis de l'établir)
Je me suis laissée avoir par la proximité de nom entre bromazepam et bromazolam, mais effectivement le ressenti se reproche davantage de l'alprazolam (la durée d'action en plus), dont d'après tripsit le bromazolam serait structurellement proche.
Concernant le dosage, je lis que j'ai pris une dose "forte". C'était un cachet préconditionné, je n'ai pas trop réfléchi (j'étais fatiguée).
J'ai reçu un smaple de 2,5mg de la part d'un RC shop (j'avais coché : oui pour un sample, étant curieuse).
Hier, je souhaitais dormir vite, bien et me réveiller en forme. En temps normal j'utilise pour cela du bromazepam en sublingal : ça apaise et somnole, cesse de faire effet peu avant l'heure normale du réveil et j'y trouve mon compte. Mais je n'en avais pas sous la main.
Hier donc à 1h du matin je prends 2,5 mg de bromazolam en sublingal. Objectif endormissement à 1h30 et réveil à 9h, pour 7h30 de sommeil.
À 2h je suis tjrs éveillée, quoique moins pile électrise. Je songe à me branler pour amener la somnolence, mais aucune motivation. Ca fait effet donc, mais j'ai l'esprit très clair. Je me relève pour pisser : je tangue. Mauvais signe, je devine un produit propice aux accidents corporels chez des personnes recherchant la défonce. Grosse illusion de sobriété, comme disent certains.
Mon lit est très confortable, comme une petite tanière. Bref, je finis par m'endormir.
À 9h, le radio-reveil s'allume. Je l'ai entendu, pas de doute. Je me rendors malgré la musique qui reste active une heure.
J'emerge à plusieurs reprises : rien à faire.
À 12h30, enfin, je trouve la force d'ouvrir les yeux. Ce n'est qu'à 13h30, aidée de 4mg de méthylènidate en brumisation, que je me sens enfin alerte. Et encore, absolument pas angoissée d'avoir raté les activités qui devaient justifier ce réveil si tôtif.
De cette unique expérience, donc : un produit long, anxiolytique, peu hypnotique, décoordinant. Décidément pas un somnifaire fonctionnel.
Je complète avec la fiche établie par TripSit (dont on ne connaît pas les sources ni le nombre d'expérience ayant permis de l'établir)
Je me suis laissée avoir par la proximité de nom entre bromazepam et bromazolam, mais effectivement le ressenti se reproche davantage de l'alprazolam (la durée d'action en plus), dont d'après tripsit le bromazolam serait structurellement proche.
Concernant le dosage, je lis que j'ai pris une dose "forte". C'était un cachet préconditionné, je n'ai pas trop réfléchi (j'étais fatiguée).