Nymphis
Elfe Mécanique
- Inscrit
- 19/8/21
- Messages
- 275
Coucou les psychos !
Aujourd'hui, on va réfléchir ensemble aux caractéristiques pertinentes pour séparer une consommation récréative d'une thérapeutique pour la drogue.
Personnellement j'en distinguerai déjà 3 :
- Tout d'abord l'intention, ça me semble le plus important. Est-ce qu'on consomme le psychotrophe en se disant "putain ce soir je me pète le crâne en 2 on va bien golri" ou "bon, ce produit pourrait m'aider à guérir de tel problème que j'ai". On part déjà pas avec les mêmes attentes pour le trip. Quoiqu'on pourra me dire que se fendre la poire avec un psychotrophe peut aider à guérir, et on aurait raison.
- Ensuite le contexte de consommation. Est-ce qu'on essaye de recréer un cadre thérapeutique (se mettre au calme, dans un espace où on se sent bien, avec quelqu'un pour nous accompagner) ou bien on prend ça en teuf ou en soirée avec des collègues pour s'éclater ?
- Enfin la fréquence de consommation. Est-ce qu'on va respecter certains protocoles d'autothérapeuthie (comme il existe pour les champignons et LSD) pour favoriser l'efficacité de l'effet thérapeutique ou bien on prend la drogue quand ça nous chante pour se faire plaisir ?
Je laisse place à vos idées !
Aujourd'hui, on va réfléchir ensemble aux caractéristiques pertinentes pour séparer une consommation récréative d'une thérapeutique pour la drogue.
Personnellement j'en distinguerai déjà 3 :
- Tout d'abord l'intention, ça me semble le plus important. Est-ce qu'on consomme le psychotrophe en se disant "putain ce soir je me pète le crâne en 2 on va bien golri" ou "bon, ce produit pourrait m'aider à guérir de tel problème que j'ai". On part déjà pas avec les mêmes attentes pour le trip. Quoiqu'on pourra me dire que se fendre la poire avec un psychotrophe peut aider à guérir, et on aurait raison.
- Ensuite le contexte de consommation. Est-ce qu'on essaye de recréer un cadre thérapeutique (se mettre au calme, dans un espace où on se sent bien, avec quelqu'un pour nous accompagner) ou bien on prend ça en teuf ou en soirée avec des collègues pour s'éclater ?
- Enfin la fréquence de consommation. Est-ce qu'on va respecter certains protocoles d'autothérapeuthie (comme il existe pour les champignons et LSD) pour favoriser l'efficacité de l'effet thérapeutique ou bien on prend la drogue quand ça nous chante pour se faire plaisir ?
Je laisse place à vos idées !
Dernière édition par un modérateur: