VoyageEnPaix
Neurotransmetteur
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Salut !
Vous avez déjà entendu parler d'intolérance acquise à une substance ? Ou vécu ça vous-même ?
J'entends par "intolérance acquise" le fait de ne plus bien supporter une substance (= effets secondaires forts, hors norme) que l'on supportait bien par le passé (= effets secondaires faibles, dans la norme).
Il s'agit d'un phénomène bien distinct du phénomène de tolérance à une substance, qui pousse à consommer plus pour avoir les mêmes effets, et ainsi à avoir une balance effets recherchés / effets secondaires qui penche de plus en plus vers les seconds au fur et à mesure que la tolérance se consolide.
L'intolérance acquise me semble beaucoup plus aléatoire, incomprise, et extrêmement peu documentée.
En fait, je crois que je n'ai jamais vu de publications scientifiques en parler, ni même entendu le sujet être évoqué au détour d'une conversation.
J'ai peut être pas assez bien cherché et je vais approfondir mes recherches, mais je serais curieux d'avoir votre avis :
Vous, ça vous parle ? Ou à défaut, vous en avez déjà entendu parler ?
Personnellement, j'ai eu ce soucis avec la caféine.
Depuis une certaine période où je consommais du café quotidiennement à hauteur de 2-3 tasses par jour, j'ai commencé à très mal supporter la substance un peu du jour au lendemain, et aujourd'hui ça persiste.
Je précise que je consommais aucune autre substance durant cette période de plusieurs mois, pas même de l'alcool.
Ce qui aurait pu jouer en revanche c'est qu'il s'agit d'une période de stress intense (année de sélection en médecine), de léger manque de sommeil, de déprime et de solitude +++ (confinement COVID + concours) sur lequel j'ai rajouté cette dose de caféine quotidienne
Aussi, je faisais extrêmement peu d'activité physique. Ça semble être un point important, car aujourd'hui ma forme physique, surtout liée à une activité cardio, semble fortement corrélée à l'intensité de cette intolérance à la caféine. Mais même quand je suis bien conditionné et que j'ai une bonne hygiène de vie générale, l'intolérance persiste et une simple tasse peut suffire à me mettre mal.
Alors voilà, un système nerveux sympathique déjà bien trop activé, pas assez de repos et d'exercice physique, une santé mentale au ras des pâquerettes, c'est les conditions dans lesquelles j'ai développé cette intolérance.
Je l'ai en travers de la gorge car le café c'est un truc que je kiffe bien, et ne plus trop pouvoir en consommer ça me fais chier, mais c'est comme ça
La plupart du temps quand j'évoque ce soucis, j'ai l'impression qu'on me prend pour un fragile ou que les gens se disent que je m'écoute trop, ou que sais-je ...
Mais la vérité c'est que la caféine me met facilement mal dès la première tasse, voire très mal aujourd'hui
Surtout si je cumule certains facteurs comme le manque de sommeil, le stress (lié à un exam' par exemple), le fait d'être à jeun ... Si j'ai le malheur de cumuler ces facteurs et de me prendre un p'tit caf' je décolle : mains et pieds moites, sensation de mal-être général, mal à l'aise, impression que je pourrais vriller au moindre petit truc, anxiété, stress ...
Vous avez déjà entendu parler d'intolérance acquise à une substance ? Ou vécu ça vous-même ?
J'entends par "intolérance acquise" le fait de ne plus bien supporter une substance (= effets secondaires forts, hors norme) que l'on supportait bien par le passé (= effets secondaires faibles, dans la norme).
Il s'agit d'un phénomène bien distinct du phénomène de tolérance à une substance, qui pousse à consommer plus pour avoir les mêmes effets, et ainsi à avoir une balance effets recherchés / effets secondaires qui penche de plus en plus vers les seconds au fur et à mesure que la tolérance se consolide.
L'intolérance acquise me semble beaucoup plus aléatoire, incomprise, et extrêmement peu documentée.
En fait, je crois que je n'ai jamais vu de publications scientifiques en parler, ni même entendu le sujet être évoqué au détour d'une conversation.
J'ai peut être pas assez bien cherché et je vais approfondir mes recherches, mais je serais curieux d'avoir votre avis :
Vous, ça vous parle ? Ou à défaut, vous en avez déjà entendu parler ?
Personnellement, j'ai eu ce soucis avec la caféine.
Depuis une certaine période où je consommais du café quotidiennement à hauteur de 2-3 tasses par jour, j'ai commencé à très mal supporter la substance un peu du jour au lendemain, et aujourd'hui ça persiste.
Je précise que je consommais aucune autre substance durant cette période de plusieurs mois, pas même de l'alcool.
Ce qui aurait pu jouer en revanche c'est qu'il s'agit d'une période de stress intense (année de sélection en médecine), de léger manque de sommeil, de déprime et de solitude +++ (confinement COVID + concours) sur lequel j'ai rajouté cette dose de caféine quotidienne
Aussi, je faisais extrêmement peu d'activité physique. Ça semble être un point important, car aujourd'hui ma forme physique, surtout liée à une activité cardio, semble fortement corrélée à l'intensité de cette intolérance à la caféine. Mais même quand je suis bien conditionné et que j'ai une bonne hygiène de vie générale, l'intolérance persiste et une simple tasse peut suffire à me mettre mal.
Alors voilà, un système nerveux sympathique déjà bien trop activé, pas assez de repos et d'exercice physique, une santé mentale au ras des pâquerettes, c'est les conditions dans lesquelles j'ai développé cette intolérance.
Je l'ai en travers de la gorge car le café c'est un truc que je kiffe bien, et ne plus trop pouvoir en consommer ça me fais chier, mais c'est comme ça
La plupart du temps quand j'évoque ce soucis, j'ai l'impression qu'on me prend pour un fragile ou que les gens se disent que je m'écoute trop, ou que sais-je ...
Mais la vérité c'est que la caféine me met facilement mal dès la première tasse, voire très mal aujourd'hui
Surtout si je cumule certains facteurs comme le manque de sommeil, le stress (lié à un exam' par exemple), le fait d'être à jeun ... Si j'ai le malheur de cumuler ces facteurs et de me prendre un p'tit caf' je décolle : mains et pieds moites, sensation de mal-être général, mal à l'aise, impression que je pourrais vriller au moindre petit truc, anxiété, stress ...