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[Truffe 15g + Alcool] - Enfin un vrai trip

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Duc
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Duc

Matrice Périnatale
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19/8/24
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PS: Je vais raconter ma vie pour que vous pouvez mieux comprends mon trip et comment j'en suis arrivé là.

Context:
Depuis longtemps, je ne fais les choses que par nécessité, et seulement quand je n'ai pas la flemme, car oui j'ai une énorme flemme. Je m'explique : rien de ce que je fais dans la vie ne me procure de dopamine ni de plaisir. Quand je sors avec des amis, je ne m'amuse pas vraiment et je fais semblant pour me voiler la face. Je n'aime rien faire, comme si tout m'ennuyait. Même des activités qui me plaisaient avant, comme la programmation, ne m'intéressent plus. Je ne fais que ce qui est utile, et c'est pourquoi j'ai perdu beaucoup de choses et de personnes, comme ma copine, des amis, et d'autres encore. Pourtant, cela m'est égal. Même avec mes parents et ma sœur, je ne fais que les utiliser pour mon propre intérêt sans me soucier d'eux, même si cela peut les blesser ou même les détruire. Cela m'est égal.

Un jour, j'ai entendu parler des truffes magiques et cela m'a intrigué, mais j'avais seulement 15 ans, alors j'ai oublié. Puis, à 17 ans, j'y ai repensé et je me suis dit que cela pourrait me permettre de ressentir du plaisir et de vraies émotions. J'ai acheté 15g de truffes magiques et j'en ai mangé 8g un matin. J'ai attendu, attendu, et presque rien ne s'est passé, à part des murs qui semblaient lisses et quelques rires. Plus tard, j'ai invité mon frère (meilleur ami) chez moi (c'est l'exception, car je rigole vraiment avec lui). Cette fois, j'ai pris 9g et tout est parti en vrille : j'ai vomi, j'ai transpiré, mes pensées étaient confuses et j'ai voulu appeler une ambulance alors qu'au fond de moi, je savais que non. Heureusement, mon frère a refusé et je l'en remercie.

Quand j'ai repris mes esprits, les effets étaient passés et je me suis demandé comment de simples substances avaient pu me bouleverser autant. J'ai alors fumé un gros joint de shit et environ 10 minutes plus tard, je suis parti très loin avec de nombreux effets visuels, et je me sentais bien. Cela a déclenché une quête vers les effets hallucinogènes. J'ai fait environ 15 trips avec des joints de cannabis, en augmentant toujours les doses (de 15g à 45g). J'ai eu de nombreux bad trips, mais je m'en fichais, même si ma santé mentale en souffrait. À ma dernière tentative avec 45g, j'ai fini à l'hôpital, car je n'arrivais plus à gérer les effets. J'étais dans un mal-être intense et je n'arrivais plus à me reconnecter à la réalité.

Puis j'ai fait une pause de 3 mois sans prendre de truffes. J'ai commencé à boire de l'alcool, car tous les soirs je m'ennuyais, je ne savais pas quoi faire, alors je buvais pour débloquer une autre partie de moi, me permettant de devenir plus agressif (je ne sais pas pourquoi, mais j'adore me battre, ça me permet de ressentir du plaisir) et de me soucier encore moins de tout, tout en ressentant davantage de choses. Cela me permettait de jouer à des jeux comme Call of Duty ou même de programmer.

Puis, à un moment, je me suis dit que je devrais refaire un trip aux champignons, alors j'ai pris 15g de truffes en lemon tek (je fais tous mes trips en lemon tek). 20 minutes plus tard, j'ai commencé à avoir mal au ventre et à ressentir une envie de vomir, mais j'ai l'habitude, alors j'ai vomi. Puis, soudainement, je me suis déconnecté de la réalité, je me sentais vide, comme si je ne ressentais plus rien sauf un intense mal-être. J'avais beau faire n'importe quoi, je me sentais mal et j'avais même des idées suicidaires, comme si disparaître serait mieux. Paradoxalement, cela me faisait rire. J'ai décidé de parler sur un serveur Discord pour oublier ces pensées, et j'ai dit que j'avais fumé beaucoup de joints, car ils savaient que j'avais que je prennais de grosses doses. Pour mon ego, je ne voulais pas qu'ils pensent que j'étais en bad trip avec seulement 15g, alors j'ai menti. L'enfer a duré 4 heures, mais comme d'habitude, j'ai essayé de résister, même si cette fois c'était vraiment difficile.

Trip:
Trois jours après mon trip, j'étais encore semi-bourré, et il me restait 15g de truffes magiques dans mon réfrigérateur. Comme je n'ai pas vraiment de limites sous l'effet de l'alcool, j'ai décidé de prendre ces 15g, même si j'avais peur de revivre un bad trip comme le précédent. Mais je m'en fichais.

20 minutes après avoir pris le lemon tek, j'ai commencé à ressentir un mal de ventre similaire à celui de l'autre fois, mais cette fois, j'ai décidé de lutter. Pendant 40 minutes, j'ai eu un gros mal de ventre, mais j'ai tout fait pour ne pas vomir. Ensuite, j'ai commencé à ressentir des effets comme auparavant, mais différemment, étant donné que j'étais presque bourré. J'ai réussi à résister, malgré le mal-être, et j'ai commencé à m'énerver, en me disant que cette fois je devais réussir.

Je me suis alors mis à jouer à un jeu d'horreur (The Classrooms) tout seul, avec le son du jeu à fond dans mon casque. Soudainement, j'ai eu l'impression d'être dans le jeu. J'avais peur, mais en même temps, cette peur m'excitait. Cependant, je sentais que je devenais vide comme avant, alors j'ai décidé de boire un coup (de la vodka, comme d'habitude). Les effets ont redémarré, et les effets des truffes se sont intensifiés. J'ai réussi à garder le contrôle.

En jouant au jeu, plus j'avançais, plus j'avais peur, mais plus je ressentais du plaisir et je me sentais bien, riant de plus en plus. Plus je buvais, plus je ressentais des émotions intenses et j'arrivais à les contrôler, réussissant à éliminer le mal-être.

À un moment donné, j'ai commencé à partir en bad trip, avec des pensées de plus en plus négatives. Cependant, bizarrement, cela ne me dérangeait pas et même, cela m'amusait et me plaisait. J'ai commencé à écouter de la phonk et d'autres genres musicaux, ayant l'impression de ne faire qu'un avec la musique. J'ai continué à boire encore et encore ; plus je buvais, plus je m'enfonçais dans le trip, plus j'avais peur, mais aussi plus je m'amusais et ressentais des choses. Bien que je n'avais pas beaucoup d'hallucinations visuelles, l'expérience était très intense mentalement.

Après environ 5 heures, les effets des truffes se sont dissipés, et je me suis retrouvé simplement ivre. J'ai fini par m'endormir. En fin de compte, c'était incroyable ; je n'avais jamais ressenti autant de choses et de plaisir, malgré que tout cela tournait autour de la peur.

Même si je sais très bien que cela ne fait que m'enfoncer et me rendre fou, je veux continuer et ne pas m'arrêter.

Je suis conscient que certaines parties du texte peuvent sembler floues et potentiellement mal comprises, mais je ne sais pas comment décrire plus précisément mes ressentis.
 
Depuis longtemps, je ne fais les choses que par nécessité, et seulement quand je n'ai pas la flemme, car oui j'ai une énorme flemme. Je m'explique : rien de ce que je fais dans la vie ne me procure de dopamine ni de plaisir. Quand je sors avec des amis, je ne m'amuse pas vraiment et je fais semblant pour me voiler la face. Je n'aime rien faire, comme si tout m'ennuyait. Même des activités qui me plaisaient avant, comme la programmation, ne m'intéressent plus. Je ne fais que ce qui est utile, et c'est pourquoi j'ai perdu beaucoup de choses et de personnes, comme ma copine, des amis, et d'autres encore. Pourtant, cela m'est égal. Même avec mes parents et ma sœur, je ne fais que les utiliser pour mon propre intérêt sans me soucier d'eux, même si cela peut les blesser ou même les détruire. Cela m'est égal.
Ca ressemble à un début de dépression. Pê qu'en parler à une personne formée pourrait te faire du bien. Y'a pas que des médicaments ou des drogue... En TCC on pourrait tt'aider à repérer d'où viens cet ennuis, trouver des tips pour le faire passer ou à défaut le supporter mieux.

Je te conseil de fuire les psychanalystes qui ne suivent pas des théories fondées sur la sciences, donc refutables et reproductibles. On pourra même te faire croire que tout est de la faute de tes parents sans qu'iels n'y soient pour quoi que ce soit, ou te faire croire que tout est de ta faute alors que tu exprime un problème. En plus faire culpabiliser une personne en début de DP est le meilleur moyen de la faire sombrer....

Genre tu risquerait d'avoir droit à des hypothèses farfelues du type : "t'as toujours voulu baiser ta grande sœur, sauf que c'est tabou mais ton "inconscient" [dont l'existence demeure hypothétique] rêve de ça et te conduit à un ennuis du fait de ton incapacité à répondre à ton fantasme que tu refuses même de voir" et si tu lèves les yeux aux ciel ça sera une preuve de plus pour le psychanalyste.

Bref, le désintérêt pour tout et la flemme generalisée sont des prémices de la dépression. Ca peut se désamorcer avt que ça devienne horrible rien qu'avec la discution. Mais tu n'as pê pas de début de DP, je ne suis pas pro, j'ai juste vu beaucoup de DP commencer comme ça.
Je suis conscient que certaines parties du texte peuvent sembler floues et potentiellement mal comprises, mais je ne sais pas comment décrire plus précisément mes ressentis.
C'est normal, bien normal. Personne n'est réellement capable de décrire ces expériences de façon exhaustive. La plupart des récits ne sont réellement compris que par celleux qui ont déjà essayé. Ce sont des sensations pour lesquelles aucunes langues n'a de mots pour les décrire. Alors sur les forum on en invente mais on ne se rend bien compte de l'effet subjectif qu'une fois l'essaie accompli.
 
Dernière édition:
C'est un témoignage original, merci pour ce texte et l'effort de contextualisation. Moi, ça m'évoque davantage un trouble de l'empathie. Les retours de personnes concernées sont rares donc je trouve ce TR très intéressant, ça me fait entrer temporairement dans une conscience très différente de la mienne.

Du coup, c'est vraiment avec l'alcool qui t'a permis de gérer l'angoisse ?

C'est un peu triste que les seules émotions fortes que tu ressentes sous trip soient des émotions négatives. Il y a peut-être des pistes à chercher dans les intentions, le set and setting, plutot qu'une fuite une avant qui te fait envisager une issue fatale dans la folie. Réfléchir plutot que forcer. Tu mérites de te porter cette attention.

Bien du courage et prends soin de toi
 
J'sais pas moi ça m'évoque fort la dépression, cette perte du goût de la vie et du souci des autres. J'ai vécu les choses exactement comme ça.

Ce qui n'exclut pas un trouble de l'empathie, ça me semble aussi une bonne piste à explorer (on a des bons tests là dessus de nos jours ? Je me pose des questions depuis longtemps de mon côté huhu).

Ironique comment l'alcool aide à vivre des émotions fortes tout en les émoussant
 
La dépression, de part le nihilisme qu'elle peut entraîner, peut émousser l'empathie et faire croire en un trouble de l'empathie préexistant qui pourtant pourrait être lié à un début de dépression. De même qu'un défaut d'empathie pourras dénouer des relations pourtant stables en la présence de cette empathie disparue.

L'un Peut être lié à l'autre, l'autre peut ressembler à l'un : si tes problèmes persistent ou s'aggravent je renouvelle mon conseil de te faire aider par des non-psychanalistes. Parce que tout peut aller bien pendant des années, puis dégénérer d'un coup sans prévenir. Si tu parle à un pro iels pourrais ne pas te traiter médicamenteusement forcément, mais t'avertir en cas de déchéance imminente.

Je répète que tu n'as pê rien : ce sont les conseils que je donne par défaut aux personnes qui ont des traits de début des maladies que je connais ; mais ces traits peuvent aboutir à rien de grave
 
Dernière édition:
PS: Je vais raconter ma vie pour que vous pouvez mieux comprends mon trip et comment j'en suis arrivé là.

Context:
Depuis longtemps, je ne fais les choses que par nécessité, et seulement quand je n'ai pas la flemme, car oui j'ai une énorme flemme. Je m'explique : rien de ce que je fais dans la vie ne me procure de dopamine ni de plaisir. Quand je sors avec des amis, je ne m'amuse pas vraiment et je fais semblant pour me voiler la face. Je n'aime rien faire, comme si tout m'ennuyait. Même des activités qui me plaisaient avant, comme la programmation, ne m'intéressent plus. Je ne fais que ce qui est utile, et c'est pourquoi j'ai perdu beaucoup de choses et de personnes, comme ma copine, des amis, et d'autres encore. Pourtant, cela m'est égal. Même avec mes parents et ma sœur, je ne fais que les utiliser pour mon propre intérêt sans me soucier d'eux, même si cela peut les blesser ou même les détruire. Cela m'est égal.

Un jour, j'ai entendu parler des truffes magiques et cela m'a intrigué, mais j'avais seulement 15 ans, alors j'ai oublié. Puis, à 17 ans, j'y ai repensé et je me suis dit que cela pourrait me permettre de ressentir du plaisir et de vraies émotions. J'ai acheté 15g de truffes magiques et j'en ai mangé 8g un matin. J'ai attendu, attendu, et presque rien ne s'est passé, à part des murs qui semblaient lisses et quelques rires. Plus tard, j'ai invité mon frère (meilleur ami) chez moi (c'est l'exception, car je rigole vraiment avec lui). Cette fois, j'ai pris 9g et tout est parti en vrille : j'ai vomi, j'ai transpiré, mes pensées étaient confuses et j'ai voulu appeler une ambulance alors qu'au fond de moi, je savais que non. Heureusement, mon frère a refusé et je l'en remercie.

Quand j'ai repris mes esprits, les effets étaient passés et je me suis demandé comment de simples substances avaient pu me bouleverser autant. J'ai alors fumé un gros joint de shit et environ 10 minutes plus tard, je suis parti très loin avec de nombreux effets visuels, et je me sentais bien. Cela a déclenché une quête vers les effets hallucinogènes. J'ai fait environ 15 trips avec des joints de cannabis, en augmentant toujours les doses (de 15g à 45g). J'ai eu de nombreux bad trips, mais je m'en fichais, même si ma santé mentale en souffrait. À ma dernière tentative avec 45g, j'ai fini à l'hôpital, car je n'arrivais plus à gérer les effets. J'étais dans un mal-être intense et je n'arrivais plus à me reconnecter à la réalité.

Puis j'ai fait une pause de 3 mois sans prendre de truffes. J'ai commencé à boire de l'alcool, car tous les soirs je m'ennuyais, je ne savais pas quoi faire, alors je buvais pour débloquer une autre partie de moi, me permettant de devenir plus agressif (je ne sais pas pourquoi, mais j'adore me battre, ça me permet de ressentir du plaisir) et de me soucier encore moins de tout, tout en ressentant davantage de choses. Cela me permettait de jouer à des jeux comme Call of Duty ou même de programmer.

Puis, à un moment, je me suis dit que je devrais refaire un trip aux champignons, alors j'ai pris 15g de truffes en lemon tek (je fais tous mes trips en lemon tek). 20 minutes plus tard, j'ai commencé à avoir mal au ventre et à ressentir une envie de vomir, mais j'ai l'habitude, alors j'ai vomi. Puis, soudainement, je me suis déconnecté de la réalité, je me sentais vide, comme si je ne ressentais plus rien sauf un intense mal-être. J'avais beau faire n'importe quoi, je me sentais mal et j'avais même des idées suicidaires, comme si disparaître serait mieux. Paradoxalement, cela me faisait rire. J'ai décidé de parler sur un serveur Discord pour oublier ces pensées, et j'ai dit que j'avais fumé beaucoup de joints, car ils savaient que j'avais que je prennais de grosses doses. Pour mon ego, je ne voulais pas qu'ils pensent que j'étais en bad trip avec seulement 15g, alors j'ai menti. L'enfer a duré 4 heures, mais comme d'habitude, j'ai essayé de résister, même si cette fois c'était vraiment difficile.

Trip:
Trois jours après mon trip, j'étais encore semi-bourré, et il me restait 15g de truffes magiques dans mon réfrigérateur. Comme je n'ai pas vraiment de limites sous l'effet de l'alcool, j'ai décidé de prendre ces 15g, même si j'avais peur de revivre un bad trip comme le précédent. Mais je m'en fichais.

20 minutes après avoir pris le lemon tek, j'ai commencé à ressentir un mal de ventre similaire à celui de l'autre fois, mais cette fois, j'ai décidé de lutter. Pendant 40 minutes, j'ai eu un gros mal de ventre, mais j'ai tout fait pour ne pas vomir. Ensuite, j'ai commencé à ressentir des effets comme auparavant, mais différemment, étant donné que j'étais presque bourré. J'ai réussi à résister, malgré le mal-être, et j'ai commencé à m'énerver, en me disant que cette fois je devais réussir.

Je me suis alors mis à jouer à un jeu d'horreur (The Classrooms) tout seul, avec le son du jeu à fond dans mon casque. Soudainement, j'ai eu l'impression d'être dans le jeu. J'avais peur, mais en même temps, cette peur m'excitait. Cependant, je sentais que je devenais vide comme avant, alors j'ai décidé de boire un coup (de la vodka, comme d'habitude). Les effets ont redémarré, et les effets des truffes se sont intensifiés. J'ai réussi à garder le contrôle.

En jouant au jeu, plus j'avançais, plus j'avais peur, mais plus je ressentais du plaisir et je me sentais bien, riant de plus en plus. Plus je buvais, plus je ressentais des émotions intenses et j'arrivais à les contrôler, réussissant à éliminer le mal-être.

À un moment donné, j'ai commencé à partir en bad trip, avec des pensées de plus en plus négatives. Cependant, bizarrement, cela ne me dérangeait pas et même, cela m'amusait et me plaisait. J'ai commencé à écouter de la phonk et d'autres genres musicaux, ayant l'impression de ne faire qu'un avec la musique. J'ai continué à boire encore et encore ; plus je buvais, plus je m'enfonçais dans le trip, plus j'avais peur, mais aussi plus je m'amusais et ressentais des choses. Bien que je n'avais pas beaucoup d'hallucinations visuelles, l'expérience était très intense mentalement.

Après environ 5 heures, les effets des truffes se sont dissipés, et je me suis retrouvé simplement ivre. J'ai fini par m'endormir. En fin de compte, c'était incroyable ; je n'avais jamais ressenti autant de choses et de plaisir, malgré que tout cela tournait autour de la peur.

Même si je sais très bien que cela ne fait que m'enfoncer et me rendre fou, je veux continuer et ne pas m'arrêter.

Je suis conscient que certaines parties du texte peuvent sembler floues et potentiellement mal comprises, mais je ne sais pas comment décrire plus précisément mes ressentis.
J'ai bien aimé ton trip report. J'ai eu l'impression de rentrer dans ton univers
 
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