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3-Me-PCPy - 3-Methyl-PCPy (Trimeroli / Tolicyclidine)

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Cosmodope
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Cosmodope

Elfe Mécanique
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Nouvel Ayl's fraichement débarqué synth par LL et dispo bientôt dès le 1 er juin dans les shops classiques, :

IUPAC: N-ethyl-1-(3-methylphenyl)cyclohexan-1-amine hydrochloride

CAS: 1622348-63-3

Molar Mass: 243.394 g/mol

3-me-pcpy-hcl.jpg


Le 3-Méthyl-PCPy est une Arylcyclohexylamine présentant un spectre inhabituel d'effets pharmacologiques, agissant à la fois comme un puissant antagoniste NMDA et comme un SNDRI (Serotonin–norepinephrine–dopamine reuptake inhibitor) soit : TRI (triple reuptake inhibitor) soit un triple  inhibiteur de la recapture IMAO (qui inhibe la recapture des trois neurotransmetteurs monoamines : la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline.) Il agit également comme un ligand des récepteurs sigma de haute affinité, sélectif pour le sous-type σ2. Il produit à la fois des effets stimulants et dissociatifs dans les études comportementales sur les animaux. 
Source : https://en.wikipedia.org/wiki/3-Methyl-PCPy
Concernant l'action SNDRI ou TRI : https://en.wikipedia.org/wiki/Serotonin–norepinephrine–dopamine_reuptake_inhibitor


Statut juridique : Le 3-Méthyl-PCPy est couvert par les lois sur les analogues de drogues dans diverses juridictions (Royaume-Uni, Allemagne, Japon, Australie, etc.) en tant que dérivé générique de l'arylcyclohexylamine et isomère structurel de la phencyclidine.

Ici pour partager les expériences sur cette molécule pour les amateurs ;)
La molécule à l'air très atypique à l'image du PCPy (Rolicyclidine) https://en.wikipedia.org/wiki/Rolicyclidine
qui est censé elle être plutôt sédatifve on as là un dissociatif qui as l'air d'être bien stims en plus de l'effet stimulant inhérente au PCP et autres Aryl's...

Autres noms : Trimeroli (3-ME-Roli), Tolicyclidine, MethylRolicyclidine.
 
L'action sur les récepteurs sigma peut présager d'un effet neuroplastogène (à l'instar de la DMT), voir antidépresseur, ça peut être intéressant !
Et pour le nom je vote pour 3-me-roli, poil au cannelloni.
 
Hâte de vous lire sur ce prod... C'est le seul disso qui touche les récepteurs sigma non? Est-ce que ça peut vouloir dire qu'il faut s'attendre à une gamme d'effet unique?
 
Biquette a dit:
L'action sur les récepteurs sigma peut présager d'un effet neuroplastogène (à l'instar de la DMT), voir antidépresseur, ça peut être intéressant !
Et pour le nom je vote pour 3-me-roli, poil au cannelloni.

Grave c'est bien sympa 3-ME-Roli, j'aime bien aussi Trimeroli (Three et Tri prononcé l'anglaise pour le chiffre mais aussi un rappel de son action TRI) ;)
Yes hâte de lire les premiers reports aussi ;)

Skruffy a dit:
Hâte de vous lire sur ce prod... C'est le seul disso qui touche les récepteurs sigma non? Est-ce que ça peut vouloir dire qu'il faut s'attendre à une gamme d'effet unique?

Non c'es pas le seul du tout pour le coup  ;)
Le PCP aussi (σ1 et σ2) ainsi que d'autres Aryl's et même l'Ibogaïne ;)
Mais par contre il as une affinité très forte pour le Sigma-2 en fait un composé différent je pense que du simple PCP qui as lui aussi  une affinité mais apparemment pas aussi haute...


HISTOIRE DES RÉCEPTEURS SIGMA (σ)

L’origine du récepteur sigma remonte à la caractérisation des récepteurs opiacés,
issue d’une étude comportementale réalisée chez le chien en 1976. Dans cette étude, les
auteurs proposèrent d’attribuer les effets psychotomimétiques induits par trois agonistes
morphiniques (la morphine, la ketocyclazocine et le SKF-10047) à l’existence de trois sous types de récepteurs dénommés respectivement selon l’initiale du nom de la molécule : les récepteurs mu, kappa et sigma (Martin et al., 1976). Ainsi, le récepteur sigma fut assimilé pendant plusieurs années à un membre d’une famille de récepteurs couplés aux protéines G, les récepteurs opioïdes. A l’appui de cette hypothèse, les effets induits par le (+)-SKF10047 sont bloqués par le naltrexone, un antagoniste à large spectre des récepteurs aux opiacés (Martin et al., 1976). 
Mais en 1982 et 1983, deux études visant à mieux caractériser le récepteur sigma, démontrèrent que le site de liaison du (+)-SKF-10047 n’était que très faiblement sensible aux agonistes et antagonistes des récepteurs aux opioïdes (morphine, naltrexone, naloxone, endorphines, enképhalines) (Su, 1982; Vaupel, 1983), excluant le site
de liaison du (+)-SKF-10047 de la famille des récepteurs aux opiacés.
Dans la même étude, la phénylcyclidine (PCP) montre une certaine affinité envers le récepteur sigma de par sa capacité à entrer en compétition avec le (+)-SKF-10047 (Su,1982). Cette molécule était alors connue pour interagir avec les récepteurs au glutamate de type NMDA (acide N-méthyl-D-aspartique) (Zukin et al., 1984). Ceci conduisit à proposer le récepteur opoïd/sigma comme un membre potentiel de la famille des récepteurs NMDA.
Quelques années plus tard, on s’aperçut que la PCP et le (+)-SKF-10047 étaient capables,
l’un comme l’autre, d’interagir avec le récepteur sigma et le récepteur de type NMDA avec
des affinités différentes (Goldman et al., 1985; Zukin et al., 1986), expliquant ainsi la
confusion entre les deux protéines.
Source : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01340356/file/2014NICE4032.pdf
Historique :
La description initiale des récepteurs σ en faisait un sous-type de récepteurs des opiacés. Cette classification provenait des effets d’un opiacé synthétique, la (±)-N-allylnormétazocine (SKF-10,047), qui ne pouvaient pas être tous attribués à ses actions [Agonisme des récepteurs opiacés µ et κ] sur les récepteurs µ et κ. 
En effet, cette substance induit des hallucinations qui ne sont jamais induites par la morphine (µ) ou la kétocyclazocine (κ) (1). De plus, alors que l’énantiomère (-) se liait avec le plus d’affinité sur tous les sous-types de récepteurs opioïdergiques classiques, le rapport d’énantiosélectivité était inversé pour les récepteurs σ (2).
Mais, rapidement, les études de liaison spécifique ont montré (un effet agoniste des récepeteurs opiacées µ et κ )l’absence totale de fixation des opiacés usuels[morphine, enképhalines, endorphines] (3) sur les sites marqués par la pentazocine tritiée, ainsi qu’une pharmacologie peu évocatrice d’effets habituellement rencontrés pour des opiacés, associée à l’absence de blocage des actions impliquant ces sites de liaison par la naloxone et la naltrexone (soit un agonisme des récepteurs σ mais un antagonisme des récepeteurs  µ et κ )  (4). 
Il est donc maintenant clairement établi que les récepteurs σ n’appartiennent pas à la famille des
récepteurs des opiacés.
Le SKF-10,047 présente la propriété particulière d’induire des syndromes schizophréniques.
Cet effet (Agonisme des récepteurs σ ) a été mis en parallèle avec les activités psychodysleptiques de substances comme la phencyclidine (PCP), initialement utilisée comme anesthésique, puis par des toxicomanes pour les délires et hallucinations qu’elle engendre. Ces activités ont été mises sur le compte d’un blocage non compétitif du récepteur ionotrope du glutamate de type NMDA (N-méthyl-D-aspartate) [Soit leur effet antagoniste NMDA]. Ce site de blocage se localise dans le canal ionique et reconnaît aussi un anesthésique inducteur d’hallucinations : la kétamine. La liaison (soit 'effet agoniste des récepteurs Sigma) de la 3-HO-PCP sur ce récepteur est fortement déplacée par le SKF10,047 (5) ce qui a, un temps, laissé penser que le “récepteur sigma” n’était qu’un site de liaison du récepteur NMDA. 
Cette hypothèse a rapidement été infirmée par le fait que plusieurs ligands des récepteurs σ, non inducteurs de troubles psychotiques, n’avaient aucune liaison à ce récepteur. Néanmoins, des ligands σ ont des effets centraux communs avec des substances ciblant les récepteurs NMDA, comme la modification de l’humeur, de la motricité, des processus mnésiques ou la cérébroprotection (6). Le rôle de l’interaction récepteurs σ/récepteurs NMDA dans la régulation du fonctionnement cérébral est un sujet important, mais qui sort du cadre de cette revue.
(qui elle se porte sur sur la mise en évidence de leur implication dans l’appareil cardiovasculaire et est non à propos de leurs effets  en tant qu'agonistes de ces récepteurs).
Ce récepteur σ2 (Sigma-2) est moins bien caractérisé que le récepteur σ1, les données de biologie moléculaire étant beaucoup plus ténues. Sa caractérisation repose uniquement sur des études de liaison spécifique, où des ligands comme l’ifenprodil et son analogue l’éliprodil (SL-82 0715) s’y fixent avec une affinité élevée (11)
Il est à noter qu’en dépit d’une affinité élevée pour les récepteurs σ2, l’ifenprodil ne discrimine pas bien entre les
deux sous-types de récepteurs σ. Néanmoins, sa liaison sur les récepteurs σ centraux est fortement influencée par le Zn++, une caractéristique spécifique des récepteurs σ2 (11). 
L’implication de ce récepteur dans des processus fonctionnels repose donc sur des effets mis en relation avec un profil pharmacologique de liaison obtenu avec des outils souvent peu sélectifs.
Une seule étude a tenté d’analyser son système de couplage intracellulaire, les résultats présentant une étrange similitude avec ce que nous avons décrit pour le récepteur σ1. En effet, dans des cellules issues d’une lignée de neuroblastome humain (SKN-SH), des ligands des récepteurs σ2 induisent, de manière sélective, une libération rapide et transitoire de calcium à partir du réticulum endoplasmique (30). Cet effet est bloqué par deux antagonistes, le BD 1 047 et le BD 1 063, alors qu’il n’est pas affecté par des antagonistes d’autres récepteurs présents à la surface de ces cellules. Il est à noter que la di-tolylguanidine, ligand classique de ces récepteurs, est sans effet à pH physiologique, probablement du fait de son degré d’ionisation à ce pH, et donc des difficultés qu’elle pourrait avoir pour pénétrer
dans la cellule. Ce problème existe d’ailleurs aussi pour les deux antagonistes qui sont plus efficaces à un pH de 8,2, pH auquel ils sont le plus liposolubles. 
En dehors de l’appareil cardiovasculaire, on a impliqué les récepteurs σ2 dans la régulation de la libération présynaptique de noradrénaline chez le cochon d’Inde (31) ainsi que dans la stimulation de la sécrétion d’insuline par les îlots de Langerhans chez le rat (32). On peut ajouter à ces effets l’inhibition présynaptique de la libération de glutamate par l’ifenprodil décrite en 1994 par Ellis et Davies, et qui présente une pharmacologie de “type σ2” (33),sans que ces auteurs aient toutefois clairement formulé ce point. 
Source : https://www.edimark.fr/Front/frontpost/getfiles/2223.pdf :
"Les récepteurs sigma : de leur découverte
à la mise en évidence de leur implication
dans l’appareil cardiovasculaire
! L. Monassier*, P. Bousquet*"

De ce qui est dit sur les σ-2 :
Récepteur sigma 2 (σ2)
Usage thérapeutique:
Neuropsychiatrique
En raison des capacités de liaison de antipsychotique drogues[7][12] et divers neurotransmetteurs associé à l'humeur,[10] le récepteur sigma-2 est une cible viable pour les thérapies liées à troubles neuropsychiatriques et modulation de la réponse émotionnelle.[9] On pense qu'il est impliqué dans la physiopathologie de la schizophrénie,[14] et les récepteurs sigma-2 se sont avérés moins abondants chez les patients schizophrènes.[12] De plus, le PCP, qui est un antagoniste du NMDA, peut induire la schizophrénie,[14] tandis que l'activation du récepteur sigma-2 s'est avérée antagoniste des effets de PCP, impliquant antipsychotique capacités.[12] Les récepteurs Sigma sont une cible potentielle pour le traitement de dystonie, étant donné les densités élevées dans les régions touchées du cerveau.[14] Les anti-ischimiques ifenprodil et éliprodil, dont la liaison augmente le flux sanguin, ont également montré une affinité pour les récepteurs sigma.[14]Lors d'essais expérimentaux chez la souris et le rat, le ligand du récepteur sigma-2 siramésine causé une anxiété réduite et des capacités antidépressives affichées,[12] tandis que d'autres études ont montré une inhibition du récepteur sigma sélectif radioligands par les antidépresseurs, dans le cerveau de souris et de rat.[9]

Cancer
Les récepteurs Sigma-2 ont été associés à cancer du pancréas, cancer du poumon, cancer du sein, mélanome, cancer de la prostate, et cancer des ovaires. Tumeur il est démontré que les cellules surexpriment les récepteurs sigma-2, ce qui permet des thérapies anticancéreuses potentielles car de nombreuses réponses cellulaires médiées par les récepteurs sigma-2 se produisent uniquement dans les cellules tumorales.[5] Les réponses des cellules tumorales sont modulées via liaison de ligand. Les ligands du récepteur Sigma peuvent agir comme agonistes ou antagonistes, générant différentes réponses cellulaires. Agonistes inhiber tumeur proliferation cellulaire et induire apoptose, qui est censé être déclenché par caspase-3 activité. Les antagonistes favorisent la prolifération des cellules tumorales, mais ce mécanisme est moins connu.[11] Les ligands du récepteur Sigma ont été conjugués à nanoparticules et des peptides pour administrer un traitement anticancéreux aux cellules tumorales sans cibler d'autres tissus.[5] Le succès de ces méthodes s'est limité à in vitro essais. De plus, l'utilisation de récepteurs sigma-2 pour cibler les cellules tumorales permet de mettre en synergie des thérapies médicamenteuses anticancéreuses. Certaines études ont montré que certains inhibiteurs des récepteurs sigma augmentent la sensibilité des cellules cancéreuses à chimiothérapie.[7] Augmentation des autres types de liaison aux récepteurs sigma-2 cytotoxicité de la doxorubicine, de l'antinomyocine et d'autres médicaments tuant les cellules cancéreuses.[11]
Source : https://bf.vvikipedla.com/wiki/Sigma-2_receptor

Topic Bluelight : 
https://www.bluelight.org/xf/threads/the-big-and-dandy-3-me-pcpy-thread.902963/

Le 3-MeO-PCPy est rapporté actif dans la gamme de 5-10 mg par voie orale, il a été décrit comme étant particulièrement stimulant dans son effet, un contraste intéressant avec ce que le composé de base est censé être.

Si nous regardons le 3-MeO-PCP et le comparons au 3-Me-PCP, nous pouvons en déduire qu'un schéma similaire d'effets peut émerger (bien que ce soit une pure conjecture) - Avec l'exemple des analogues du PCP, cet échange dans la substitution voit un profil d'effet similaire maintenu et une puissance/biodisponibilité similaire. Je pense que le 3-Me-PCPy est également actif dans la gamme des 5-10 mg, mais il peut toujours y avoir des aberrations dans ces schémas, toute personne travaillant avec ce produit devrait commencer par un niveau TRES bas, comme la gamme des submg jusqu'à ce que plus d'informations soient disponibles.

La discussion et les conjectures les plus détaillées sur ce composé proviennent du Dr Jason Wallach, dans l'un de ses chapitres du livre "New Psychoactive Substances" (Maurer, Brandt, 2019).
"
Notamment, le 3-Me-PCPy a montré des affinités élevées pour DAT, NET et SERT, comparables ou supérieures à ses affinités NMDA. En particulier, le 3-Me-PCPy a montré des affinités élevées pour le DAT, le NET et le SERT, comparables ou supérieures à son affinité pour les NMDAR (39, 45, 5,6 et 52,3 nM, respectivement),
qui n'était pas partagée par son homologue PCP 3-Me-PCP. En outre, le 3-Me-PCPy
a également agi comme un inhibiteur de recaptage au niveau de ces transporteurs (Wallach 2014).
Le 3,4-MD-PCPy n'avait pas d'affinité significative pour le DAT (IC50 > 10 000 nM) mais présentait une affinité modeste pour le NET et le SERT.
une affinité modeste au niveau du NET et du SERT (Ki 1⁄4 420 et 115 nM). Il s'agit d'une tendance similaire celle observée avec le 3-MeO-PCPy. Les séries de PCPy substitués ont généralement été trouvées comme ayant une affinité forte activité TRI (
des transporteurs de recapture des monoamines) que leurs homologues PCP (Wallach 2014).
(Wallach 2014). Il est intéressant de noter que certains utilisateurs ont signalé que le 3-Me-PCPy
une activité psychostimulante notable en plus des effets dissociatifs, ce qui suggère qu'il pourrait s'agir d'une caractéristique inhabituelle de ces effets dissociatifs, et que cela pourrait être une caractéristique inhabituelle par rapport aux
apparentés. Il est intéressant de noter que le PCPy aurait des effets sédatifs similaires à ceux des barbituriques (Shulgin).
barbituriques (Shulgin et MacLean 1976).
Résultant en un profil d'effet atypique concernant les subs du PCPy (3-MeO ou 3-Methyl hautement stimulant en comparaison à l'effet du PCPy (Roliciclydine).
 
Yo !
Petit retour rapide sur la molécule

Test initial de 12mg en IR,
Nouveau ressenti et surement à cause de ma tolérance aux Antagos NMDA je sent que l'aspect TRI du produit...
Surtout sur la Séroto...
La première dose me met dans un état de motivation mais il faut que je sois actif et que j'ai du son en permanence pour faire briller la molécule..
Ca me motive a aller faire des courses
Je me sens peu dissocié à ce stade(même si maintenant que j'y repense j'ai pas senti mes jambes et allers retours donc quand même anesthésié mais j'y est pas prêter attention mais ce n'est que maintenant avec le reculque j'y repense).
La deuxième dose de 12mg viendra confirmer mon ressenti en me donnant un effet séroto très agréable (j'aurais limite pu me mettre dans mon lit pour profiter de cet aspect séroto et je pense que à termes peut être potentiellement holer...)
Par contre j'ai un peu le cul entre deux chaises concernant cette molécule sachant que j'ai consommé des stims ces derniers temps..
Le fait de prendre ca post binge stim ne m'as pas donné accès au panel d'effets de son potentiel stim qui est pourtant bien la et palpable mais je sort de restes de 3-FA ainsi que de de MDPHP...
la disso je pensai ne pas trop la sentir (je la sent très peu a ces doses due à la tolérance) mais en fait si ! x)
Pask je viens de regarder l'heure et je me rend compte que le temps a filé en mode distorsion temporelle...
Sinon niveau mindset je suis en post binge et je devrais me sentir pas ouf bah pour le coup la tout est smooth..
Ca c'est un bon point pour la molécules mais je vais attendre et ne pas prendre de stims pendant un moment pour vous faire un réel retour sur cette molécule...
Mais vu ce que je ressent la la molécule a un potentiel intéressant et j'ai pas une impression de taper une descente m'enfin bon on verra bien...
(EDIT : GROS RISQUES DE REDOSES...Faire très attention aux potentiel accumulation de redrop compulsif pouvant mener a de multiples psychoses évidentes)
Ah et sinon avec le recul ca me fait penser un peu au DXM qui avait lui aussi une action sur la séroto

Bref TAKE CARE avec ce produit !
 
Super retour, ouais c'est compliqué vu tes récents binges.

J'sais pas pourquoi mais, j'en ai commandé. Donc je ferais un retour aussi, mais je ne connais pas les 3-meo/me/ho pcp/pce.

Ca devrait arriver dans 4 jours.
 
Merci pour le retour.

Je sais qu'en si peu de prises c'est difficile de vraiment se faire une idée mais quand tu dis que ça ressemble au DXM tu pourrais développer un peu ? Ca t'y fait penser vite fait à cause de l'action seroto ou on tient enfin un digne successeur de cette molécule ?

Merci.
 
La molécule as l'air d'être en réalité grave sédative comme le réel PCPy en vrai...
Ca me stim pas plus que ca mais me pose dans un putin d'état stoooone
 
valChe2rinTu a dit:
Merci pour le retour.

Je sais qu'en si peu de prises c'est difficile de vraiment se faire une idée mais quand tu dis que ça ressemble au DXM tu pourrais développer un peu ? Ca t'y fait penser vite fait à cause de l'action seroto ou on tient enfin un digne successeur de cette molécule ?

Merci.

L'action séroto m'avait initialement fait effectivement penser au DXM...
Après de multiple prises ces derniers jours et des siestes a des doses de +20mg
Ca me semble pas forcément proche du DXM...
Et ça reste très étrange en comparaison a du PCP ou du PCE...
Il y as vraiment une action sédative pour moi...
Je n'ai jamais piqué du zen sous PCP, pas même sous 3-HO-PCP non plus...
J'ai tapé des siestes en plein aprem avec ce prod chose très étrange par rapport au profil annoncé niveau pharmaco..
Ca ressemble bel et bien a du PCPy qui serait sédatif...
Je continue les explorations mais très étrange mais ma foi pas désagréable comme molécule ...
 
La magie des Aryl ! T'as des stim, des psyché, des trucs qui rendent moue... La pharmacologie la plus couteau suisse toute catégorie de molécules confondue !
 
Un vrai bordel cte molécule PaRa je te dit !
Ca te met en mode Lézard sous le soleil...
Et t'écoute les Tranxen 200 pendant des heuressss !
Et vice et versa
 
Alors c'est quoi les aryl psychés selon toi P4R4?
 
23mg en deux drop à 30 minutes d'intervalle. ROA : Plüg.

Premier drop : Montée qui démarre en 10/15 minutes. Grosse sensation de plaisir dans le corps genre bien myorelaxant. C'est un peu euphorique puisque j'ai le smile typique du chlag.

Second drop : Je deviens de plus en plus moue. Je graille et m'allonge et passe une heure comme ça dans une sorte d'extase physique, sans vraiment dormir, sans vraiment être réveillé. Un peu en mode opi pour le coup.

3h plus tard je renvoie 20mg.

Montée encore un peu plus euphorique, limite MD sur les bords quand tu te tape le rush de montée, jambe coupée, mode canapé activé. Pendant une heure je suis comme hypnotisé, en kiff sur les sensations légères et douces qu'apporte le produit. Bref, je regarde le mur en face et c'est très bien comme activité. Je me sens comme un espèce de moine ayant tellement médité qu'il en a plus rien à foutre de tout et pourrait regarder le temps passer et s'en contenter.

L'heure passe et je me réactive un peu à écouter du son et lire des trucs sur le net. Avec toujours cette anxyolise si agréable.

Un vrai prod de chlag pur jus où tu pourrais rester cloitré chez toi a rien foutre que drop encore et encore et les journées passeraient...

J'avais pourtant deux trois trucs a faire dans le vrai monde, ouai bah on verra demain hein XD (j'en ai franchement rien à branler de tout...)
 
Un putin d'ovni cet Aryl ;)
C'est vraiment comme tu le décris.. Sensation d'être un moine Zen en plein plénitude...
Après gare au redrop intempestif c'est le genre de prod bien vicieux qui serait capable de te couper total du monde extérieur dans ta bulle...
Et as long termes je me demande ce que ca donne (aussi bien que pour nos cerveaux que socialement en étant déconnecter) ;)
 
@Biquette Ah oui ca c'est évident...
Perso heureusement que l'action TRI fait que tu peux pas droper cte molécule constamment si t'as déjà d'autres molécules dans le sang a cause du potentiel SS.
 
J'ai également test avec la DMXE mais la violence du truc limite au bord de la psychose comme je disais à PaRa...
Bon j'ai l'habitude d'encaisser ce genre d'expé et j'ai des antipsychotiques sous la main...
Je pense qu'on as également eu beaucoup de chances de pas être parti en SS vu que c'est un TRI avec la DMXE...
Mais je pense que la tolé aux produits a peut être majoré les risques chez nous...
Après c'était très puissant et j'ai malgré tout kiffé le début et tout on va pas se mentir...
Mais je recommande certainement pas... ;)
Ah et avec le recul je me dit que heureusement que le 3-Me-PCPy est smooth sedat et que tu vas pas forcément risquer de te mettre en danger a cause de la stim à l'instar d'un 3-MeO / HO ou Me-PCP...
La je pense je serais parti encore plus en psychoses avec la capacité de mouvoir et ptet l'envie de sortir de mon apart...
La même si pendant le gros de ma manie / psychoses j'en avait conscience et beaucoup moins envie de bouger ou d'être actif... Ce qui est un grand plus pour le coup...
A savoir que j'ai l'habitude des manies sous et même sans dissos du coup je me gère aussi peut être un tout petit mieux je suis pas en réel crise psychotique comme j'ai pu en vivre sous O-PCE également et ou là aussi j'était au taquet et envie de me mouvoir...
J'essaie de gérer le truc aussi ca va en vrai... Et pour le moment j'ai pas fait de "réel" binge...
Et pourtant le prod me fait penser à un bon downer limite opi...
Et je vois totalement en quoi ca peut devenir un produit vicieux et qui pourrait pousser l'usager à se déconnecter et se désocialiser..
mais bon
Bref Faites gaffes comme avec tout les dissos ;)
 
7747P4R4 a dit:
Je viens de test 20mg en sniff...

J'dis rien on va me ban pour apologie...

Les lézards ont gagné. Fin du game. Terminus tous le monde descend XD

Ah si, juste une précision, avec ce changement de ROA c'est plus du tout sédatif, plutot ambiance rush de meth frappe pipé propre a l'ampoule XD

Je ne peux qu'être d'accord avec ce jeune explorateur du zen !
Il est vrai que la voie du zen est beaucoup plus intense en terme de rush !
C'est beaucoup moins zen que par le rectum tout en restant plutôt smooth circus.
Mais du coup c'est bien plus tentant de redrop  et deviens une came vraiment plus vicieuse car perso peu d'effets négatifs propre aux stims... (J'aurai tapé un stim la je serais déshydraté, la pas de fou même si faut je pense à boire...
pareil pas de tachycardie... peu d'impression d'avoir des effets périphériques... ).
Donc là on est sur une came qui peut être très vicieuse /!\
Heureusement que ca me nique le zen et que ca pique...
Mais dingue ces écarts de ROA après c'est pas nouveau avec les Aryl's mais là je dois dire que y'as un vrai gap^^
 
Bon. À mon tour d'avoir testé la chose.

Le produit est ultra blanc, 500mg a le volume de 2 grammes de dmxe lol...

Et ca sent très fort l'insuline ou un truc comme ca...

Comme les deux autres mes dosages sont absolument pas représentatif d'une consommation normale. J'ai une tolérance explosée. Et avec un 3-meo-pcp ou un 3-ho ou 3-me et même PCE, bref j'aurais viré en totale psychose avec de tels dosages et mélanges.

Et surtout une grosse tolérance aux seroto/dopamino/opi !

J'ai commencé par un plug de 5mg qui ne m'a rien fait ou placebo ou peut etre que si mais pas suffisamment palpable.

T+15 J'ai rajouté 10mg et j'ai ressenti un effet plutot léger, réveillant mais posé, sans être stimulant plus que ca.

T+15 J'ai décidé de rajouter 10mg pour pousser un peu le truc et toujours un effet trop peu palpable, pas d'euphorie.

T+15 Je decide de rajouter 20mg et je commence à apprécier doucement les effets, mais sans plus.

Aucune euphorie, aucun sentiment de paix totale, etc... Et surtout aucun effet antagoniste NMDA, mais genre quedal ! C'est vraiment un disso ?

Je decide de rajouter une trace de 15mg en nasal et la j'ai ressenti un rush tout de suite + plaisant, déjà accompagné d'une légère dissociation, l'effet est léger mais tout de meme plaisant et assez stimulant.

J'aide ma copine à faire des travaux, je discute, regarde des vidéos avec elle et commence a partir dans un effet un peu plus smooth oui, plus detente, adieu la stimulation. Meme si j'me dis que si je m'etais activée j'aurais sans doutes pu ressentir à nouveau un petit coup de boost.

Un peu à l'instar de la MDMA. Mes pupilles sont toutes petites, comme si j'avais pris un opiacé.

Je redescend peu à peu, laissant place à un afterglow très agréable et smooth, comme avec la hxe.

Je sors mon chien, j'ai envie de socialiser, j'ai le smile, je danse toute seule en marchant. J'essaie d'appeler un certain PaRa qui m'envoit chier car il voulait hole.

Une fois rentrée Mélusine veut regarder un documentaire avec moi, le produit me rend très curieuse, très dans la réflexion, la découverte.

Je decide de me faire une trace de 50mg de dmxe par dessus.

Pouah, c'est effectivement beaucoup plus fort, très dopamino au final, je suis a fond dans le documentaire, dissociation très claire mentalement, je discute beaucoup avec Mélusine.

À un moment elle part aux toilettes et j'en profite pour essayer de voyager, j'y arrive facilement malgré la faible dose pour moi. Je dirais que l'intensité du voyage est décuplé par 2 voir 3.

Le tout redescend me laissant place dans un afterglow assez smooth tout en etant assez énergique. Beaucoup plus clair que celui de l'hxe, beaucoup plus smooth que si j'avais pris 200mg de dmxe sans prendre le 3-me-pcpy.

Dans l'ensemble je dirais qu'en rectal c'est vraiment un produit anxiolytique et sedatif, avec un côté stimulant à la fois.

C'est pas désagréable avec le recul ! Je n'ai pas encore essayé en sniff pur, sans avoir plug avant.

Je pense que je vais essayer maintenant vu qu'on est le lendemain de l'expérience et en profiter pour sortir mon chien.

Je ferais un update.

Ok bah en sniff c'est beaucoup plus stim et posé en meme temps. Aux antipodes du plug qui est posé et pas très stim.
 
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